Liste des évêques et archevêques de Milan

française et l'Empire 4.5 De la Restauration à la Commune de Paris 4.6 De la Belle Époque à la Seconde Guerre mondiale 4.7 Le Paris contemporain 5 Politique et administration 5.1 Organisation administrative 5.2 Statut 5.3 Absence d'intercommunalité 5.4 Liste des maires 5.5 Budget et fiscalité 5.6 Instances judiciaires et administratives 5.7 Jumelages 6 Population et société 6.1 Démographie 6.1.1 Évolution du nombre d'habitants 6.1.2 Nombre d'habitants de l'agglomération et de l'aire urbaine 6.1.3 Immigration

pénal, c’est la loi qui institue un tribunal spécial à l’affaire et la peine. L’appel n’existe pas car tout est défini à l’avance par cette loi.         Il y a des juges populaires. Ils sont très nombreux (50 à 60). Ils sont tirés au sort sur une liste de citoyen. Le tirage se fait en public et il y a des possibilités de récuser un juge.         Quand le procès débute cela consiste à un défilé interminable de témoins. Le président du tribunal peut demander par vote l’arrêt du défilé. Ainsi chaque

Romain de culte de l’Empereur. C’est Constantin qui en 312 devient chrétien et en 313 avec l’Edit de Milan il tolère la religion chrétienne. L’Edit de Thessalonique en 380 fait de la religion chrétienne la religion d’État, les autres religions sont interdites. L’Église s’organise alors. Les institutions de l’Église vont se calquer sur le model Romain, en diocèses avec un évêque à leur tête. Ces évêques se réunissent dans des assemblées, les conciles. Ils vont adopter des décisions, les canons conciliaires

9 de la Constitution de l’An VIII prévoient que le peuple n’est convoqué que pour désigner une liste de confiance, une liste de notabilité. Les citoyens vont élire une liste de représentants potentiels. La désignation des représentants s’organise en une pyramide de 3 niveaux (prévu par Sieyès). Au premier niveau : Les citoyens de chaque arrondissement élisent 1/10 d’entre eux pour former une liste de confiance communale. Deuxième niveau : Les représentants élus dans les niveau se réunissent

tombe en choix, ni en sort, ni en quenouille, [mais] qu'elle échoit par droit successif au mâle le plus proche de l'estoc paternel et hors partage : Le voile des rébellions contre les Princes. Opinion d'Aristote. Élection des Rois prétendue par les Archevêques de Reims. Les premiers Rois [étaient] tirés au sort par la loi de Dieu. La monarchie ne doit être dévolue aux femmes. Trois Rois tués par une femme. Il n'y a point eu de peuple ancien qui ait approuvé la Gynécocratie. Chapitre VI. De la

insister plus ou moins sur tel ou tel aspect des thèmes proposés. NB : Les mots clefs apparaissent en caractères italiques dans les commentaires des programmes. Le choix a été fait de les présenter de façon contextualisée, plutôt que d’en fournir une liste. Les thèmes suivants sont étudiés : 1 - Un exemple de citoyenneté dans l’Antiquité : le citoyen à Athènes au Ve siècle avant J.-C. – un exemple de citoyenneté dans l’Antiquité : le citoyen à Athènes au Ve siècle avant J.-C. ; – une approche de la

politique, la notion même du pouvoir évolue. Le christianisme est apparut. Les chrétiens sont persécutés jusqu’au 4ème siècle. Mais Constantin se convertit au christianisme. Il va faire un geste qui va changer le christianisme. En 313, l’édit de Milan, qui accorde à chacun la liberté de pratiquer la religion de son choix : la tolérance. En 380, l’édit de Thessalonique c’est la situation inverse, il fait du christianisme la religion d’état. MAIS : La théorie de l’absolutisme monarchique apparaît avec:

s’appuie sur des dénombrements de toute nature, utilisés dès l’apparition de l’écriture dans les territoires organisés en États (Égypte, cités du Croissant fertile ou de Grèce, Empire chinois), Empire romain : travailleurs d’un temple, citoyens, liste des personnes imposées ou soumises à une forme de « service militaire ». L’évolution globale de la population de l’Europe et du monde est similaire. À la paix qui règne dans les Empires romain et chinois (Empire des Han, 221 av. J.-C. – 220 ap

leur faire abandonner leurs idoles. Car personne n’abandonne de bon cœur les croyances de ses ancêtres. Que l’on sache que ces Indiens sont des hommes et qu’ils doivent être traités comme des hommes libres. » ■ BARTOLOMÉ DE LAS CASAS (1484-1566), évêque du Chiapas, Très Bref Exposé de la destruction des Indiens, 1552 (trad. Marianne Mahn-Lot, La Découverte de l’Amérique, 1970.) Aide 1 Juan Gines Sepúlveda (1490-1573) Sepúlveda est un théologien et humaniste espagnol, proche de l’empereur Charles

patron comme Henry Ford et, plus encore, de savants, anthropologues comme John Fiske, Josiah Strong, William Ripley et Madison Grant, des biologistes réprouvant le mélange des races et légitimant une « nécessaire » hégémonie raciale anglo-saxonne. La liste des peuples jugés inassimilables s’allonge progressivement : aux Indiens et aux Noirs, s’ajoutent désormais les Chinois, mais aussi les Blancs « slavo-latins », et « Juifs d’Orient »... inassimilables, c’est-à-dire « in-américanisables » ! 3. La caricature