Logique Actionnariale

chaque philosophie exprime le style du philosophe qui l'a proposée. En philosophie, les opérations de base sont : informer, problématiser, conceptualiser, juger et argumenter. Ses outils privilégiés sont l'analyse (l'analyse conceptuelle, l'analyse logique ou linguistique), la synthèse, la critique, la dialectique (la discussion critique). En général, les philosophes n'abordent pas les questions au premier degré, directement, comme le commun, mais à un second niveau, plus général et plus abstrait, car

pardonnable : on ne sait as tout impardonnable : elle s’appuie sur un défaut de logique (trouver la raison de ce qui n’est pas ) > Parallélisme (proposition affirmative/négative) souligne cette absence de démarche logique C. Faiblesse de l’homme « non seulement »… « mais encore »

vue, argumenter dans | | |le respect des autres ; | | |Etre capable de raisonner avec logique et rigueur ; | | |Savoir s'autoévaluer. | |Conditions

les plaidoiries. Le registre didactique : Le registre didactique est utilisé dans les maximes, les essais, les fables, les dictionnaires. Il vise à délivrer un enseignement, imposer un avis ou une opinion. Il peut s’appuyer sur un raisonnement logique soutenu par des définitions précises et des exemples illustratifs ou sur une voix d’autorité qui impose une opinion Le registre polémique : Ce registre vise à provoquer et à dévaloriser l’adversaire en suscitant l’indignation. Le registre polémique

débats autour des accords internationaux de commerce au sein de l'Organisation Mondiale du Commerce, en particulier lors de la conférence de Seattle, ont mis l'accent sur la question suivante : la culture peut-elle et doit-elle s'insérer dans la logique générale de libéralisation du commerce à l'instar des autres biens et services? Aujourd’hui au nombre des Industries Culturelles (IC) figurent en bonne place les filières culturelles comme : l’audiovisuel, le cinéma, le multimédia, le patrimoine

La logique formelle Le raisonnement par syllogisme Définition Le syllogisme est un mode de raisonnement exposé il y a 2 400 ans par le philosophe Aristote. Ce raisonnement consiste en deux propositions dont on déduit une troisième ; il est ordinairement fondé sur un des deux principes suivants, où il n’y a pas d’erreur possible : ● Ce qui convient à l’idée d’une généralité, convient à chacun des individus qui composent cette généralité. ● Ce qui ne convient pas à l’idée d’une généralité, ne

utilisé : logique propositionnelle (permet d’exprimer des relations entre constantes cad une logique sans variables). 0+ : formalisme composé d’éléments de la forme : “ Objet-Attribut-Valeur ” ou “ Attribut-Valeur ” et dans lequel les valeurs peuvent être référencées pour exprimer des relations (Ex : Montant > 100 ou Montant1 > Montant2) ou pour être affectées à d’autres attributs (Ex : Si Montant = 100 Alors Achat := Produit). 1 : formalisme utilisé : calculs des prédicats ou toute autre logique de 1er

humaine et donc de toute existence physique, ne sera pas moins banal qu’un clignement des yeux, que celle-ci n’interrompra pas sa vision. L’auteur s’éloigne par ailleurs du principe de l’explication scientifique puisqu’il n’est pas de raisonnement logique ou concret de pouvoir perdurer dans le monde des humaines au travers d’autres personnes, aussi aimées soient-elles par le défunt. Par opposition Schopenhauer y décrit un homme dont la définition de l’individuation pourrait lui être attribuée puisqu’il

relationnel I- Qu’est-ce qu’une donnée ? C’est une information stockée sur un support (bon de commande sur papier ou sur un ordinateur par exemple). Elle peut être : - Chaine de caractères = texte = alphanumérique * Numérique * Logique ou booléen (lorsqu’on ne peut répondre que par « oui » ou « non ») II- Le domaine de valeur d’un attribut Un attribut est une donnée élémentaire, c’est-à-dire une caractéristique d’un individu ou d’un objet. L’ensemble des valeurs d’un attribut

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2 Logique et langage des ensembles 2.1 Propositions et op´rateurs logiques e 2.2 Quantificateurs . . . . . . . . . . . 2.3 Techniques de d´monstration . . . e 2.3.1 R´currence . . . . . . . . . e 2.3.2 Contrapos´e . . . . . . . . . e 2.3.3 D´monstration par l’absurde e 2.4 Langage des ensembles