Lise Les Contemplations

dans une situation très compliquée. Avez-vous réussi à le joindre ? - Non, il ne répond pas à son portable. Je crois que quelqu’un le lui a pris parce que j’ai reçu un autre sms – un truc hyper bizarre d’ailleurs, il faut absolument que je vous le lise – du coup, j’ai rappelé Charlie tout de suite mais pareil, je suis retombée sur… - Claire… …sa messagerie, je pense aller voir demain à l’hosto si Charlie y est toujours mais je ne pourrai pas avant 11 heures, j’ai essayé d’avoir sa chambre directement

Bérénice en 1670. Il mit cet alexandrin dans la bouche d’Antiochus : « Titus, pour mon malheur, vint, vous vit et vous plut. » Avec Racine, le coup de foudre amoureux prend le pas sur le triomphe des armes. En 1856, Victor Hugo titra un poème des Contemplations de façon plus apaisée : Veni, vidi, vixi (« Je suis venu, j’ai vu, j’ai vécu »). Sous l’Occupation (1940-1944), quelques audacieux écrivirent sur les murs Veni, vidi, Vichy, façon de railler le maréchal Pétain, qui n’avait plus les épaules d’un

nature riche, à la biodiversité exceptionnelle. Le livre inventorie aussi de nombreu­ ses activités touristiques: qu’il s’agisse de s’adonner à la randonnée, de jouer les trappeurs, de partir écouter le brame de cerf, de s’abandonner à la contemplation des paysages ou de s’accorder une pa­ renthèse bien­être avec spa et repas gas­ tronomique en prime, les formules ne manquent pas. Le guide prodigue aussi quelques conseils pour préserver l’envi­ ronnement et profiter un maximum de son périple

l’acte authentique. La loi du 16 février 2015 consacre cette jurisprudence. Donc la loi de 2015 ouvre le testament authentique au muet, et consacre la jurisprudence qui l’ouvrait au sourd. Certains pensent qu’il faudrait, en pareil cas, que le testateur lise le testament à haute voix, pour être sûr qu’il a bien lu. Après cela, il faut mentionner au testament le bon accomplissement des deux premières formalités. 3. 973 et 974 enfin prévoient plusieurs signatures : le ou les notaires, les témoins (s’il

1951, il fut élu à l’Académie Goncourt. Il fit désormais partie du Tout-Paris. Il rédigea une pétition pour défendre Henry Miller qui était accusé d’«obscénité». Le 28 février 1952, il fut élu à l’Académie de l’humour. Il fonda, avec Boris Vian et Lise Deharme, l’Académie de la moule poilue. S’intéressant à la science-fiction, il fonda, avec Boris Vian, Pierre Kast, France Roche, Jean Quéval et quelques autres habitués de Saint-Germain, le Club des Savanturiers, qui la prônait comme genre littéraire

Lacarrière Pour se lancer Reprenez l’activité de la séance 5 du cycle I autour des Notes de chevet de Sei Shônagon. Ce travail d’inventaire préparera à cet esprit de célébration du vécu. La pratique de la célébration suppose de s’enfoncer dans une contemplation active et amoureuse de la réalité même en y entrant par la porte étroite de la banalité. C’est « l’intime défi » de Francis Ponge dans Le Parti Pris des Choses : regarder le présent et lui donner la même lumière que s’il appartenait au passé, trouver

cas peut être autre [46], c'est déchiffrer sans clé, et se tromper pour l'essentiel, par une trop grande confiance ou par une trop grande défiance, selon que celui qui lit est lui-même bon ou méchant [47]. Mais aussi parfaitement qu'un homme lise jamais un autre homme par ses actions, cette lecture ne lui sert qu'avec ses relations, qui sont peu nombreuses [48]. Celui qui doit gouverner une nation entière doit lire en lui-même, non un tel ou un tel, mais l'humanité, quoique ce soit difficile

aux autres. Les bénédictions que doit dire l'hôte pour celui qui le fait manger chez lui ................................................................................................................................... 333 232 La retraite de contemplation (Ftikàf) ..................................................................................... 334 233 Le livre du pèlerinage ......................................................................................................... 335 234 Le mérite

je ne l’avais même pas lu ! Je me prétendais musulmane, mais l’étais-je vraiment ? Ce n’était pas dans mes habitudes de faire les choses sans raison. Et là, entre la prière et mes lectures un peu plus poussées sur le sujet, il fallait bien que je lise le « livre des musulmans ». Le lendemain soir, alors que Charlotte vaquait à ses occupations, je l’ai ouvert pour la première fois. Sachant que les Arabes lisent de droite à gauche, c’est tout naturellement que j’ai commencé ma lecture dans ce sens

d’autrefois. Tant que nous pouvions, nous échappions à la danse pour causer de nos souvenirs d’enfance et pour admirer en rêvant à deux les reflets du ciel sur les ombrages et sur les eaux. Il fallut que le frère de Sylvie nous arrachât à cette contemplation en disant qu’il était temps de retourner au village assez éloigné qu’habitaient ses parents. V.Le Village C’était à Loisy, dans l’ancienne maison du garde. Je les conduisis jusque-là, puis je retournai à Montagny, où je demeurais chez mon oncle