Lire Plaisir Ou Contrainte

De nos jours, les gens, et pas seulement les jeunes, lisent moins qu’avant, ceci est notamment dû à la télévision et au cinéma. Il est plus difficile de se procurer un ouvrage de poèmes plutôt que s’asseoir sur son canapé et de regarder un film. Lire un poème nécessite d’avoir le courage d’aller dans une bibliothèque, ou dans une librairie. Les adolescents préfèrent dépenser leur argent pour acheter un habit ou se payer une place de cinéma plutôt que pour leur culture.

l’adjectif «ibres» l.7, le substantif «liberté» l.12 et «voulait» l.23. L’import. de la lib. est aussi soulignée par l’antithèse l.1 : «Non par des lois, par des statuts ou des règles, mais selon leur gré et leur libre volonté». Tout ce qui exprime la contrainte s’annule. En outre, la lib. est aussi mise en valeur par le rythme ternaire, soutenue par la négat° aux l.4-5 «personne ne les éveillait, personne ne les forçait …». Cette lib. c’est aussi celle d’aller et venir. En effet, l’abbaye se présente comme

vis a vis d'elle d'emblée le lecteur capte les sentiments éprouvés par le Chevalier de Grieux, avec sa  tournure hyperbolique « amour fatal » qui désigne un amour par contrainte, sans issu. Il poursuit en utilisant les termes hyperboliques telles que «violer tous les devoirs » l’antagoniste est prêt à tout pour satisfaire les plaisirs de bien aimée. Il compare  cette dernière à une « créature » (connotation divine)  pour une fois de plus signifier cet amour passionnel. De plus la tournure conditionnelle

capitaliser des constructions de textes, grâce à la lecture à voix haute, grâce à la lecture de récits avec ses parents ou de se faire lire une histoire, puis de construire une réflexion autour de ce qui a été lu. L’enfant peut ainsi allier deux notions distinctes, mais bien souvent associées l’une à l’autre : l’affection et les livres. Egalement, le fait de voir ses parents lire que ce soit des journaux, des revues ou des livres, l’enfant à donner à ces actes un aspect « naturel ». L’identité sociale de

demande de ses parents soit pour une autre cause" - Liberté soulignée par énumération: "bon vouloir et libre-arbitre/quand bon leur semblait/quand le désir leur en venait" - La règle n'est qu'une contrainte : Champ lexical = « obligeait » (l.4) ; « imitait » (l.5) ; « asservis » ; « sujétion » ; « contrainte » (l.11) ; « joug de la servitude » (l.13) Champ lexical de la règle = « loi », « statut », « règles » (l.1), « règlement » (l.4)... Soumission : contraire de la nature de l'homme « Nous »

venait » l.3 ; « libre » l.7 ; « liberté » l.12 ; « voulait » l 24 . L’importance de la liberté  est soulignée par l’antithèse : « non par des lois, des statuts et des règles, mais selon leur gré et leur libre volonté » l.1. Tout ce qui exprime la contrainte ici s’annule, en outre la liberté est aussi mise en lumière par le rythme ternaire soutenu par la négation «  personne ne les éveillaient, personne ne les forçaient à boire ou à manger ». Liberté d’aller et venir : l’Abbaye se présente comme un

question d’amour ni de séduction. Arnolphe contraint Agnès à l’épouser : Ex : la tirade et les maximes (deux discours visant à lui présenter le mariage et ses préceptes) ont une orientation argumentative et morale. Elles donnent à Agnès le chemin à suivre : elles ont une valeur prescriptive. Le mariage dans la bouche d’Arnolphe n’est pas un plaisir mais une contrainte, un pensum qu’il faut subir. Il faut d’ailleurs observer qu’Agnès se tait mis à part pour lire les maximes. Transition : la scène 2

prudence dans une entreprise amoureuse qu’elle veut réaliser. (Lettre autobiographique, seul personnage dont le passé ns sera connu). Comment sur le mode de la confidence, cette lettre dénonce-t-elle la société du XVIII ème siècle ? Laclos donne à lire dans cette lettre l’affirmation orgueilleuse de soi,la conscience de son unicité à travers un récit d’apprentissage, d’auto - apprentissage plutôt, fondé sur une ascèse héroïque qui reflète valeurs et travers de cette société ( qui a enfanté une telle

dans sa dimension esthétique, ludique ou créative est ignoré des apprenants. Conséquence : démotivation et blocage chez certains, incapacité et paralysie chez d'autres; d'où l'idée de monter le projet d'un atelier d'écriture pour " retrouver " le plaisir d'écrire, et par suite d'apprendre et de produire. QU’EST – CE QU’UN ATELIER D’ECRITURE ? Je laisse de côté les ateliers d'écriture professionnels ou de loisir qui fleurissent actuellement un peu partout en Europe (dans les hôpitaux, dans les maisons

l’auteur. Son devoir est aussi de rendre son écrit plaisant à lire. Ainsi, on peut se demander s’il est indispensable que la littérature ne serve qu’à défendre ou dénoncer un certain point de vue, ou si elle peut se limiter au seul plaisir du lecteur, tout comme celui de l’écrivain. Il convient d’abord d’étudier en quoi la littérature se doit d’être engagée, puis nous montrerons également qu’elle offre une autre dimension à ses lecteurs: le plaisir. D’abord, qu’est-ce que la littérature engagée? Un