Loi ordinaire

pose la problématique de l’exécution des traités internationaux. On entend par Constitution non transformationniste, la Constitution qui reconnaît l’effet juridique du traité international dans l’ordre interne sans pour autant le transposer en une loi interne. Autrement dit, le législateur intervient uniquement pour la ratification du traité sans aller jusqu’à changer sa forme. Tel est le cas de la Constitution tunisienne et la Constitution française. Se pose dès lors, la question des conditions

ainsi que la continuité de l'Etat. Il est le garant de l'indépendance nationale, de l'intégrité du territoire et du respect des traités ». Ainsi, le chef de l’Etat, véritable « clé de voûte » des institutions françaises, n’est pas un justiciable ordinaire. En outre, l'aménagement des poursuites pénales susceptibles d'être engagées contre lui est considéré comme une règle générale dans les démocraties comparables à la nôtre. En effet, qu’il s’agisse de haute trahison en Italie ou de violations délibérées

fondamentaux mais aussi les droits fondés dans la constitution, les déclarations, préambules, chartes. On va puiser dans la Constitution comme référence pour tous les juges, pas forcément le juge constitutionnel. Les juges ordinaires qui avaient jusque là comme horizon la loi, les PGD, et aussi en termes droits fondamentaux les textes internationaux et européens se voit soumettre cette norme suprême qu’est la constitution. Cette QPC rapproche la Constitution du justiciable et modifie donc la conception

ce que le droit ? • Le droit est inhérent à toute vie sociale • Le droit est lié à la morale d’une société • Le droit désigne la règle et sert à dissocier le résultat de la règle = ambiguïté • Le droit est la source de la loi ; la loi doit être le contenant du droit • Le droit est une règle obligatoire, apte à être appliquée par la contrainte o 2 aspects de la sanction : l’obligation et la coercition possible • Le droit est le régulateur du pouvoir qui

souple : une constitution est dite souple lorsqu’une simple loi suffit à la modifier. C. souple si possibilité pour pouvoirs constitués de la modifier ; par ex modifiable par le législatif par procédure législative ordinaire. Constitution rigide : une constitution est dite rigide lorsque pour la modifier, il faut une loi spéciale (dite loi constitutionnelle) adoptée dans des formes différentes de celles des lois ordinaires. 2° Schéma de la procédure de révision {text:soft-page-break}

conflit est élevé au tribunal des conflit au motif que le tribunal ordinaire n’a pas competence à traiter des affaires dans lesquelles l’Etat est concerné, que la responsabilité pouvant incomber à l’etat ne peut etre regie par les principes etablis dans le code civil mais par de regles speciales necessaire afin de concilier les droits de l’Etat avec les droits privés. Problème de droit : La question se posant est qu’aucun texte de loi ne prévoit la possibilité d’engager devant les autorités administratives

dévalorise l’acte législatif et complique la compréhension de la loi. La dégradation de la loi et les besoins nouveaux en serait l’origine. II/ Et pour cause, la dégradation de la loi et les besoins nouveaux de la société Aujourd’hui, de nombreuses lois publiées ne sont que des textes d’annonce qui ne font qu’encombrer la justice de lois sans valeur et bloquer la machine judiciaire. [...] [...] droit. Nul n’est censé ignorer la loi fiction juridique Cet adage est bien connu, sauf qu’aujourd’hui

thèse de Lassalle ici est qu’une constitution doit être une loi et qu’il est nécessaire que tous les ans de nouvelles lois soient promulguées. Cependant, cela ne peut se passer sans une modification des rapports légaux actuels. La modification des constitutions est soumise a de maintes clauses différentes, et pour le peuple la constitution doit être plus sacrée, immuable et solide qu’une loi ordinaire. Document 8 : Carré de Malberg, la loi, expression de la volonté générale, Sirey, 1931. Carré de

procédure légale ordinaire c'est à dire comme une simple loi. Dans ce cas là, il n'y a pas de supériorité de la Constitution sur la loi. Il arrive qu'il ne soit prévu aucune procédure spéciale de révision dans les Constitutions souples comme dans la Constitution chinoise de 1978 où l'Assemblée nationale populaire avait le pouvoir de modifier la Constitution. Les Constitutions coutumières sont généralement qualifiées de souples car elles peuvent être modifiées par une simple loi votée par le Parlement

l’écrit. D’où le rôle primordial de la loi. Cependant, il utilise également des sources dérivées (ou indirectes). Il s’oppose en cela au droit anglo-saxon dans lequel la codification ne se pratique pas de façon systématique. En effet, le droit anglo-saxon s’appuie essentiellement sur la jurisprudence et la loi y constitue un cadre (Common Law). 3. LES TEXTES FONDAMENTAUX Le droit français s’appuie sur les textes fondamentaux que sont : A. LA CONSTITUTION : Loi fondamentale, la constitution qui régit