Littérature Utile Pour La Société

perfection. - Nicolas Boileau (L’Art Poétique). - Vaugelas, grammairien. - Racine (Britannicus, Phèdre, Andromaque). III. Le XVIIIe siècle. • Les Lumières, de 1690 à 1789. Les intellectuels des Lumières ont marqué le domaine des idées et de la littérature par leurs remises en question fondées sur la « raison éclairée » de l’être humain et sur l’idée de liberté. Par leurs engagements contre les oppressions religieuses, morales et politiques, les membres de ce mouvement, qui se voyaient comme une élite

la peinture, la littérature et la musique. On y ajoute par la suite la danse, le cinéma, le théâtre, la bande dessinée, l’opéra, la photographie et plus récemment l’art numérique. La notion de inutile non négligeable dans ce sujet. Il faudra donc considérer la question de l’utilité de l’art. A la question en quoi l’art peut il être utile on peut répondre : il crée la beauté, il procure le plaisir esthétique des sens, il permet de réformer la société (engagement de l’artiste

approche imagocritique, on peut se demander si les images traditionnelles de l’Allemagne romantique, du « boche » ou de l’Allemand à la tête de Janus dont parle la critique littéraire[i] correspondent encore à la représentation de l’Allemagne dans la littérature actuelle. Afin de juger de quelques aspects particulièrement révélateurs de cette imagerie française, je voudrais me concentrer sur l’analyse de la représentation littéraire des événements historiques considérés par la majorité des Français comme

héroïne romanesque qui se suicide. C’est une histoire qui est revenue de nombreuses fois dans la littérature, et ce depuis l’Antiquité. Ce topos tragique concerne des héroïnes comme Antigone, Phèdre ou bien Lucrèce pour la littérature antique. Antigone s’est pendue dans la tombe où elle a été enterrée vivante, Phèdre s’est poignardée dans l’histoire originale et Lucrèce s’est empoisonnée. Dans la littérature moderne, on peut citer Emma Bovary (Madame Bovary de GUSTAVE FLAUBERT), Manon Lescault ou Madame

violence exercée par le rire est-elle toujours fondée ? Le premier est extrait de l’ouvrage de Jean de La Bruyère, les caractères ou les mœurs de ce siècle « De la ville » en 1688 et qui dénonce avec distance et humour les excès et les injustices de la société à laquelle il appartient. Le second est un extrait d’Henri Bergson, Le rire .Essai sur la signification du comique en 1899 Il s’agit de donner à la personne une impression pénible et par conséquent le rire ne peut être empreint d’aucune bonté à

Verne révèle à la fin du texte que « l’imagination, mécontente, cherchait au-delà » de ses actions connues qui sont « si mathématiquement toujours la même chose ». Le personnage, dont on ne connaît que ses gestes en faveur des « chose[s] noble[s], utile[s] ou généreuse[s] », devient surtout héros dans la tête de ceux qui l’entourent. Le personnage est donc héroïque par l’absence de défauts et sa capacité à laisser voir une détermination sans borne dans son engagement. En cela, les héros présentés

portuguais barroco qui signifie : perle irrégulière. Il s ‘applique d’abord aux arts plastiques à la fin du XVIème siècle, pour traduire un jugement péjoratif porté sur une esthétique de l’irrégularité, du mouvement et de l’ostentation. Au XVIIème, en littérature, il est centré autour de quelques principes communs : goût de la sensualité, des extrêmes, de l’ornementation, du langage à effets, des thèmes de l’illusion, des métamorphoses du monde et de la mort. Les genres littéraires dominants sont : la poésie

CM 17èmeCM Littérature du XVIIè Licence 1 - Lettres Séance 1 La tragédie au XVIIè siècle I - Placer les pièces dans leur contexte A) Les dates des quatre pièces Tristan l’hermine, La Marianne 1636 (publié en 1637) Pierre Corneille, Cinna 1642 (publié en 1643) Jean de Rotrou, Le véritable Saint Genest entre 1644 et 1646 (publié en 1647) Jean Racine, Britannicus 1669 (publié en 1670) B) Qu’en est-il de la production tragique au XVIIè ? La tragédie n’est pas très prisé, c’est plutôt

quoi l’humanisme est un mouvement d’optimisme, puis explorer ses propres limites. L’humanisme est un courant de pensée optimisme qui soutient particulièrement une éducation moderne mais aussi la place de l’homme de l’homme libre dans la société et enfin il instaure un idéal de vie qui concerne de vastes domaines. La soif de savoir des humanistes s’est avérée dans l’éduction qu’ils prônent ; ils veulent une éducation concernant tous les domaines tels que le veut Gargantua pour son

Rimbaud, les Parnassiens et les symbolistes à Paris . « Rimbaud est sans doute le mythe le plus puissant de l’histoire de toutes les littératures. – D’autant plus qu’il n’y a pas de mythe à proprement parler, mais une histoire vraie qui lui ressemble, et dont on peut retenir trois aspects principaux, stupéfiants. Il est sans exemple, en effet, dans toutes les littératures, premièrement qu’un jeune homme parvienne immédiatement à la perfection, sans le détour de la longue patience du travail classique