Liste chronologique de poètes

voire inutiles # Guerres civile/des religions = Famille touchée - « Des gens armés […] fronts » - V113-116 : enfants, femmes souffrent de la guerre III. Un voyage en poésie # L’invitation au voyage - « nous » = poètes, ses amies Baïf, Du Bellay = La Pléiade + le lecteur - Engage le lecteur avec « sus » - Champs lexical du voyage « vent », « nef », « port », « eaux azurées » - Nostalgie de l’Age d’Or : comparaison îles Bienheurées et « travail » « peine »

Roxanne Brouillette Certains poètes, à travers leurs écrits, nous transmettent leur vision de certaines réalités de notre monde, réalités qui peuvent sembler banales et sans importance pour le commun des mortels. C’est ce que font Charles Beaudelaire et Louis Dantin dans leurs poèmes respectifs, L’albatros et le nénuphar, en nous démontrant de façon semblable, qu’effectivement, le poète est distinct des autres membres de la société. Tous deux nous montrent la perception qu’a le poète de la société

Sa vie Jean de La Fontaine est né à Château-Thierry, en France, le 8 juillet 1621, et il décède à Paris, en 1695. Il a fait des études en droit, tout en se joignant à un cercle de poètes qu'il fréquente assidûment. À l'âge de 26 ans, il épouse une jeune fille d'à peine 14 ans, par un mariage de convenance organisé par son père. De cette union, qui ne dure que très peu longtemps, naît un fils, Charles. Suite au décès de son père, maître des Eaux et Forêts, Jean de La Fontaine devient maître à son

Mouvement : Il fait parti de la littérature du Parnasse qui est un mouvement poétique français de la seconde moitié du XIXe siècle, recherchant la perfection formelle, l'impassibilité et la gratuité de l'art. De plus , ce mouvement permet aux jeunes poètes en quête d'éditeur de publier leurs œuvres . Influences/Fascination : 1865 => Etude sur Baudelaire , perçut comme le maître de la transfiguration poétique et comme étant le poète qui accorde le primat à la sensation plutôt qu'à la part intellectuelle

réalité (citer la phrase des « Ponts » de Rimbaud), pour d’autres elle permet de s’en rapprocher : attitudes apparemment inconciliables et pourtant complémentaires – parce que le poète est multiple, paradoxal, équivoque, instable ; – parce que les poètes manifestent à l’égard de la réalité un mélange d’attirance et de répulsion. • Problématique : quels liens la poésie entretient-elle avec le réel ? • Annonce du plan : la poésie permet, à l’auteur comme au lecteur, d’échapper à la réalité par l’intermédiaire

perspective : De Vinci – en sculpture on utilise des modèles nus – les proportions du corps humain deviennent essentielles, - la place de l'homme devient un thème central La pleiade La Pléiade est un groupe (d'abord nommé « la Brigade ») de poètes rassemblés autour de Ronsard : du Bellay, Guillaume des Autels,Pontus de Tyard (1525-1605), Remy Belleau, Jean Dorat, Jean de la Péruse. Ils défendent en même temps l'imitation des auteurs gréco-latins et la valeur culturelle de la langue française

"L'Albatros", "Bénédiction", "Le Cygne"... On trouvera ensuite une lignée de poètes se sentant descendants des poètes maudits, dans la seconde moitié du XIXème siècle. Rimbaud, à la suite de Baudelaire, va donner, creuser, en mettant de l'ampleur dans cette idée de malédiction du poète : Lettre à Paul Demeny (aussi appelé la lettre d'un voyant). D'autre poètes de la lignée d'Arthur Rimbaud vont réfléchir sur les conditions des poètes maudits en se disant comme Baudelaire : Rimbaud, Lautréamont, Laforgue

Éternel et muet ainsi que la matière. Je trône dans l'azur comme un sphinx incompris ; J'unis un coeur de neige à la blancheur des cygnes ; Je hais le mouvement qui déplace les lignes, Et jamais je ne pleure et jamais je ne ris. Les poètes, devant mes grandes attitudes, Que j'ai l'air d'emprunter aux plus fiers monuments, Consumeront leurs jours en d'austères études ; Car j'ai, pour fasciner ces dociles amants, De purs miroirs qui font toutes choses plus belles : Mes yeux

anciennes comme l'ode, l'élégie, l'épopée ou la tragédie. Il devient le poète le plus important du groupe avec Joachim du Bellay.Ronsard ne fait pas d'études littéraires régulières, il apprend sous l'influence de beaucoup d'écrivains et fréquente des poètes, des humanistes, des clercs, des gens de cour.Il participe activement à la vie des premiers salons et à l'activité de l'Académie de poésie et de musique. Il devient en 1558 poète officiel de la cour, avec le titre de conseiller et d'aumônier ordinaire

la société. Saint-Denys parle des grandes personnes en les provocant et en se révoltant à leur égard. La strophe 9 présente l’esprit créatif du poète qui déplace de grandes choses grâce à son imaginaire (les «montagne»). Il décrit aussi les poètes comme des joueurs de tour aimant «berner» les autres en mettant tout à l’envers. La dernière strophe décrit une image superbe rappelant le sérieux du jeu poétique, qui à sa place dans la société.