Loi de Say

ECONOMIE POLITIQUE INTRODUCTION : Eco = terme polysémique // nomos : loi, règle, administrat° - oïkos : maison sens courant : renvoit à des comportements ( faire des économies à la gestion des b d'un collectif et et au cadre ds lequel prenne place les activités de p°,d'ech et de conso°) désigne discipline ou la science Cependant, historiquement sens terme à évoluer Tout d'abord, renvoit à gestion de la maison, du domaine familiale : gérer b d'une famille, gérer nation [

(1772-1823), le français Jean-Baptiste Say (1767-1832) puis l’allemand Karl Marx que l’on classe plus dans les néo-classique. Les économistes classiques s’accordent a penser que l’Etat doit avoir un rôle minimal voir au mieux nul dans l’économie, car celle-ci fonctionne mieux si la loi principal de l’offre et la demande s’applique de façon « naturelle ». Ils résonnent aussi quasiment tous sur la valeur-travail d’une marchandise pour en déduire sa valeur à part Say qui lui pense au contraire que la valeur

évidence : le système capitaliste et le système socialiste. 2.1. L’apologie du capitalisme naissant L’analyse du capitalisme se fonde principalement sur deux postulats : la non intervention de l’Etat dans le mécanisme du marché et la loi de l’offre (la loi de débouché de SAY), qui montre le rôle moteur de l’entrepreneur (la capitaliste) dans le bon fonctionnement du marché. Deux écoles font principalement l’objet de l’apologie du capitalisme : l’école classique et l’école néoclassique. a. L’école

Ricardo, a écrit un ouvrage « Premier Essai sur le Principe de Population » (1798) anonymement. * Il est opposé à l'idée d'une loi d'aide aux pauvres.Il montre qu’en aidant les pauvres, on détériore leur situation. Il part en particulier de la loi de la population : * Celle-ci nous dit qu'il y a une interaction entre la loi de la fécondité, et la loi de progression des ressources naturelles. * La population ne peut pas augmenter plus vite que les ressources, elle sera

rationnel. Ce n’est pas parce qu’un individu ne l’est pas que l’hypothèse de rationalité doit être rejetée). Nous pouvons préciser les démarches et méthodes adoptées par la science économique en définissant rapidement les termes d’hypothèse, de loi et de modèle. Une loi est un raisonnement théorique destiné à donner une représentation des liens entre les variables économiques. Les lois sont fondées sur des hypothèses plus ou moins contraignantes. Une hypothèse est une simplification de la réalité qui rend

avec l’intérêt général pour vu que les individus soient libres. Ainsi, l’Etat ne doit pas intervenir dans l’économie, il faut laisser libre l’initiative privée. D’où le principe de « laisser faire, laisser passer ». II.2. MALTHUS (1766-1834) : la loi de la répartition et le libre échangisme Publié en (1798) et intitulé « essai sur le principe de la population », l’ouvrage de MALTHUS constitue une recherche sur la grande misère ouvrière existante à la fin du XVIIIème siècle en Angleterre. SMITH

d’autres étapes. La théorie de base n’est pas adaptée. Ces modèles sont simplistes. SECTION 3 : LES METHODES DANS L’ECONOMIE Paragraphe1 : LA METHODE « CETERIS PLURIBUS » (=toute chose égale par ailleurs) C’est un débat entre Jean-Baptiste Say et Ricardo sur cette méthode en environ 1870. Par exemple, la consommation est en fonction du revenu, des prix et des facteurs psychosociologiques. Tout a une influence sur tout. La fonction a plusieurs variables. Elle devient une fonction à une

se traduit par une opposition à l’interventionnisme étatique. La pensée classique a commencée avec Adam Smith. Il a publié La richesse des nations en 1876. La pensée classique s’est épanouie avec une deuxième génération d’auteur : Jean Baptiste Say. Puis il y a David Ricardo : les principes économiques et politiques en 1817. Enfin, Malthus avec ses œuvres en 1798, et 1820. C’est le seul qui ne défend pas le libéralisme économique. Il est favorable aux droits de douanes. Mais, il a des points

remarque que la seconde tasse de café, ou la seconde portion d'un plat, est généralement mois agréable que la première. Ses successeur en déduiront une loi, celle de l'Utilité Marginale Décroissante (formulée par l'allemand Gossen en 1854) : La seconde tasse de café apporte une utilité marginale inférieur à celle apporté par la première tasse. Cette loi permet donc de résoudre le paradoxe de l'eau et du diamant. Si l'utilité marginale d'un bien détermine sa valeur, alors, à cause de l'utilité marginale

chacun. Cette liberté accordée à l'initiative privée va conduire en France à la suppression des corporations d'anciens régimes ( mode de profession organisée avec des institutions, des règles d'accès...) avec le décret d'Allarde en mars 1791 et la loi Le Chappelier en juin 1791. L'Homme est aussi un être doué de raison, il fait des choix rationnels, l'Homme est un Homo œconomicus. Il est donc en mesure de faire des choix lui permettant de maîtriser son destin. Le principe de liberté dépasse donc