Lois scélérates

savoir pourquoi des gens transgressent la loi. N'est-il pas nécessaire d'être injuste aux yeux de la loi ? Dans chaque pays, des lois sont mises en place pour le bien du pays. Une personne peut être amené à commettre un crime, peut-être pour des raisons psychologiques ou pour devenir puissant. Cette personne sera punie par la loi car elle n'a pas respecter les lois du pays. Une autre personne peut se venger. Cette personne n'avait jamais voulu commettre un tel acte mais cette personne veut

pour assouvir à ses désirs. Calliclès prétend qu’il faut respecter la loi de la nature qui autorise les plus forts à exploiter les plus faibles et cela est tout à fait juste puisqu’il est supérieur à lui. Cette thèse remet en cause les droits, les lois en opposition à celle de la nature, et l’égalité mis en place d’après lui par les faibles pour pouvoir être à leur hauteur. Il rejette donc la loi de la société démocratique mais si on acceptait sa thèse, la société serait aujourd’hui en conflit permanente

rejoignait parfois dans le mythe. Platon proscrit comme indigne d'un homme de bien les imitations où le corps de l'acteur accepterait de se faire l'empreinte de réalités inférieures à ce qu'une nature accomplie doit être. Le seul théâtre admit par les lois de la République devait se cantonner à chanter, dans une forme plus narrative que dramatique, les belles actions des héros (c'est-à-dire celles où ils montrent toute leur maîtrise.). Dans ce théâtre moralisant et pédagogique ce sont tous les exercices

de la ligne 7. Dans la cinquième élégie, Solon revient sur ses réformes politiques et explique qu’il a donné un pouvoir politique à tous les Athéniens sans pour autant affaiblir les plus riches. Dans la trente-sixième élégie, Solon revient sur ses lois sociales et politiques. Il explique dans un poème presque épique qu’il a libéré un grand nombre d’hommes opprimés par l’esclavage pour dettes, pour ensuite défendre la création d’un tribunal au sein d’Athènes. Tout au long de son poème, Solon justifie

neuve : déjà au XVIIIème siécle, Danton estimait que si les lois, c'est-à-dire les règles établies par l'autorité souveraine et sanctionnées par le pouvoir public, étaient très dures et répressives, la société retrouverait la stabilité. Mais peut-on admettre cette opinion sans la nuancer ? Pour répondre à cette question, nous verrons d'abord en quoi Danton peut avoir raiso avant de réfuter cette affirmation. Il est certain que des lois sévères sont parfois nécéssaires pour grantir l'ordre social

l'égalité des pouvoirs et la loi est là pour faire régner la justice. Mais, ces lois sont elles toujours justes ? Qu'est ce qui nous permet de le dire ? Sur quoi nous reposons nous pour l'affirmer ? Quelles sont ces conditions ? Nous verrons dans un premier temps ce qui fait qu'une loi est juste. Cependant, nous verrons qu'elle peut parfois être injuste. Enfin, nous nous demanderons s'il suffit , pour être juste , d'obéir aux lois. I – Une loi est juste. A) Par convention. - Règles convenues entre

discussions et les décisions politiques. Est nommé chaque année cinq magistrats (éphores) don le rôle est de « surveiller » la cité. Ils doivent s’assurer que la constitution ne change pas, et qu’elle soit correctement appliquée au sein de la société : les lois sont inchangeables, et doivent être respectées par les citoyens et le roi. Le roi doit avoir un comportement irréprochable vis-à-vis de la loi et du bien de la cité, et les enfants doivent être conduits à une éducation. Mais ces magistrats profitent

voudrait dans notre société actuelle, il y aura beaucoup trop de débordements et cela pourrait tourner en anarchie. S’il n’y a pas de lois préétablies cela signifie que chacun fonctionne selon sa propre loi et tout monde ne possède pas les mêmes lois morales, les mêmes limites. Le meilleur exemple de nos jours est le Burundi, un pays soi-disant possédant des lois mais des milliers de massacres depuis de nombreuses années restent impunis : des tortures, des massacres, des disparitions, … On a même

le sujet est l’évasion de Socrate de la prison où il est détenu après sa condamnation attendant son exécution. Le sujet général du (Criton) est l’obéissance aux lois d’Athènes et la justice. Certains sont d’accord avec Platon pour dire que Socrate devait rester en prison et ne pas s’évader car il aurait commis une injustice contre les lois établies à Athènes. Au contraire, d’autres pensent comme Criton, le personnage, pour dire que Socrate aurait dû s’enfuir car il agissait pour le bien social de

citoyen ou résident. (1) La loi pénale de la république s'applique aux faits commis à l'étranger par un citoyen ou par un résident, à condition qu'ils soient punissables par la loi du lieu de leur commission et soient qualifiés crimes ou délits par les lois de la République. Toutefois, la peine encourue ne peut être supérieure à celle prévue par la loi étrangère. (2) Aucun citoyen ou résident coupable d'un délit commis contre un particulier ne peut toutefois être jugé par les juridictions de la République