Litterature Africaine Des Annees 1960

modifier  | L’Afrique est un continent couvrant 6 % de la surface terrestre et 20,3 % de la surface des terres émergées[2]. Sa superficie est 30 415 873 km2 en incluant les îles. Avec une population de plus d'un milliard d'habitants (2010)[3], les Africains représentent 16 % de la population mondiale. Le continent est bordé par la mer Méditerranée au nord, le canal de Suez et la mer Rouge au nord-est, l’océan Indien au sud-est et l’océan Atlantique à l’ouest. Depuis l'accession à l'indépendance du Soudan

Lopez est né le 12 septembre 1937 à Léopoldville, chef-lieu de l’ancien Congo belge, maintenant République démocratique du Congo, il passe ses années d’écolier à Brazzaville et Bangui et séjourne de 1949 à 1965 à Paris et Nantes. Il finit en 1963 se études à la Sorbonne pour y devenir professeur. Il est membre de quelques associations d’étudiants africains. Après son retour au Congo, il est professeur d’histoire à l’école normale supérieure d’Afrique Centrale à Brazzaville jusqu’en 1966 et ensuite

Normandie) en février 1896. Il est issu d’une famille modeste et fait des études de médecine. Mobilisé au moment de la guerre, il est infirmier militaire à Nantes. Il se lie avec Apollinaire et fonde, avec Louis Aragon et Philippe Soupault, la revue Littérature en 1919. Il adhère au mouvement Dada, qu’il quittera plus tard. Avec Soupault, Breton découvre l’écriture automatique. Ensemble, ils publient Les Champs magnétiques en 1920. Breton publie des textes poétiques (Clair de Terre en 1923 et Poisson

deuxième guerre mondiale dans un texte du Martiniquaint. Aimé Césaire intitule «Négrerie » publié dans la revue L’étudiant noir. La négritude est un mouvement (concept) nègre. Penchant qui a poussé les intellectuels africains à agir dans le but de rendre la dignité aux noirs, après des années de frustration psychologique, ce mouvement se définit comme un rassemblement littéraire, social et culturel qui, lutte pour la réhabilitation de l’homme noir à travers la dénonciation du système colonial. La suite

Étudiant doué et prometteur, il continue ses études universitaires à Ibadan où il obtient sa maîtrise en littérature de langue anglaise, en 1953. Conscient que plusieurs écrivains occidentaux comme Ernest Hemingway avaient dépeint l’Afrique de façon ridicule, et cela sans aucune connaissance de cause, celui-ci se donna comme mission de brosser un portrait réaliste et fidèle de la société africaine traditionnelle à travers ses romans historiques. Même si son œuvre sera diversifiée, l’entièreté de

THEME : LES GRANDES DICTATURES AFRICAINES DE1960 à 2000 : | ------------------------------------------------- INTRODUCTION : L’Afrique, continent oublié. Une formule choc, reprise à l’envi pour illustrer les drames qui se nouent sur le continent. Une formule cependant facile qui masque le soutien indéfectible dont bénéficient nombre de dictateurs africains. Depuis les années soixante, la France confisque l’indépendance de nombre de ses anciennes colonies africaines en y maintenant un système d’exploitation

 Bouaké, Daloa,Yamoussoukro, San-Pédro,Divo, Korhogo, Anyama,Abengourou | Superficie totale | 322 462 km2 (classé 68e) | Superficie en eau | 1,04 % | Fuseau horaire | UTC +0 (CET) | Histoire | Indépendance | De la France | Date | 7 août 1960 | Démographie | Gentilé | Ivoirien, Ivoirienne | Population totale(2011) | 20 153 000 hab. (classé 57e) | Densité | 65 3 hab. /km2 | Économie | PIB nominal(2009) | 23 4 milliards d’USD (93e) | PIB (PPA) (2009) | 34,9 milliards de

enseigne dans des écoles primaires et secondaires à Maurice de 1951 à 1958. À l'initiative du Dr Seewoosagur Ramgoolam, alors Maire de la capitale, Maunick devient Bibliothécaire en chef de la Ville de Port-Louis, poste qu'il occupe jusqu'en octobre 1960 quand il quitte Maurice pour Paris. De 1961 à 1977, Édouard J. Maunick est auteur et producteur, à Paris, d'émissions radiophoniques culturelles et littéraires à la SORAFOM (Société de Radiodiffusion d'Outre-mer), puis à l'OCORA (Office de Coopération

les escroqueries, les préjugés, les complaisances, les lâchetés, les démissions, les crimes commis au nom de la liberté, de l’égalité, de la fraternité, voilà le thème de cette poésie indigène d’expression française… De plus en plus politique et littérature s’entre pénètrent et leur synchronisme se fait de plus en plus apparent dans les œuvres des représentants de la nouvelle école. A ces quelques lignes de Dumas on peut ajouter Amé cesaire et autres. C’est sans doute dans ce courant littéraire qui

McKay. Le jeune Aimé Césaire et son ami guyanais Léon Gontran Damas, qu’il connaît depuis la Martinique, découvrent progressivement une part refoulée de leur identité. En septembre 1934, C'saire fonde, avec d’autres étudiants antillo-guyanais et africains (parmi lesquels Léon Gontran Damas, le Guadeloupéen Guy Tirolien, les Sénégalais Léopold Sédar Senghor et Birago Diop), le journal L'Étudiant noir. C’est dans les pages de cette revue qu’apparaîtra pour la première fois le terme de «Négritude». Ce