Lit fluidisé

consommation réduite. Une deuxième sonde est placée en aval du pot catalytique pour évaluer l'efficacité de ce pot en permanence. III.2.2.3/ La combustion sur lit fluidisé Cette technique est utilisée afin de supprimer le soufre des combustibles fossiles. Elle consiste à brûler le combustible sur un lit de granules fluidisés grâce à une circulation d’air et (température limite 850°C) et à injecter de la chaux vive (CaO) ou du carbonate de calcium (CaCO3) dans le foyer de combustion, ce

suffisamment volatil pour être évaporé au séchage en plus d’être sécuritaire (eau ou solvant organique) 42 Séchage • Suite à une mouillage lors de la granulation humide, le vrac mélangé doit être séché. – Séchoir à plateau – Lit fluidisé 43 Lit fluidisé 44 Fitzmill 45 Conical mill 46 Compression 47 Compression 48 Encapsulation 49 Enrobage • Le procédé d’enrobage consiste a appliquer un film (une pellicule) autour d’un comprimé • Le film peut

veillera à observer plus particulièrement tout ceci au cours de la toilette. - Démarche (surtout chez l'accidenté et le vieillard) - Marche spontanée, aidée, béquille, chaise roulante, brancard, matelas spécial... - Position du malade: dans son lit, assis, couché. - Aides à apporter: toilette, habillage, aides diverses - Surveillance Plan Anti-E Sa maladie : les antécédents (diabète), hypertension artérielle...) ainsi que le motif de l'hospitalisation. Développement Se baser sur le

fonction notamment de la forme, de la taille et de la masse volumique des particules. Parfois, lorsque l’aspect physique du produit humide le nécessite, l’auge de fluidisation est vibrée mécaniquement (figure 7). Deux autres types de sécheurs à lits fluidisés sont présentés sur les figures 8 et 9. 1.1.1.2.3 Séchage pneumatique Pour des vitesses d’air supérieures aux vitesses limites de chute des particules, il n’y a plus sustentation des particules, mais entraînement des particules dans le flux d’air. L’air

même entonnoir que pour mesures angulaires), si les produits qui ne s’écoulent pas spontanément alors il faut utiliser un appareil à débit forcé· Evolution de la MV apparente par tassement :b. Aptitude à la densification Il s’agit de la diminution du lit de poudre en fonction de la contrainte. · Faible contrainte : analyse du tassement· Forte contrainte : taux de compaction = MV du compact / MV pycnométrique de la poudre On applique des forces croissantes et on prend la masse des comprimés à chaque

procédé de séchage d'un pulvérulent Séchage en étuve Séchage sous vide Séchage en lit fluidisé Séchage en sécheur rotatif Séchage en sécheur à bande Séchage en sécheur "flash" Séchage par atomisation Procédé exploité en mode discontinu X X X Procédé exploité en mode continu X X X X X Tableau 1 : principaux procédés discontinus ou continus de séchage d'un pulvérulent 4.7.1.1 Procédés discontinus sécheur en lit fixe (ou en étuve) : le produit est déposé en couches minces sur les plateaux ajourés

......................................................................................... 13 a) Four à grille ........................................................................................................................ 13 b) Four à lit fluidisé................................................................................................................. 13 c) Four oscillant - rotatif ...................................................................................................

naturelle. Source anthropique : elle est liée aux activités humaines c'est à dire touts ce qui est réalisé par l'homme. Comme par exemple : de la combustion industrielle (hauts fourneaux et fours) du chauffage des incinérateurs à grilles ou à lit fluidisé des transports (notamment routier), celles-ci sont généralement constituées de : charbon (carbone si la combustion est incomplète) d'oxydes métalliques : fer, aluminium... de ciment de calcaire de silice de goudron. Source naturelle : leur origine

à 50 µm), sables fins (de 50 à 200 µm). Si elles sont anthropiques (poussières chimiques et minérales), elles résultent : * de la combustion industrielle (hauts fourneaux et fours) * du chauffage * des incinérateurs à grilles ou à lit fluidisé * des transports (notamment routier), celles-ci sont généralement constituées de : - charbon (carbone si la combustion est incomplète) - d'oxydes métalliques : fer, aluminium... - de ciment - de calcaire - de silice - de goudron. Un

rangs inférieurs les charbons-vapeur sont des bitumineux charbon de haut rang dont la teneur en carbone est comprise entre 70 et 90% Comment fonctionne un centre à charbon?  Technique n°2 : le « lit fluidisé »  peut également être utilisée le charbon est sconcassé et conduit à former un « lit » maintenu en sustentation par injection verticale d’air les particules de charbon brûlent en suspension les poussières partiellement brûlées sont récupérées pour être ensuite réinjectées dans la chaudière