Lionel Jospin

la République est un souverain qui s’inquiète, le Premier ministre un exécutant qui rêve. Et qui, quand il rêve, rêve d’être Président, ce qui l’aide à supporter sa condition seconde de Premier ministre.  », cette citation de l’homme politique Lionel Jospin montre le lien de lien de subordination et la tache, qui peut paraître ingrate, de chef de gouvernement. Pourtant, à la lecture de la constitution, le rôle du 1er ministre apparaît considérable puisque en tant que chef du gouvernement, selon l’article

bord politique, comme Roseline Bachelot, Simone Veil, Yvette Roudy, Françoise Gaspard, Gisèle Halimi. Cette initiative fût aussi appuyée par des hommes politiques comme Alain Juppé qui créa l'Observatoire de la parité en 1995, Jacques Chirac et Lionel Jospin qui contribuèrent à l'aboutissement de la loi sur la parité. Un des symboles de ces années 1990, est la nomination pour la première et seule fois d'une femme comme Premier ministre en 1991, Édith Cresson. Pour conclure, nous pouvons dire que l'obtention

brillamment en 2002 sur cette base ! Objection électorale : nos concitoyens, à l'opposé des Scandinaves, seraient très sensibles à ces baisses et les élections se joueraient largement sur ce thème. Le moins qu'on puisse dire est qu'en 2002, Lionel Jospin, qui avait suivi le conseil de Laurent Fabius de baisser les impôts, n'en a guère tiré profit. En fait, si une partie de la population, y compris parmi les moins aisés, est sensible au discours antifiscal, c'est qu'elle y voit la promesse

Président Chirac renouvela son refus de réformer « Le quinquennat serait une erreur, et donc je ne l’approuverai pas. » - C’est alors par voie de presse, dans Le Monde du 11 mai 2000, que Valéry Giscard d’Estaing demanda au premier ministre en place, Lionel Jospin, d’inscrire sa proposition au plus vite à l’ordre du jour et d’utiliser la voie référendaire pour son adoption définitive. - Jacques Chirac engage alors la réforme : le projet de loi constitutionnelle relative à la durée du mandat présidentiel

est une marque religieuse incompatible avec le bon fonctionnement d’un établissement scolaire. SOS racisme prend alors la défense de ces élèves et déclare : « En aucun cas, une sanction ne peut être infligée à des élèves en vertu de leur foi. » Lionel Jospin, ministre de l'éducation de l'époque, déclarera qu'il faut respecter « la laïcité de l'école qui doit être une école de tolérance, où l'on n'affiche pas, de façon spectaculaire ou ostentatoire, les signes de son appartenance religieuse. » Il précisera

sont contre le principe de familles homo-parentale. Ces comportement traduisent une certaine hypocrisie de leurs part. Au sein même des parties politiques les avis divergent. Ainsi Noël Mamère (Gauche, vert) est pour l’homoparentalité alors que Lionel Jospin (Gauche, PS)est contre. A droite le même types de conflits, de désaccords existent ainsi Roselyn Bachelot (RPR), Patrick Devedjion(RPR) sont pour contrairement à François Bayrou (UDF), Jean-Marie le Pen (FN), Alain Madelin (DL), Jean François Mattei…

précurseur du genre. Il reçoit alors Jacques Chirac dans son émission Carnaval(4). Dès lors, la classe politique voit en ces émissions de divertissement un nouveau moyen de promotion. Jacques Séguéla en 2002, alors conseillé en communication de Lionel Jospin, attribue la défaite du socialiste à son refus de venir sur le plateau de Michel Drucker, Vivement Dimanche. « On les aurait gagné là ! », affirme-t-il en faisant référence aux 200 000 voix qui séparaient son candidat à Jean-Marie LePen. En 1999

gauche (jusqu’aux années Jospin, alors que le PS était déjà devenu social-démocrate voire social-libéral) pour demander un aggiorniamento idéologique du PS. II. … En passant par l' épreuve du pouvoir et le choc du 21 avril 2002... (évolution) II. Le socialisme à l’épreuve du pouvoir et du réalisme A) De FM à Jospin, 3 occasions ratées (1983-86, 1988-93, 1997-2002) 1) 1983-1995 2) 1995-2002 La fin du 2nd septennat de FM et la montée en puissance de Jospin B) la longue marche :

conseiller régional de Provence-Alpes-Côte d'Azur en mars 1992 et réélu député européen en juin 1994. En avril 1995, il se présente de nouveau à l'élection présidentielle et il obtient 15 % des voix, et arrive en quatrième position au 1er tour, après Lionel Jospin, Jacques Chirac et Édouard Balladur En mars 1998 il vit sa réélection en tant que conseiller régional de Provence-Alpes-Côte d'Azur, de même avec la réélection de député européen, en juin 1999. Le 21 avril 2002 : à l'élection présidentielle

trouveraient leurs sources. Surtout, il nous confirme que la Nouvelle-Calédonie n’est pas seulement une terre d’enjeux politiques et culturels mais aussi de recherches historiques.      Enjeux politiques      L’accord du 5 mai 1998 signé à Nouméa par Lionel Jospin, le RPCR et le FLNKS, prolongé par l’accord sur un projet de loi le 19 septembre et soumis à référendum dimanche prochain. Ce texte marque le début d’une décolonisation concertée du territoire. Une décolonisation frappée au coin de la paix, ce