Liste des comtes et ducs de Tours

célèbre par l'aventure tragique de Gabrielle. A quelques centaines de pas CHAPITRE VIII - PETITS EVENEMENTS  Le Rouge et le Noir des ruines si pittoresques de l'ancienne église gothique, M. de Rênal possède un vieux château avec ses quatre tours, et un jardin dessiné comme celui des Tuileries, avec force bordures de buis et allées de marronniers taillésdeux fois par an. Un champ voisin, planté de pommiers servait de promenade. Huit ou dix noyers magnifiques étaient au bout du verger

printemps, M. de Rênal s’établit à Vergy ; c’est le village rendu célèbre par l’aventure tragique de Gabrielle. À quelques centaines de pas des ruines si pittoresques de l’ancienne église gothique, M. de Rênal possède un vieux château avec ses quatre tours, et un jardin dessiné comme celui des Tuileries, avec force bordures de buis et allées de 128 marronniers taillés deux fois par an. Un champ voisin, planté de pommiers, servait de promenade. Huit ou dix noyers magnifiques étaient au bout du

printemps, M. de Rênal s’établit à Vergy ; c’est le village rendu célèbre par l’aventure tragique de Gabrielle. À quelques centaines de pas des ruines si pittoresques de l’ancienne église gothique, M. de Rênal possède un vieux château avec ses quatre tours, et un jardin dessiné comme celui des Tuileries, avec force bordures de buis et allées de marronniers taillés deux fois par an. Un champ voisin, planté de pommiers, servait de promenade. Huit ou dix noyers magnifiques étaient au bout du verger ; leur

célèbre par l'aventure tragique de Gabrielle. A quelques centaines de pas CHAPITRE VIII - PETITS EVENEMENTS 47 Le Rouge et le Noir des ruines si pittoresques de l'ancienne église gothique, M. de Rênal possède un vieux château avec ses quatre tours, et un jardin dessiné comme celui des Tuileries, avec force bordures de buis et allées de marronniers taillésdeux fois par an. Un champ voisin, planté de pommiers servait de promenade. Huit ou dix noyers magnifiques étaient au bout du verger ; leur

de Rênal s’établit à Vergy ; c’est le village rendu célèbre par l’aventure tragique de Gabrielle. À quelques centaines de pas des ruines si pittoresques de l’ancienne église gothique, M. de Rênal possède un vieux – 59 – château avec ses quatre tours, et un jardin dessiné comme celui des Tuileries, avec force bordures de buis et allées de marronniers taillés deux fois par an. Un champ voisin, planté de pommiers, servait de promenade. Huit ou dix noyers magnifiques étaient au bout du verger ; leur

printemps, M. de Rênal s’établit à Vergy ; c’est le village rendu célèbre par l’aventure tragique de Gabrielle. À quelques centaines de pas des ruines si pittoresques de l’ancienne église gothique, M. de Rênal possède un vieux château avec ses quatre tours, et un jardin dessiné comme celui des Tuileries, avec force bordures de buis et allées de 128 marronniers taillés deux fois par an. Un champ voisin, planté de pommiers, servait de promenade. Huit ou dix noyers magnifiques étaient au bout du verger

qualité particulière des émotions de l'âme que nous ne trouvons pas dans le monde réel. Ainsi donc c'était l'oeuvre d'art qui comme le spectre révélait la composition des [ébauche interrompue]. L'accueil de la critique Nous donnons ici la liste chronologique des comptes rendus de La Prisonnière que nous avons pu retrouver pour l'année 1924, en caractérisant rapidement leur contenu, ou en le citant à la suite dans la partie "Textes". 9 février 1924 Albert: Thibaudet, "La Prisonnière, de Marcel

Frontin. − C'est−à−dire que tu es au concert, quand on bat la caisse. Arlequin. − Oh ! je suis à l'Opéra. Frontin. − Tu as l'oreille martiale. Avec quoi te divertirai−je donc ? Aimes−tu les contes des fées ? Arlequin. − Non, je ne me soucie ni de comtes ni de marquis. Frontin. − Parlons donc de boire. Arlequin. − Montre−moi le sujet du discours. Frontin. − Le vin, n'est−ce pas ? On l'a mis au frais. Arlequin. − Qu'on l'en retire, j'aime à boire chaud. Frontin. − Cela est malsain ; parlons de ta maîtresse