Loi des rendements décroissants

John Stuart Mill et David Ricardo, la question de la durabilité de la croissance s’est posée. La « loi des rendements décroissants » de David Ricardo en rend compte. Selon cette loi, l’augmentation de la production pour faire face à l’accroissement de la population nécessite de mettre en culture des terres de moins en moins fertiles, du fait de la rareté de la terre, ce qui diminue les rendements. La conséquence en est une augmentation de la rente foncière. Le taux de profit baisse donc ce qui se

mesure que les facteurs de productions augmentent. Seulement au bout d’un moment la production augmente avec les facteurs de production (travail : employé supplémentaire), mais la production supplémentaire augmente de moins en moins. → Loi des rendements décroissants : avantage retirer d’utilisation supplémentaire de facteur de production diminue au fur et à mesure que la quantité de facteur de production augmente. La croissance au niveau macro Il n’y a pas que la quantité de travailleur qui compte

temps : ainsi pour une population active stable, l’accumulation du capital (dès lors qu’il n’y a pas incorporation de progrès technique) provoquera une augmentation de plus en plus faible du PIB. (Il s’agit de la loi de la productivité marginale du capital ou loi des rendements décroissants). Par exemple La Chine consacre 20 % de son PIB à l’investissement avec des différences selon les secteurs. L’investissement a des effets multiplicateurs sur le revenu national, il permet également d’accroître les

L'investissement est considéré comme une clé de la croissance, car il rend plus efficace le travail humain. Mais il ne suffit pas d'investir plus pour croître davantage: à compter d'un certain niveau, l'efficacité de l'investissement se heurte à la loi des rendements décroissants : sans progrès technique, l'accumulation d'équipements ou de bâtiments ne mène pas très loin. Ce progrès dépend d'investissements spécifiques dans la recherche ou la formation. Dans les pays en développement, où l'investissement devrait

croissance exogène, telles qu’elles sont formulées par Solow. Le modèle de Solow Solow suppose la quantité de travail stable à long terme. Dans ce cas, seule une augmentation de capital peut faire varier la production. Or du fait de la loi des rendements décroissants, la productivité marginale tend vers zéro. A terme l’économie parvient à un état stationnaire. La croissance ne peut alors être provoquée que par une augmentation de la quantité de travail, considéré comme un facteur exogène, et par

limitée par la loi des rendements décroissants d'Anne Turgo (XVIIIème). L'innovation permet de contourner le problème en créant des produits différents, au rendement meilleur.  ​Les qualifications de la main d’œuvre et le capital technique permettent une amélioration de la productivité. ​Pour les sociologues, les institutions sont toutes les manières de faire ou de penser qui ont une certaine permanence dans la société, et qui sont fixées par la coutume ou la loi (attitude

permettra de donner une valeur à cette échange, et donc aux biens. C’est ce problème que les penseurs classiques vont s’attacher à résoudre. Selon eux, les biens ont deux valeurs : -          Valeur d’échange : c’est c’elle qui va être fixé par la loi de marché et par la définition du prix donc elle n’est pas universelle puisque les prix ne sont pas fixe. -          Valeur d’usage : Un bien a de la valeur par ce qu’elle est utile mais elle n’est pas suffisante par ce qu’elle est subjectif chacun

pour chaque niveau de travailleurs. (2 points) b) D’après vous, est-ce que le kiosque de Mme Leblanc répond à la loi des rendements marginaux décroissants? Expliquez en n’oubliant pas d’énoncer la loi. (3 points) La loi dit : si on maintient le capital stable et si on augmente le nombre de travailleurs, il arrive un moment où la PmL diminue. L’exemple répond à la loi puisque la productivité marginale des 3e et 4e travailleurs est inférieure à celle du 2e travailleur. c) Chaque employé

l'hypothèse de rationalité, l'entreprise veut maximaliser son profit et subir des coûts les plus moindres possibles. o Des économies de coût : un prix de revient plus bas o Des économies d'échelle : les rendements d'échelle constants o Des bénéfices PROBLEMES ET LIMITES : La loi des rendements décroissants suppose une innovation technologique permanente 2. Typologie selon l'organisation des flux de production a. LA PRODUCTION EN CONTINU: Elle est réalisée sans temps morts, jours et nuits, y compris

modèle néoclassique de croissance se caractérise par les hypothèses suivantes : • Il existe deux facteurs de production, le capital et le travail, qui produisent un output homogène selon une fonction de production à rendements d’échelle constants et à productivité marginale décroissante pour chaque facteur. • La partie non consommée de la production sert à la formation du nouveau capital. • La force de travail croît à un taux constant par unité de temps. • Pour chaque période le plein emploi