Logarithm

0,509803922 Poids Moléculaire 95 72 56 43 34 Logarithme du poids moléculaire 1,98 1,86 1,75 1,63 1,53 Tableau 1. Valeurs du poids moléculaire et de la distance (en cm) de migration des bandes obtenues par le marquer de taille pour les protéines Erk total. Distance (cm) 0,8 1 1,55 2,1 2,55 3,4 Mobilité relative 0,144 0,180 0,249 0,378 0,459 0,613 Poids Moléculaire (kDa) 130 95 72 56 43 34 Logarithme du poids moléculaire 2,114 1,98 1,86 1,75 1,63

nuage de points. Le point moyen G est le point dont les coordonnées sont xG = x = ∑x i =1 i =n i (moyenne des séries) n n Selon la forme du nuage, on peut l’ajuster de manière affine, quadratique (carré/racine carrée) ou grâce aux logarithmes/exponentielles (on pose, en général, zi = ln ( yi ) ) et yG = y = ∑y i =1 i =n i Ajustement des extrêmes : Ajustement affine qui utilise les deux points extrêmes du nuage (le premier et le dernier) Ajustement de Mayer : Ajustement

at 5%; *** significant at 1% GDP : logarithme du taux de croissance de PIB réel par tête GDPI : logarithme du niveau de PIB réel initial par tête (1987) IGDP : logarithme du taux d'investissement privé % au PIB HUM : logarithme du stock de capital humain POP : logarithme du taux de croissance de la population TO : logarithme du degré d'ouverture commerciale de l'économie (X° + M° / PIB) M2 : logarithme de La monnaie au sens large par rapport au PIB CSP : logarithme du crédit accordé au secteur privé

Wilhelm (1646-1716)). La fonction exponentielle, le logarithme et les fonctions trigonométriques. Euler donne dans l'Introductio ( chap. VI à VIII) un exposé des fonctions transcendantes élémentaires : La fonction exponentielle, le logarithme et les fonctions trigonométriques y sont envisagées ainsi pour la première fois. L'exponentielle az (où a > 0 est une constante) est définie par interpolation pour z réel, entre les valeurs rationnelles de z, et le logarithme est défini comme fonction inverse de l'exponentielle

sont nulles. 1. D´terminer l’´quation (en logarithme) de la courbe IS dans les deux ´conomies. e e e L’´quilibre sur le march´ des biens (en logarithme) domestique et ´tranger s’´crivent : e e e e y y∗ = = c +i + g +bc, =0 ∗ =0 c +i∗ + g ∗ +bc∗ , =0 =0 avec y = ln Y , c = ln C, i = ln I, g = ln G et bc = ln BC, et, y ∗ = ln Y ∗ , c∗ = ln C ∗ , i∗ = ln I ∗ , g ∗ = ln G∗ et bc∗ = ln BC ∗ . Les ´quations de comportement (exprim´es en logarithme) e e impliquent : I = R−b BC = Q I = (R )

d'un polyèdre convexe (ex : le cube, le tétraèdre...), la fonction exponentielle, le logarithme et les fonctions trigonométriques. Ses travaux ont permis l'essor de l'analyse grâce aux équations différentielles et intégrales. Il aborda également la géométrie différentielle, la théorie des nombres. Infatigable, il a aussi imposé dans un souci de clarté de nombreuses notations comme e pour la base des logarithmes népériens, Σ pour la sommation, i pour les imaginaires et vulgarisé la notation π (introduite

DES MATIÈRES 4 Fonctions exponentielles et logarithmes 4.1 Les fonctions exponentielles . . . . . . . . . . . . . 4.1.1 Définitions et exemples . . . . . . . . . . . . 4.1.2 Propriétés . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 4.1.3 Deux fonctions exponentielles particulières . 4.2 Les fonctions logarithmes . . . . . . . . . . . . . . . 4.2.1 Définitions . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 4.2.2 Représentation graphique . . . . . . . . . . 4.2.3 Le logarithme népérien . . . . . . . . . . . . 4.2.4 Changement

DES MATIÈRES 4 Fonctions exponentielles et logarithmes 4.1 Les fonctions exponentielles . . . . . . . . . . . . . 4.1.1 Définitions et exemples . . . . . . . . . . . . 4.1.2 Propriétés . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 4.1.3 Deux fonctions exponentielles particulières . 4.2 Les fonctions logarithmes . . . . . . . . . . . . . . . 4.2.1 Définitions . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 4.2.2 Représentation graphique . . . . . . . . . . 4.2.3 Le logarithme népérien . . . . . . . . . . . . 4.2.4 Changement

suffisants, le calcul direct peut avoir ses avantages. Je serais porté à croire que deux calculateurs exercés aux opérations abrégées et se contrôlant mutuellement, prélèreront le calcul direct à l'intermédiaire des logarithmes. Cependant on pourrait aussi employer les logarithmes des tan¬ gentes et non pas les tangentes naturelles. Le calcul des formules se ferait alors au moyen d'une de ces tables, connues sous le nom de log. de Gauss, ou log. d'addition et de soustraction. En voici un

des femmes scientifiques au XXIe s : quelles problématiques demeurent ? 13. échelle de Richter : en quoi les logarithmes sont utiles pour modéliser l’intensité des séismes ? 14. Les décibels : en quoi les logarithmes sont-ils utiles pour modéliser l’intensité sonore ? 15. Comment les équations différentielles aident-elles à modéliser les circuits RC ? 16. Comment exploiter les logarithmes pour étudier le coût d’exécution, en temps ou en mémoire, d’un programme ? 17. En quoi la notion de récurrence