Locuteur

un contexte. Max Weber lui, dit que l’interaction c’est l’action qu’on accomplit toujours en tenant compte de l’action de l’autre. Dans la situation d’interaction il y’a donc des acteurs de communication qui sont les locuteurs. 3- Variables 3 types de variables affectés aux locuteurs dans une situation de communication : Variable psychologique Variable Cognitive Variable Sociale La variable psychologique= son système de besoin qui détermine ses motivations( implicite, explicite ou non consciente)

appréhendé du point de vue de ses effets. La pragmatique se définit alors comme l’étude de l’usage de la langue c'est-à-dire comme l’étude de ce qu’on fait avec la langue. III- L’OBJET DE LA PRAGMATIQUE La pragmatique décrit l’objet d’énonciation des locuteurs. Elle accorde d’emblée un vif d’intérêt à la détermination contextuelle de l’expression. C'est-à-dire que la pragmatique s’occupe de l’interprétation du discours en contexte. IV. LA PROBLEMATIQUE DU CONTEXTE En pragmatique, le contexte est concept

Enregistrement A. * Le premier locuteur, F., est un homme âgé de 46 ans, il est né au Portugal et est arrivé en France à l’âge de 17 ans. Il est ouvrier qualifié dans une entreprise de BTP et ne parle portugais qu’au sein de son foyer et en famille. * Le deuxième locuteur, M., est une femme âgée de 43 ans, elle est née en France mais a grandi avec des parents d’origine portugaise. Elle ne parle portugais qu’au sein de son foyer et en famille. * Un troisième locuteur, G., intervient, il s’agit

la perdre. (Nous en sommes à cette étape, nous venons de celle-là, nous allons aborder celle-ci). Il s’inscrit dans une stratégie argumentative : développer ou réfuter une thèse, concéder, débattre. Le schéma argumentatif peut varier : le locuteur peut choisir de défendre sa propre thèse et de passer sous silence celle de ses adversaires dans une « splendide indifférence » ; il peut aussi commencer par réfuter la thèse adverse ou, à l’inverse, il peut se montrer conciliant en acceptant quelques

peut aussi être inclus dans le pronom indéfini(on) ,mais ce n’est pas toujours le cas.L’émettteur d’un énoncé cite parfois les paroles d’autres locuteurs :le passage d’un locuteur à l’autre est perceptible à la ponctuation ,qui souligne la présence des paroles rapportées par des tirets(-), deux points( :) ou des guillemets(« …»).Il arrive aussi qu’un locuteur exprime dans son propre discours des idées auxquelles il n’adhère pas, et qu’il ne prend pas à son compte.Les différences et les oppositions entre

et adresses au lecteur, questions oratoires - Implication du locuteur : marques de la première personne, modalisateurs, marques de jugement. - Rythmes éloquents amples, periods - Lexique chargé de valeur (Bien/Mal, etc.)" - Implication du destinataire : apostrophe et adresses au lecteur, questions oratoires - Implication du destinataire : apostrophe et adresses au lecteur, questions oratoires - Implication du locuteur : marques de la première personne, modalisateurs, marques de jugement

aucun Sujet réel ne parlait), le discours se caractérise par une énonciation supposant un locuteur et un auditeur, et par la volonté du locuteur d’influencer son interlocuteur. 2. Le texte Le texte est l’objet de l’analyse du discours. C’est un ensemble cohérent d’énoncés qui constituent un propos écrit ou oral. 3. L’énonciation L’énonciation désigne les traces linguistiques de la présence du locuteur au sein de son énoncé, c’est à dire tous les phénomènes de subjectivité dans le langage.

dialectes, des sociolectes distincts. Les règles qui régissent les alternances codiques sont à distinguer de celles liées à la situation diglossique. L’alternance peut être envisagée comme une action et donc un acte volontaire et intentionnel du locuteur ou comme résultat d’un mode de parler où l’on est habitué à changer de langue de manière fréquente et régulière. Le premier est lié directement à l’individu et aux choix qu’il fait. Le second est le produit de la situation diglossique ; Il est

référence à la production des énoncés par un locuteur dans quelque situation de communication. Elle se produit plusieurs fois et peut répondre á ces questions: Qui parle?, á qui?, á quel moment?, où? Elle a aussi des indices qui sont les traces que la personne laisse bien dans un texte ou dans le discours. Ils comprennent aspects comme  la personne qui comprenne : les pronoms personnels. On peut dire qu’ils nous montrent la présence et l’interaction du locuteur (je, me, moi) et du destinataire (tu, vous

réponse aux attentes du locuteur ou pour les contrer. « La conversation consiste donc une activité qui implique activement tous les participants, chacun agissant en fonction de l’autre, en accord conversationnel avec les attentes de l’autre ». Les activités de l’auditeur au cours de l’intervention du locuteur sont nombreuses outre les tâches liées au décodage de ce qui est dit et éventuellement la préparation de la réplique, l’auditeur doit montrer qu’il accompagne le locuteur dans son discours. Cette