Loi De Baumol

insérés dans le système, mise en place d’une politique de redistribution D1. Droit de la Propriété • Capacité des personnes physiques et morales d’acheter, posséder (jouir), vendre des biens sur le marché. Les droits de propriété sont définis par la loi, règles juridiques rendant possible la détention privative et la jouissance d’un bien. Ne pas la respecter revient à voler. • Quels exemples de droit de propriété connaissezvous ? • OAMI : Protection de la marque • INPI : Propriété industrielle (dépôts

services à forte productivité (télécommunications ou finance). 2.2. Secteur public et croissance Pour pallier les défaillances du marché, l'État est conduit à aider des secteurs à productivité faible, d'où la faible productivité du secteur public (loi de Baumol6). Qui s'explique également par une gestion bureaucratique par l'État (Olson7). Cependant, pour nombre de secteurs économiques, comme l'éducation, la recherche, les infrastructures..., la production de biens publics améliore les performances

firme légale et possible pour une entreprise - terme juridique * Firme : - dans la microéconomie sur le marché - relation entre les entreprises et les comportements * Institution : - ensemble des structures définies par la loi, la coutume pour répondre aux intérêts collectifs (Etat, région..) - développement de règles qui vont s’imposer comme des contraintes * Organisation : - terme utilisé par les gestionnaires - ensemble de moyens structurés (Robbins)

au RU, on va faciliter l’embauche de la main-d’œuvre par les entreprises, notamment en mettant fin aux droits de propriété sur les terres collectives (pour que les pauvres puissent accéder aux terres collectives. Fin des privilèges en 1789 1791 : Loi de Chapelier : interdit toute association de travailleurs mais aussi de patrons : met fin aux corporations. C’est une phase de libéralisme importante. Il y a l’idée de créer un droit rationnel qui permette la création de l’entreprise. Droit : code

simultanés et interdépendants sur l’ensemble des marchés et cela sans intervention de l’Etat. Cela signifie aussi que, en concurrence pure et parfaite, si deux des trois marchés sont à l’équilibre, le troisième le sera aussi : ce résultat est appelé la loi de Walras et se généralise aussi : soit une économie composée de n marchés, l’obtention de l’équilibre sur (n1) marchés implique nécessairement l’équilibre sur le énième marché. Les économistes Arrow et Debreu (1964) ont prouvé l’existence économique

résidentes (IFM) de la zone euro dont les exigibilités vis-à-vis des agents non financiers présentent un certain degré de liquidité, un caractère monétaire marqué. Pour la France, il s’agit de la Banque de France, des établissements de crédit au sens de la loi bancaire, de la Caisse des dépôts et consignations, des OPCVM monétaires du Trésor public et de La Poste, en tant que collecteur de dépôts (comptes chèques postaux, comptes courants auprès des Caisses nationales d’Épargne et Comptes du Trésor).

de monnaie fiduciaire et scripturale des décisions de la banque centrale. (b) Par dichotomie forte, on entend que la monnaie n’a que des effets nominaux sur l’économie et non pas des effets réels, elle est un voile. Cette idée se retrouve dans la loi des débouchés de SAY (les produits s’échangent contre des produits). C’est l’objet de la théorie quantitative de la monnaie, dont Jean BODIN est à l’origine (il explique la hausse des prix au 16e qui affecte la péninsule ibérique puis l’ensemble de

commerciaux entrainent une rentrée d'or qui fait monter les prix dans le pays excédentaire . Légitime le libre-échange même entre des pays très inégalement développés et dotés, dont certains sont dominants et d'autres dominés. avantages comparatifs (loi des) Ricardo B beta théorie des marchés financiers dans le modèle d'équilibre des actifs financiers (MEDAF ou CAPM), le béta est une caractéristique spécifique de chaque actif (action ou obligation). Le béta mesure le degré de risque de cet actif

commerce. • D’autre part, si les billets sont excédentaires, ils vont se dévaloriser, leurs propriétaires vont en demander la convertibilité, le nombre des billets diminuera et l’équilibre se rétablira. • Enfin, en raison de la loi du reflux ( le remboursement des crédits donnant lieu à un retour de la monnaie), la création des billets est temporaire. Aucun excès durable n’est à craindre puisque le flux initial est tôt ou tard annulé par un reflux. Aucune de ces deux théories

un peu partout dans le monde, requérant des rapports supplémentaires aux auditeurs, et notamment en matière d’évaluation du contrôle interne et des risques qui en découlent. C’est le cas par exemple en France avec la Loi sur la Sécurité Financière (1er août 2003) précédée par la loi américaine Sarbanes Oxley Act (30 juillet 2002). Ces dispositions sont venues revisiter les diligences à la charge des auditeurs, et ont donc touché en partie les méthodes de travail des auditeurs ainsi que leur approche