Loft Story

Segmentation des ventes par émissions                                                                                         A LA RECH FERME CELEBRITY LOFT STORY NICE PEOPLE PENSIONNAT POPSTARS STAR ACADEMY TOTAL TV réalité A LA RECH FERME CELEBRITY LOFT STORY NICE PEOPLE PENSIONNAT POPSTARS STAR ACADEMY TOTAL TV réalité A LA RECH FERME CELEBRITY LOFT STORY NICE PEOPLE PENSIONNAT POPSTARS STAR ACADEMY TOTAL TV réalité   Cumul  498 629 112 369 4 504 157 9 352 1 255 282 4 018 308 5 898 602 5 050 392 590

Séance 2 : La communication télévisuelle : spécificité et outils d'analyse 2001 : Loft story + La Vie sexuelle de Catherine M, Catherine Millet : scandale et succès littéraire de l'année, description en détail de l'ensemble de ses expériences sexuelles >>> surexposition médiatique. Modification de notre conception de ce qui est visible, tolérable. Télémorphose, Jean Baudrillard : « Toute notre réalité est devenue expérimentale. En l'absence de destin, l'homme moderne est livré à une expérimentation

voyeurisme du téléspectateur. La télévision cherche à choquer l’opinion des téléspectateurs pour stimuler l’émission. Cette idée est reprise dans l’essai d’Olivier Razac, L’écran et le zoo. Spectacle et domestication, des expositions universelles à Loft Story, paru en 2002, où il explique que le fait de filmer constamment la vie des individus permet au téléspectateur de s’identifier à eux, à considérer qu’il leur ressemble, à se sentir proche d’eux et à penser que ces candidats ne sont pas si différents

Révolution dans le PAF : en 2001, pour la première fois, la chaîne télévisée M6 diffuse un programme de télé-réalité français : Loft Story, inspiré de Big Brother, succès international mis au point par la société de production néerlandaise Endemol. La même année Star Academy réunit un français sur deux de moins de 50 ans devant son poste de télévision. Les programmes de télé-réalité en France se révèlent ainsi aussi efficaces que leurs homologues dans d'autres pays. Désormais, une large part de

réalité. Mais, les émissions de téléréalité sont de plus en plus nombreuses et variées, essayant toutes de dépasser les limites pour avoir un taux d'audience en hausse. Les téléspectateurs ne se contentent donc plus de regarder les candidats du « Loft Story » en train de faire la vaisselle ou de bronzer devant la piscine par exemple. Pour répondre à ce manque d'intérêt de la part du public, les producteurs décident de mettre en scène des situations pour capter l'intérêt des téléspectateurs. Pour

pas ici comme des heures de lecture ». Par son aspect audiovisuel, le télévision ne permet pas de temps de réflexion, aussi efficacement qu'un support écrit. On se contente de nous donner l'image. Comme le dit Erwan Desplanques dans Passe dans le loft d'abord, « beaucoup d'entre nous cherchent à qui ou a quoi s'identifier, même s'il ne s'agit que d'une expérience « par procuration ». Le spectacle de la vie des autres, exposé avec complaisance, permet, même de façon limitée, de savoir un peu plus

d'Internet qui ne sont pas connus de tous les utilisateurs. Ces règles permettent de surfer sur la toile sans danger. Cette connaissance des règles manquerait surtout aux 15 – 25 ans. Et explique ce phénomène par l’apparition des télé-réalités comme Loft Story, qui ont pour but de diffuser des images de la vie privée des personnes y participant. Patrice Flichy, énonce que la frontière entre la vie publique et la vie privée est nettement moins nette qu'auparavant. Il explique que les discussions publiques

peuvent provoquer sur eux… sans jamais être critique, mais je reviendrais sur ce point plus tard. Des dessins animés (de Franklin à Arnold, en passant par les Minikeum, Pokémon et les Totaly Spies), des jeux télé, des émissions de téléréalité (Loft Story bien sur, mais aussi Star Academy, Koh Lanta ou le Pensionnat de Chavagnes), des séries et des fictions. Ce sont autant de programmes qui ont passionné les plus jeunes et sur lesquels les auteurs vont revenir. Ils vont analyser les raisons de

Lumières- comme critère de la démocratie, critère ici particulièrement menacé. En effet, fleurissent depuis quelques temps minitels ou téléphones roses, intimes confessions télévisées, cybersexe ou webcams -et la « cerise » sur ce gâteau rance: « Loft Story »-. S’il ne s’agissait là que d’un inoffensif exhibitionnisme, peu importerait. Mais ce qui fait peur ici, c’est la menace de la généralisation de ce phénomène, la construction presque d’un nouveau mode de vie d’où l’intime est chassé, où -surtout-

le bouquet du groupe : M6, W9, TVA, Paris première qui permet de toucher une audience variée. -Programme Tv à forte notoriété et faisant beaucoup d’audimat à chaque chaines du groupe. - Chaine précurseur sur beaucoup de domaine : Télé réalité (loft story)  / Participation de l’audimat en directe via la rubrique ‘ connecte’ (via smartphone ou tablette). - Une notoriété bien affirmée. - Propose de nombreuses expériences interactives. -Touche un grand nombre de cible grâce à de nombreux DAS. -Détient