Lipton

d’alertes permettant de protéger la population. 2. Les crises prévues mais dont la gravité dépasse ce que l’on attendait et qui rendent caduques les dispositifs de gestion de crise. C’est par exemple Katrina. Dans l’article de Scott Shane et Éric Lipton (« les agences fédérales américaines savaient qu’une catastrophe menaçait la Nouvelle-Orléans », Responsabilité et Environnement, n° 40, oct. 2005, p. 102), on apprend que Katrina n’aurait pas dû prendre au dépourvu les responsables, tant fédéraux

(non-consommateurs relatifs) : les marques de thé, confrontées à la stabilité du marché (0,4% en volume en 2001 en hypermarché) utilisent le thé vert pour relancer la demande en touchant des consommateurs plus jeunes, urbains et aisés. Les marques Lipton et Tetley ont multiplié les actions marketing permettant une hausse du CA du thé vert de 26% en valeur en 2001 et provoquant une croissance en valeur du marché global du thé de 6%. - trouver de nouvelles utilisations (consommateurs actuels et non-consommateurs

lié à sa polémique avec le marxisme. Ce populisme-là est en effet un populisme théorique, qui va de Herzen à Chayanov, pour la période « classique », et se redéploie avec des auteurs contemporains parfois traités de « néo-populistes » (par exemple LIPTON, 1977 ; cf. BYRES, 1979). Le populisme dont je traite ici, on l'aura compris, déborde largement les théories que l'on dit populistes au sens strict (soit selon leurs auteurs, soit selon leurs détracteurs marxistes). Il inclut d'ailleurs en partie

d’alertes permettant de protéger la population. 2. Les crises prévues mais dont la gravité dépasse ce que l’on attendait et qui rendent caduques les dispositifs de gestion de crise. C’est par exemple Katrina. Dans l’article de Scott Shane et Éric Lipton (« les agences fédérales américaines savaient qu’une catastrophe menaçait la Nouvelle-Orléans », Responsabilité et Environnement, n° 40, oct. 2005, p. 102), on apprend que Katrina n’aurait pas dû prendre au dépourvu les responsables, tant fédéraux

d’alertes permettant de protéger la population. 2. Les crises prévues mais dont la gravité dépasse ce que l’on attendait et qui rendent caduques les dispositifs de gestion de crise. C’est par exemple Katrina. Dans l’article de Scott Shane et Éric Lipton (« les agences fédérales américaines savaient qu’une catastrophe menaçait la Nouvelle-Orléans », Responsabilité et Environnement, n° 40, oct. 2005, p. 102), on apprend que Katrina n’aurait pas dû prendre au dépourvu les responsables, tant fédéraux

d’alertes permettant de protéger la population. 2. Les crises prévues mais dont la gravité dépasse ce que l’on attendait et qui rendent caduques les dispositifs de gestion de crise. C’est par exemple Katrina. Dans l’article de Scott Shane et Éric Lipton (« les agences fédérales américaines savaient qu’une catastrophe menaçait la Nouvelle-Orléans », Responsabilité et Environnement, n° 40, oct. 2005, p. 102), on apprend que Katrina n’aurait pas dû prendre au dépourvu les responsables, tant fédéraux

l’entreprise est mis en scène dans les messages publicitaires parce qu’il communique les qualités immatérielles du produit publicisé, à travers son histoire et son savoir faire. Ce type de visuel peut représenter le fondateur d’autrefois (comme Sir Thomas Lipton) ou le manager actuel de l’entreprise (Alain Afflelou apparaît fréquemment dans ses publicités, tout comme Yves Rocher). • La représentation symbolique de la marque à travers un personnage qui n’est pas le vrai fondateur ou manager de la marque

vidéos montraient des consultations plus efficacement centrées sur les besoins et problèmes du patient. Le cadre dans lequel intervenait la demande de soins par le patient était mieux compris et remis dans le contexte social et culturel du patient. Lipton et al (82) interrogent des médecins et infirmières impliqués dans la prise en charge de patients diabétiques de type 2 d’origine hispanique et maîtrisant peu ou pas l’Anglais. Ceux-ci mentionnent l’importance de la barrière linguistique comme obstacle

Un exemple de prestation logistique intégrée au Maroc L’optimisation de la supply chain est l’un des principaux leviers d’action du plan stratégique quinquennal lancé en 2000 par le groupe Unilever, après le rachat de la société Bestfoods (Knorr, Lipton, Findus...). C’est dans ce contexte qu’Unilever Maghreb a signé le 26 janvier 2004 un contrat de transport et de logistique avec Géodis Maroc. En lançant son appel d’offres, Unilever Maghreb cherchait à optimiser l’ensemble de la chaîne logistique

relévé des faits stylisés, c.-à-d. des observations : * Réduction du nombre de marques (ex : Unilever ne voudrait garder « que » 400 marques sur les 1600 actuelles, pour ce faire, elle crée des sous-marques ; ex : le thé vert Tchaé devient Tchaé de Lipton) * Recentrage des activités (ex : Danone a décidé de revendre Liebig, Amora, Kronenbourg, etc. afin de se recentrer sur les produits laitiers) * Concentration des agences de publicité par fusion. Quatre agences se partagent 50% du marché mondial