Lisier

de préparation avant le vêlage; ■ choisir un champ reconnu pour donner des fourrages à faible contenu en potassium (de préférence moins de 2 % en potassium) et dont l’analyse de sol se situe à 150 kg/ha de potassium et moins; ■ ne pas utiliser de lisier ou de fumier, favoriser plutôt l’utilisation des engrais minéraux (34-0-0 ou 27,5-0-0), la fertilisation azotée étant importante pour assurer un bon rendement; ■ fertiliser avec 160 kg/ha de chlorure de calcium pour atteindre une faible DACA; ■ récolter

entre éleveur et agriculteur 'polyculture sans élevage'. - Type polycultures : On peut implanter une légumineuse comme précédent afin d'apporter un supplément d'azote. Quant aux fertilisants, ils sont achetés à l'extérieur. Exemple de source d'azote : lisier, fumier composté, vinasse de betteraves non amoniacale, tourteau de ricin ou tourteaux fermentés de soja indemnes d'OGM. Exemple de source de potasse : complément de Patentkali ou Haspargit. R R Préparation du sol La préparation est semblable

leurs résidus, produisent à la fois chaleur et électricité. Ce processus de production combiné s'appelle la cogénération industrielle. Il est à l'origine des meilleurs rendements. La biomasse fermentescible Ce sont des déchets organiques (lisiers, résidus liquides, déchets urbains...). Cette biomasse est d'abord convertie en biogaz par des micro-organismes. Le pouvoir calorifique de la matière organique est utilisé pour produire de l'électricité, à partir de procédés biochimiques ou thermiques

l’environnement. Par exemple, en Bretagne, l’épandage en quantité excessive de lisiers de porc contenant du cuivre et du zinc a provoqué l’accumulation de ces éléments sur les sols agricoles [C. Jondreville et al, 2002]. Le cuivre est utilisé pour augmenter la croissance des porcs et le zinc est utilisé pour prévenir des maladies. Leur assimilation par le porc est de l’ordre de 10 à 20 6 %. Les quantités observées dans les lisiers de porc sont importantes : 282 ppm pour le cuivre et 1152 ppm pour le

5-1-La pollution par les matières organiques Les matières organiques qui en sont à l'origine proviennent des déchets rejetés sans traitements préalables: - les déchets domestiques : ordures ménagères, excréments,… - Les déchets agricoles : lisiers et purins - Les déchets industriels : papeterie, huilerie, abattoirs, laiterie, tannerie,… Par exemple, une ville de 100 000 habitants déverse environ 18 tonnes de matière organique par jour dans ses égouts. Certaines substances organiques sont

SOMMAIRE 1. Face au défi énergétique, quel est l’intérêt de la biomasse ? 1 BIOMASSE : différentes origines AGRICOLE FORESTIERE URBAINE INDUSTRIEL Résidus industries agroalimentaires végétale animale Cultures Fumier-Lisier Bois Résidus verts Pailles, rafles maïs,... Résidus abattoirs,... Sciure, écarts de sciage,... Boues station épuration Haie Taillis Copeaux, résidus menuiseries,... Fraction fermentescible, déchets ménagers

Il a été isolé par le chimiste britannique Daniel Rutherford (1749-1819) en 1772 et il a été reconnu comme élément par le Français Antoine Laurent Lavoisier en 1776. Qui a rapport à l'atmosphère. Nitrate : (nom masculin) Sel de l'acide nitrique. Lisier : (nom masculin) Mélange d'excréments additionnés d'eau et servant d'engrais. Fientes : (nom féminin) Excrément de certains animaux, notamment des oiseaux. Ecosystèmes : (nom masculin) Terme désignant l'ensemble des éléments vivants et non vivants

et à la fin de l'été, de aôut à octobre. L'épandage est interdit en dehors de ces périodes, mais les boues continuent d'être produites et il faut donc les stocker durant 6 à 9 mois. Les boues liquides sont stockées dans des silos à la façon des lisiers, avec un agitateur pour homogénéiser les boues avant l'épandage. Les boues pâteuses sont conservées dans des fosses ou autres dispositifs étanches. Les boues solides sont stockées à même le sol sur des dalles imperméables, il convient de

sur le ruissellement de surface : Pour limiter le lessivage des nitrates, d’une très grande solubilité, il s’agit d’ajuster les apports en azote en fonction de la teneur naturelle du sol, des besoins de la végétation, de la teneur des boues ou du lisier épandu et des conditions météorologiques. Cet ajustement se révèle cependant difficile car les protocoles d’analyse de composition des sols sont coûteux et peu fiables. Pour  les pesticides: une mesure simple pour en limiter le transfert dans les

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