Logique polyvalente

la distinction entre la validité logique du raisonnement et la vérité de ce qu’il nous fait connaître, n’en demeure pas moins. On connaît la distinction entre les syllogismes dialectiques dont les prémisses ne sont que probables ou vraisemblables, et ceux, proprement démonstratifs, qui partent d’un vrai anciennement connu pour aller vers un vrai nouvellement connu. Le caractère certain de la démonstration ne tient donc pas qu’à la forme du raisonnement (la logique) mais à la vérité des prémisses de

gestes, d’inflexions de voix qui la renforce et augmente notre pouvoir d’influence. Un moyen de mettre au point les règles de l’échange collectif. Ces normes relationnelles se co-construisent dans l’échange et fournissent des repères pour apprécier la logique de l’argumentation, la sincérité et la justesse des propos. Difficultés 1. Nous ne traduisons pas toujours parfaitement notre pensée. 2. Les mots n’ont pas le même sens pour tous. 3. Les « parasites », c’est-à-dire, tous les bruits, mouvements

- Lignes 10 à 18 Statut : Argument 2 Mot de liaison introducteur : "en outre" Reformulation : L'existence réelle est irrationnelle car elle est livrée au hasard par opposition au roman réaliste qui sélectionne les éléments qui collent à la logique de l'intrigue. IV - Lignes 19 à 24 Statut : Exemple de l'argument 2 Expression introductrice : Un exemple Reformulation : Ce n'est pas parce qu'il y a un grand nombre d'accidents dans la vie réelle que le héros d'un roman réaliste doit disparaitre

irréfutables. La démonstration est ainsi rationnelle et logique; ses conclusions sont normalement indiscutables. Aussi démontrer ne nécessite-t-il pas d’interlocuteur: la vérité de ce que l’on démontre n’a pas besoin d’être accréditée par autrui. Un texte argumentatif qui cherche à démontrer est reconnaissable à: • son apparence généralement objective: le locuteur s’efface, parce qu’il expose une vérité qui a force de loi; • son raisonnement logique, dont la cohérence est explicite; ici, Voltaire emploie

que les personnages se répondent mais il s'agit plutôt de réponses automatiques et motivées par une logique de discussions et d'échanges qui nous montrent que le langage a perdu sa fonction de communication. Effectivement les personnages ont bien l'air de se répondre: l18-20 et l24-25 ils semblent avoir un semblant de cohérence mais il existe simplement car ces personnages ont un automatisme: logique de discussion mais pas car ils se comprennent => tout ceci nous montre que la discussion et l'échange

ferme et si assurée" que nous révèle la pratique étonnante du doute se formule sous la forme d'une proposition énigmatique : " je pense, donc je suis ". La conjonction de coordination "donc" n'indique pas que cette vérité est le fruit d'une déduction logique; il s'agit plutôt d'une intuition authentique, celle de mon existence s'offrant à moi à travers ma pensée. Douter, c'est déjà penser. Nier que ce que l'on pense puisse être vrai, c'est encore et toujours penser. Même suspectée, la moindre pensée reconduit

donc les noirs ont tous une "mauvaise" âme ce qui explique pourquoi il est acceptable de les réduire en esclavage. On retrouve un argument théologique au neuvième paragraphe avançant le fait que les noirs ne sont pas des Hommes. Un raisonnement logique est établi par les connecteurs "parce que" et "si". Les sixième et septième paragraphes sont d'ordre chronologiques, les comparaisons avec les peuples d'Asie et d'Egypte sont établies afin de poser un jugement sur les noirs, amplifiant ainsi la justification

matière, de l’énergie et de l’information sont assemblés et mis en œuvre ou en forme. Par exemple, ne pas être "bon" à l'école, seul moyen pour un élève de conserver son équilibre identitaire, dans sa famille ou dans son quartier • La complexité La logique cartésienne nous avait appris à simplifier tous les phénomènes en éliminant l’inconnu, l’aléatoire ou l’incertain. Mais en fait la complexité est partout, dans tous les systèmes, et il est nécessaire de conserver cette complexité, quitte à admettre

crime davantage porteur de transformations. En assignant au crime le statut d’un acte générateur de conséquences, les fondateurs du modèle réparateur contraignent inévitablement l’action pénale à transformer sa finalité. On ne peut appliquer une logique punitive si le crime s’insère dans le registre exclusif des conséquences dont il est porteur, ce qui est moins le cas d’une situation problème. Une situation problème renvoie certes à l’idée de mobiliser des pratiques de résolution, mais un problème

présomptions légales, résultant de la loi, et les présomptions du fait de l’homme, dégagées par le juge à partir des éléments établis par les plaideurs. Les présomptions légales comme les présomptions du fait de l’homme reposent sur un raisonnement logique déductif et tiennent compte d’une probabilité raisonnable, comme l’illustre l’adage praesumptio sumitur ex eo quod plerumque fit[2]. En revanche, elles diffèrent par leur nature (I) et par leur finalité (II). I. La nature des présomptions Les présomptions