Livre des Lamentations

| |Le Tragique conserve un caractère de grandeur, de confrontation au destin, il utilise les procédés qui inspirent la terreur et | |l’admiration (imprécation, malédiction, supplication, lamentation, exclamation, interrogation-marques de la modalité). Il rend | |l’identification difficile ou impossible, les personnages restent à distance du spectateur. | |Exemples : Néron, Agrippine et Britannicus

César (Alésia), conquête de la Gaule par les Romains. * 6 ou -4 : naissance de Jésus-Christ, qui meurt autour de 30. * 70 : destruction du temple juif de Jérusalem par les Romains, à la suite d’une révolte : il ne reste que le Mur des lamentations. * 476 : fin de l’Empire romain d’Occident. 52 av. J.-C. | Vercingétorix, chef des Gaulois, est vaincu à Alésia par Jules César. La Gaule devient romaine. | 406 | Les Germains envahissent la Gaule. Le pays retourne à la barbarie. |

Prattica) et l’Age Baroque (Seconda Prattica) 9e livre, posthume pub en 1651 Prima Prattica : polyphonie, 5 voix, rythmes réguliers, textes peints par des figuralismes ponctuels Seconda Prattica : recherche ominprésente de l’expression du mot, inventions de tournures expressioves, oublie des 5 voix et de l’écriture horizontale, solistes, basse continue, madrigaux transformés en petites scènes d’opéra, dissonances expressives, chromatismes, Livre VIII : avec Combat de Tancrède et Clorinde Madrigaux

qui sont en désaccord face à la décision de Créon.Antigone a été écrit par Jean Anouilh en 1942 et sera adapté au théâtre pour la première fois en 1944. Le genre de ce livre est une

impossible. Nous comprenons que chaque hommes des quatre textes sont jaloux , essaient de forcer l'amour de la femme avec brutalité , compassion ou encore supplication .En effet , le femme refuse , consciemment ou inconsciemment ,d'aimer l'homme , qui se livre totalement à elle en dévoilant ses sentiments . Un troisième personnage présent ou non sur la scène est la cause de la jalousie de l'homme . Dans toutes ces pièces , le personnage masculin est beaucoup plus âgé que la femme aimée . Nous pouvons constater

LIVRE PREMIER: Le 6 janvier 1482, la foule attendait avec impatience 'le mystère' qui aurait dû commencer à midi dans le Palais de Justice de Paris. Comme dit Victor Hugo: "Cette foule attendait depuis le matin trois choses: midi, l'embassade de Flandre, le mystère. Midi seul était arrivé à l'heure". Alors que les gens s'énervaient en attendant le mystère, un homme sous le nom de Jupiter arriva et annonça le retard de la représentation. La foule étant fâchée, Pierre Gringoire ordonna à Jupiter de

Genèse un livre Exode un livre Lévitique un livre Nombres un livre Deutéronome un livre Jésus (fils de) Naué un livre (notes) Juges un livre Ruth un livre Règnes quatre livres (notes) Paralipomènes (Chroniques) deux livres 150 Psaumes un livre Trois livres de Salomon proverbes un livre ecclésiaste un livre cantique des cantiques un livre La Sagesse, du même un livre (notes) Ecclésiastique un livre (notes)

douleur,, l’horreur, la terreur, la tristesse. Vocabulaire : destiné à apitoyer le récepteur, le registre pathétique utilise le lexique de la compassion : termes évoquant la misère et la douleur associés à un vocabulaire affectif (tristesse, lamentation) et religieux (supplications), lexique de la souffrance. Formes : afin d'émouvoir, le registre pathétique use d'une fréquente prise à partie de l'auditoire (exclamations, invocations, apostrophes invitant à la déploration). Les images sont violentes

dans un cachot pour avoir tué son rival le seigneur Adraste qui l’avait surpris lors d’une rencontre amoureuse avec sa femme Isabelle, il est condamné à mort. Le voilà alors confronté à l’angoisse de la mort, de la souffrance et de la honte. Il nous livre alors, dans un monologue pathétique et sincère, ses tourments, ses espoirs, ses obsessions. Pourtant, le spectateur, témoin de la scène précédente, est complice du projet de Lyse et d’Isabelle de sauver Clindor et de s’enfuir avec lui, avec l’aide

balancement entre envolée lyrique et recherche d’un espoir, d’une part, et soumission à l’ordre des choses et à l’approche de la mort d’une autre. Les rimes sont croisées, souvent pures, suffisantes ou riches. Ce poème appartient au livre V des Contemplations, un livre resserré autour des thèmes de l’exil et de la mort. Intitulé « En Marche », il met en scène des moments de déambulation qui sont l’occasion de méditations, comme c’est le cas ici sur l’inéluctabilité de la mort et sur la condition