Logorrhée

d’abandon. Peut-être plus encore que dans les autres soliloques (de La Mère, de Catherine, d’Antoine), (= soliloque : discours adressé à un personnage qui reste muet) Suzanne cherche ses mots et reformule constamment ce qu’elle cherche à exprimer. (logorrhée un flot de paroles déversé de façon incoercible et rapide) « parfois »Anaphore de « parfois » = insiste sur la rareté des nouvelles envoyées par Louis .« tu nous envoyais » et « tu nous envoies »  S. emploie aussi un

grandissant à l’aide de faux dialogue, onomatopée lieu communs, maximes, cliché, proverbe, balbu:ement et pla:tude. Le silence se glisse dans les répar:es réduites à des locu:ons affirma:ves minimales. À l’inverse, certaines répar:es dérivent vers la logorrhée. On assiste à une désar:cula:on du langage au point de se réduire uniquement au son, des répliques décousues, incohérente, souvent cacophonique qui donnent le sen:ment que le langage est vide de sens et des monologue dialogique qui plongent personnage

de choses inintéressantes et rien ne se passe. Les informations apportées soulignent l'aspect artificiel de la double énonciation(acteurs/spectateurs). II. L'enjeu est dans le langage 1. Une scène de bavardages Mme Smith est prise de logorrhée(flux de paroles), elle parle à M. Smith qui ne l'écoute pas, elle passe du coq à l'âne. Elle n'est pas maître de ses paroles. Ce qu'elle dit, en faisant de longues énumérations, n'a aucun intérêt. 2. Son langage est mécanique Les répliques

cette mine » « grimace » « dégoûté » ( « Le Monarque irrité l'envoya chez Pluton faire le dégoûté. » l’ours se fait tuer Le singe ( Il parle trop : « flatteur excessif » « approuva fort » ( accumulation aux vers 20-21-22 ( Renforcement de la logorrhée avec des flatterie inutiles : « ambre et fleur » V.24-25 ( Flatterie négative « mauvais succès » = oxymore / « encor puni » = euphémisme qui rappel le sort de l’Ours ( La parole est inefficace. Le renard ( symbole de la ruse ( Il utilise la

d'hommes: → inséparable, interdépendants. → Souffrance partagée physique et morale => pieds et cauchemars → Rapport difficile aux paroles => Focalisation sur lui même (Estragon) => Cœur parler, cherche la communication (Vladimir) => Parole logorrhée (Lucky) Dialogue de sourd: mais le langage est indispensable.

l’acte, persévération, potomanie, régression, rires immotivés, stéréotypie, stupeur théâtralisme -Troubles de la pensée et du langage: automatisme mental, barrage, contamination, délire écholalie, fading, fuite des idées, hermétisme, idée délirante, logorrhée, mégalomanie, néologisme, obsession, parasitage, verbigération -Troubles de la perception : Dysmorphophobie, hallucination, illusion, préoccupation hypocondriaque -Troubles de la conscience de soi : dépersonnalisation, désinhibition, discordance

droit avec l’esprit le plus simple » montre qu’il est capable d’évolution malgré son aspect le plus souvent passif. Ici, il est clairement opposé à P. qui est figé dans un discours intarissable et sans fin. Cf points de suspension : P. manifeste une logorrhée (=fait de parler de manière intarissable). Le discours creux de Pangloss… -Son discours confirme un personnage pédant et sclérosé. Il développe en effet le thème traditionnel de la précarité du sort des puissants : il s’agit là d’une parole-cliché

travailler, synonyme de malheur (le vice, le besoin et l’ennui) L’auteur semble nous avertir que le travaille est synonyme de bonheur. III. L’objectif du conte : dénoncer l’optimisme 1) L’accumulation parcourt les paroles de Pangloss, cette logorrhée produit un effet d’inutilité et d’ennui sur les personnages et sur le lecteur. 2) Le leitmotiv de Pangloss est de dire (ou défendre) que tous les faits ont une suite logique et que la situation actuelle dépend des événement passés. La relation

Cunégonde est « fraîche, grasse, appétissante » : objet de consommation/femme. -antiphrase : fils du baron est « en tout digne de son père » -« métaphisico-theologo-cosmo-nigologie » mot long qui n’existe pas, assonance en [o]. « logos » rappelle la logorrhée de Pangloss avec son discours pseudo-philosophique. Discours de « nigaud ». b. Fiction ancrée dans la réalité - « Westphalie » région existante d’Allemagne - Réalités de l’époque de Voltaire : « château », « vicaire », « meute », « précepteur

11-12-13) III) L'objectif du conte : dénoncer l'optimisme A) Le discours de Pangloss Les paroles de Pangloss sont caractérisées par l'énumération → Son discours s'écoule comme un fleuve et s'oppose aux paroles des autres personnages Par cette logorrhée verbale, il devient ridicule et insupportable. B) Des arguments invalides Ses argumentations sont défaillantes. En effet, il cherche à prouver que « tous les événements sont enchaînés dans le meilleur des mondes possibles ». La raison donnée