Logorrhée

séquence 16, la plus longue de la pièce, représente le moment fort du drame avec la présence des trois personnages sur scène. Elle comporte trois sous-séquences : L’entrée en scène d’Yvan : cherchant à justifier son retard, Yvan se lance dans une logorrhée (flux de paroles inutiles) qui s’étend sur presque trois pages, dans laquelle il fait un récit confus et tentaculaire, construit à partir de l’emboitement de micro-récits mettant en présence des faits hétéroclites et des personnages multiples

s’agrippe lors des soins, mais n’est pas dans l’opposition malgré une angoisse pour la douche. Le 26 décembre dernier, la résidente crie beaucoup et est très virulente dans ses propos, elle est alors isolé lors du repas. On observe la présence de logorrhée avec des mots grossiers. Du SERESTA sera prescrit le 20 mars 2012 car elle devient très agité se renverse du chocolat chaud et se brule la cuisse. Le 31 mai le SERESTA du soir est arrêté car elle somnole le soir. Le 27 juin, Mme M. présente une

débit normal est de 90 mots par minute. Dans certains cas, ces perturbations du langage dans sa dynamique sont accompagnée d’un autre phénomène : la logorrhée. Tesak la définit ainsi (Tesak : 2006, 18) : « […] ungehemmte, überschießende und inhaltsarme Sprechweise. » [façon de parler effrénée, excessive et dénué de contenu sémantique.] La logorrhée s’accompagne souvent de néologismes (jargonaphasie). Une production verbale non fluente est souvent liée à un autre trouble de l’élocution, appelé dysprosodie

avoir le sujet. Ils ont l’impression qu’ils peuvent tout entreprendre (c’est-à-dire qu’ils peuvent s’endetter gravement, s’habiller de façon très excentrique). Ils sont très irritables et on parle de désinhibition sexuelle. Ils sont atteints de logorrhée. On ne peut pas parler d’hyperactivité, c’est bien une pathologie car ils touchent à tout mais ne finissent rien. Ils ont besoin de se décharger, on parle d’hyperactivité désordonnée. Parfois amnésie. Etat qui dure 5/6 mois à l’époque. ⇨ L’épisode

Types de dialogues : Conversation, entretien, dialogue, discussion, débat, dispute, colloque Rhétorique : éloquence, art oratoire, discours Théâtre : Tirade, réplique, aparté, stichomythie Mots péjoratifs : galimatias, billevesée, bavardage, logorrhée, sophisme Pathologies de la parole : aphasie, mutisme Pour la palette lexicale très riche offerte sur ce thème, voyez la fiche du « corpus Marivaux », 1ère partie. Pour le lexique grec, voyez la fiche du « corpus Platon ». 2. Les distinctions

mégalomanie) 2. Réduction du besoin de sommeil (dans les formes sévères, absence de sommeil pendant plusieurs jours = insomnie rebelle) 3 Désir permanent de parler, grande communicabilité, expression bruyante, rapide et difficile à interrompre (= logorrhée) L’épisode maniaque Critères diagnostiques DSM-IV (2) 4. Fuite des idées, sensation que les pensées défilent (= tachypsychie) aboutissant parfois à un discours incohérent 5. Distractibilité importante (attention attirée par des choses insignifiantes)

d'autrui. Autrui= devient prothèse auditive. Plus d'intensité dans le discours. Essentiel est de dire. Flux info permanent. Aboutit à une confusion permanente entre espace public et privé. Langage qui n'est plus fondé sur la conscience de soi. Logorrhée verbale. Le rapport entre le sujet et la conscience: Le sujet humain se définit par la cse: Aristote l'a attribué le 1er à l'être humain. Une nature humaine. L'homme est un animal doté de raison. L'homme est un animal politique. Il propose

ridicules. Il va de soi que les mécanismes de la tromperie font des caricatures les victimes comiques. Le comique visuel prédominant au début du siècle, garde une place importante. Mais il convient d’insister sur le jeu avec les mots. Jargons étrangers, logorrhées et fatras érudits des pédants, plaisanteries verbales imprégnées de gauloiseries, facéties niaises des valets grossiers et inconvenants, néologismes et décalages à la mode burlesque, tics de langage systématiquement repris: ces moyens assurent une

possibles réussites, d’ailleurs. Car je crois que Truelle peut être jubilatoire et être un vrai terrain de jeu pour ses comédiennes (et donc pour ses spectateurs) ; que la langue que j’y emploie, faite d’alternances de répliques lapidaires et de logorrhées, de répétitions et de tautologies, peut porter avec elle de l’humour et de la poésie – dans un équilibre où l’un ne peut pas aller sans l’autre ; que le mélange de brutalité et de légèreté, de tendresse et de méchanceté, avec lequel elle évoque

Le débat sur l'âme, donne lieu à une cacophonie où chacun dit sa "vérité" et contredit celle de l'autre. Tous les philosophes sont convoqués, d'Aristote à Locke, en passant par Descartes, Malebranche et Leibniz. Micromégas se régale de cette logorrhée stérile et ridicule qui lui permet de trouver enfin le vrai visage de ces "atomes intelligents" et de constater que "les infiniment petits [ont] un orgueil infiniment grand" Les désignations - l’animalisation :-l’animal-les