Loi de Say

économique, origines et développements» (1982). Les économistes eux mêmes ont affirmer que l'objet de l'économie politique est l'étude de la richesse comme: Adam Smith «Recherche sur la nature et les causes de la richesse des nations» (1776). JB. Say «Traité d'économie politique» ou «simple exposition de la manière dont se forme, se distribue la richesse»(1803). Léon Walras «Éléments de l'économie politique pure» ou «théories de la richesse sociale» (1874). Le terme de richesse est retrouvé dans

l’investissement Les néo-classiques ne reprennent pas l’identité entre les deux notions mais utilisent la loi des débouchés de J.B. Say « l’offre crée sa propre demande ».  Pour Say, une augmentation de la production permet de distribuer un supplément de revenu. L’individu, plus riche, achètera plus de biens ou services, et facilite ainsi l’écoulement des nouveaux « débouchés ».  Dans le schéma de la loi des débouchés toute l’épargne sert à financer l’investissement, il n’existe pas d’épargne improductive

salaires sont faibles et proches du minimum vital. Insalubrité – Malnutrition – Maladie. Conditions précaires de vie et de L. Ouvriers n’ont pas le droit de se regper pr défendre leurs intérêts. Les syndicats sont nés à la fin du XVIIIème s : LA LOI LE CHAPELIER. 1.2. Les Classiques : une nouvelle approche de l’économie politique Marx qui a donné a postériori le nom de classiques. Les différents auteurs anglais à défaut d’apporter des réponses semblables ont posé les mêmes questions : -Quelle

travail soit pleinement employé. – Tout les biens offerts ont des débouchés, sinon les prix baisses jusqu'à ce qu'il y ait égalité entre l'offre et la demande. La logique d'offre des biens et services s'appuie sur la loi de Say et la théorie quantitative de la monnaie. – Say énonce que toute offre crée sa propre demande : «C'est la production qui ouvre les débouchés au produit».Les revenus distribués à l'occasion de la production sont dépensés en achat de biens et services (demandés). Par

2010Michel Beaud | L’irrésistible montée du capitalisme industriel (1800-1870) Au tournant du siècle, le choc des idées Bien qu’une nouvelle génération de manufacturiers, de fabricants, d’industriels s’affirme (avec pour porte-parole J.-B. Say en France, D. Ricardo en Angleterre), le développement capitaliste de l’industrie, amorcé en Angleterre, n’est pas dominant au début du XIXe siècle. La discipline de la production mécanique et la menace de la misère nue soumettent les travailleurs des

épidémie, meilleur alimentation, pas de conflit majeur. Cela a des répercussions sur l’économie. b) La révolution agricole. La révolution agricole évènement qui touche particulièrement la Grande Bretagne. La loi contre les enclosures va entrainer la concentration des terres. Changement de production, apparition de nouveau produit (pomme de terre), modification pour régénérer les sols. Tout cela se traduits par l’accroissement des rendements. Cela produit

l’équilibre. 1.2 La loi des débouchés Say se questionne sur l’intérêt de la monnaie. La monnaie est considérée comme neutre car elle ne modifie pas le fonctionnement du système économique, elle ne sert que de moyen de transaction comme un voile posé sur les échanges. Say parle de loi des débouchés : ‘’ le seul fait de la formation d’un produit ouvre dès l’instant même un débouché à d’autres produits’’. Le fait de produire un bien créer des débouchés pour d’autres biens. Selon Say l’offre crée sa

considération le travail direct (celui des salariés), mais aussi le travail indirect (contenu dans les installations, machines ...). La valeur d'échange se ramène à une quantité de travail incorporée. La loi des rendements décroissants : A partir de sa théorie de la répartition, Ricardo forme sa loi des rendements décroissants. Pour faire face à l'accroissement de la demande induit par l'augmentation de la population, il est nécessaire de cultiver de nouvelles terres de moins en moins fertiles, dont

Quand le revenu total augmente, la consommation n’augmente pas autant, donc si l’emploi supplémentaire est consacré à la production, il y aura des pertes, en d’autres mots l’offre ne crée pas sa propre demande ce qui contredit la théorie classique (Loi de Say). Pour Keynes ce qu’il faut à ce moment là c’est un investissement suffisant pour absorber l’excès de la production totale. Il y a donc un équilibre où toutes les capacités ne sont pas employées, c’est donc un équilibre de sous emploi. Quand l’incitation

l'offre de travail et de la demande de travail) st résumés par la Loi de Say. A)La loi de say L’éco français jean Baptist ( principal économiste classique français) affirmait il y a deux siecles : «  un produit terminé offre des cet instant un débouché à d’autres produits pour tout le montant de sa valeur » Un économiste britannique du 20 e s auquel nous nous interesserons plus tardivement, John Maynard Keynes resuma cette loi par la formule «  toute offre crée sa demande » ; C’est-à-dire