Liquidité

retrouver la Banque Centrale (organisme national chargé de gérer la monnaie de l’Etat), les banques (chargées des prêts pour les investissements), les établissements de crédit, etc …qui vont s’échanger titres et monnaie, afin de pouvoir prêter les liquidités nécessaires pour l’économie (rôle de la banque, de l’établissement de crédit, …) et de contrôler l’inflation (rôle de la Banque Centrale) . En clair, c’est tout le système du marché monétaire qui va déterminer l’évolution de la masse monétaire

l’incertitude ne l’est pas. La préférence pour la liquidité Chez Keynes, la monnaie est demandée pour elle-même. Dans un cadre d’incertitude radicale, la monnaie est le seul actif qui permet de se prémunir des aléas (⇐ liquidité) ou de saisir des opportunités. D’où l’intérêt de thésauriser. Quand on a des ressources, on préfère les liquidités. Le taux d’intérêt va être comme le prix de la renonciation à la liquidité : (Thésaurisation) liquidité épargne (placement financier) Cette vision par rapport

candidate à la fourniture d ’un marché important). L’approche liquidité - exigibilité de l’équilibre financier Cette approche a pour objectif d ’évaluer deux risques Risque d ’insolvabilité Risque d ’illiquidité Dettes réelles > Actif réel ou ANCR < 0 Cessation de paiement Actif disponible < Passif exigible Risques du préteur L’approche liquidité - exigibilité de l’équilibre financier Problématique : l’ajustement entre la liquidité des actifs et l’exigibilité des éléments du passif dans d’une

du comité de Bâle IV. De Bâle II à Bâle III 1) Les objectifs de Bâle III, 2) L’amélioration de la qualité et de la quantité des fonds propres, 3) L’instauration d’un ratio de levier, 4) L’instauration de normes minimales de liquidité, 5) Le renforcement du besoin en fonds propres pour certaines activités. I. Le comité de Bâle Le comité de Bâle est un forum où sont traités de manière régulière les sujets relatifs à la supervision. Il est hébergé par la banque des

Les opérations d’open market désignent les opérations exécutées à l’initiative de la banque centrale, en général sur le marché monétaire. Elles jouent un rôle de premier plan dans le pilotage des taux d’intérêts ainsi que dans la gestion de la liquidité bancaire, indiquant ainsi l’orientation de la politique monétaire. Par exemple, si la banque centrale souhaite mener une politique restrictive en freinant la progression de la masse monétaire, elle s’emploiera à mettre des freins au refinancement

cette question : la premiere c’est le , considere que c’est la Banque centrale qui en fournissant au systeme bancaire des nouvelles liquidites lui permet d’etendre la distribution de credit et de creer de la monnaie ; la second, celle du , a l’inverse que la Banque centrale accompagne la creation monetaire des banques, en fournissant au systeme bancaire les liquidites dont il a besoin. Les limites du multiplicateur La theorie du multiplicateur de credit a les faveurs des monetaristes et des quantitativistes

nécessaire pour favoriser la croissance tout en préservant la stabilité et la valeur de la monnaie au niveau interne (prix) et externe (change). La politique monétaire doit, à la fois, éviter un excès de création monétaire et une insuffisance de liquidités susceptible de freiner l'activité économique (ni trop, ni trop peu). La quantité de monnaie en circulation dans une économie ne doit pas être faible car les agents économiques seront alors obligés de limiter leurs activités économiques : consommation

Définition Instruments La politique monétaire marocaine 1. Le passage de la répression à la libéralisation  La période de répression  La période de la libéralisation 2. La conduite de la politique monétaire  Les prévisions de la liquidité  Les interventions de BANK AL-MAGHRIB. Conclusion 2 La politique monétaire MASTER M.M.C Introduction : Traditionnellement la politique monétaire était perçue comme une composante à part entière de la politique générale des gouvernements

fournir autant de liquidité que désir les agents en temps de crise, sur la base de garantie et aux banque en situation d’illiquidité mais solvable. Par ailleurs Michel Aglietta et Caroline Denise dans une Revue française d’économie publié en 1999 dédié aux dilemmes du prêteur en dernier ressort international, définissent ce dernier comme une intervention reposant sur des mécanismes hors marché, réalisée dans le cadre d’une crise systémique menaçant les conditions normales de liquidité, et dont le but

leur efficacité. – évaluer l’impact d’autres changements de politique sur la façon dont la Banque gère les risques de marché. • • 2 Cette présentation compte quatre parties : • Risque de change • Risque de taux d’intérêt • Risque de liquidité • Risque de contrepartie 3 Les politiques et les stratégies du Groupe de la Banque en matière de gestion du risque de marché relèvent du cadre de contrôle du Comité de gestion de l’actif et du passif (ALCO) Cadre de contrôle de l’ALCO