Littérature Chevaleresque

il y a une triple évolution : du conte au mythe, d’une forme littéraire à une autre, et des relectures et réécritures des symboles, déjà présentes à l’époque médiévale. Les différents supports expressifs de cette évolution comprennent : la littérature (en ce qui concerne les genres littéraires et la signification des symboles, qui s’enrichissent grâce à l’ouverture de l’horizon herméneutique), la musique (qui se trouve déjà présente dans les vers des trouvères médiévaux, jusqu’à l’opéra romantique

parvint également en Angleterre, où l’humanisme fut implanté à l’université d’Oxford par les érudits William Grocyn (1446-1519) et Thomas Linacre (v. 1460-1524), tous deux maîtres de Thomas More. L’humanisme exerça une influence décisive sur la littérature anglaise et marqua en particulier le théâtre élisabéthain. L’Humanisme, parti d’un retour aux textes et à certaines valeurs de l’Antiquité, s’est adjoint tout naturellement l’esprit de liberté et d’indépendance à l’égard des dogmes trop rigides

Garcia Lorca ou chez Machado, pour ne citer qu’eux, la doctrine rationaliste harmonique se fait sentir, notamment dans cette conception idéaliste selon laquelle :  « Dieu est en toute chose ». Toutes ces influences se ressentirent en politique, en littérature, dans l’éducation (avec l’Institution Libre d’Enseignement) s’opposent aussi au retour du mystique, comme solution aux problèmes existentiels des Espagnols. Ce « sentiment tragique de la vie » comme le fit remarquer Miguel de Unamuno va ouvrir

l’honneur, que tous les étrangers associent au caractère espagnol ? L’honneur est à la fois « levier de l’action individuelle et valeur socialisée »[14]. Mais à mesure qu’on avance dans l’époque moderne, la première dimension, héritée des valeurs chevaleresques, tend à s’amenuiser au profit de la seconde. Au XVIe siècle, l’honneur était compatible avec la pauvreté, il était une valeur supérieure à la richesse. Les statuts de pureté de sang ont signifié le début de la prééminence de sa valeur sociale

stéréotype se réfèrent à la réalité, mais en même temps ils la changent et créent leur propre monde qui signifie plus que la réalité. Le cliché se constitue à la base de la réalité littéraire, alors d´une réalité feinte. « Il naît au sein d´une littérature, c´est-a-dire d´une réalité déjà posée comme « fausse » au départ. » 6 Une autre distinction consiste à l´intentionnalité. Le mythe a toujours l´intentionnalité idéologique. L´aspect déterminant chez le stéréotype est son origine. Le stéréotype

aujourd’hui dans certains types de romans : aventures, sciencefiction… 2. Du héros « satirique » au héros réaliste:  XVIIème : Changement au cours du 17ème qui va mettre en scène des personnages, des « héros » aux antipodes du héros épique et chevaleresque : de basse extraction, plus roués que vertueux, plus malins que courageux, ils mettent les rieurs de leur côté et ne s’embarrassent pas des valeurs sociales. Etres marginaux, ils s’affranchissent de tout, ne portent pas le destin de la communauté

les chansons des troubadours, il s’agit d’une liaison amoureuse qui met en œuvre un art d’aimer dans le cadre courtois : elle implique un «  art de vivre impliquant politesse, raffinement des moeurs, élégance mais aussi le le sens de l’honneur chevaleresque  »1, selon le Dictionnaire raisonné de l’Occident médiéval. Elle a été par la suite traitée de différentes façons selon les romanciers : beaucoup ont vu sa finalité dans la mort2. Cette dernière peut être expliquée scientifiquement comme un arrêt

LITTÉRATURE COMPARÉE, 4ème année, Mme MÉDJAHED, CM/TD, 26/10/2008, Étude des textes et travaux. Suivre un modèle à appliquer, méthodologie, fiche et mémoire. Proposer des grilles d’analyse dans des textes littéraires. Travaux de fin d’année : mémoire. Fiches de lecture : choisir les options : linguistique, didactique, une fiche de lecture sur un ouvrage théorique dans une discipline précise, différente de la fiche de lecture de la deuxième année. On est là pour vous orienter, pour vous faciliter

plus ancienne, du Vieme au Xième. On en retiens la chute de l'empire romain d'occident en 476. C'est en quelque sorte la date symbolique du Vième jusqu'à la période féodale. Le M-A central : Du XI au XIV. Une période marquée par l'essor de la littérature française jusqu'au XII Le Bas M-A : ou encore appelé le Moyen-Âge tardif. Milieu du XIV au début du XV On distingue néanmoins une période de rupture entre le M-A central et le Bas M-A : 1348, la peste fait des ravages. Une société

devenu ? En quoi préfigurent-elles l’écrivain ? 2) « Elle aimait les jolies histoires, ma mère. Je lui en ai raconté beaucoup » (p. 248). Expliquez le jeu sur l’expression « raconter des histoires ». 3) « Je croyais fermement qu’on pouvait, en littérature comme dans la vie, plier le monde à son inspiration et lui restituer sa vocation véritable, qui est celle d’un ouvrage bien fait et bien pensé » (p. 343) ; « Un artiste véritable ne se laisse pas vaincre par son matériau, il cherche à imposer