Lois scélérates

Il est évident que si les lois sont si présentes dans notre monde, c’est qu’elles permettent à l’état de garder un certain contrôle sur la société. Elles limitent nos droits de citoyens mais nous apporte plusieurs avantages comme la sécurité physique, sociale, les services publics et l’identité que nous avons. Certains voient les lois comme des éléments essentiels dans une société et qu’il faut les respecter sans condition, qu’elle que soit la situation qu’on vit. Ces gens sont persuadés que la désobéissance

public, normalement par son insertion dans un périodique officiel tel que le Journal officiel de la République française ou le bulletin d’un  Abrogation : Annulation pour l’avenir du caractère exécutoire d’un texte législatif ou réglementaire. Les lois et les règlements administratifs ne peuvent être abrogés que par un texte ayant même valeur : un loi par une autre loi, un décret par un autre décret etc. L’abrogation peut ne porter que sur un ou plusieurs articles d’une ou d’un règlement. L’abrogation

de cette discussion nait la question de départ qui est : Es-ce que Socrate doit s’évader? La discutions engendre aussi la question fondamentale : Es-t-il juste de s’évader? Socrate défend sa position philosophique en lui répondant que désobéir aux lois c’est injuste. Le résumé suivant comportera deux parties. La première sera l’argumentation de Criton et puis la deuxième partie sera la réponse de Socrate. Première partie : L’argumentation de Criton Criton présente son argumentation

face à l’itinérance surtout lorsque celle-ci, tradition ancestrale, est enracinée dans les habitudes d’une population entière, dans une société imaginée et conçue pour des sédentaires ? Afin de l’état français a mis en place par l’intermédiaire de lois, des mesures leur permettant de séjourner, (de vivre pour ceux sédentariser), d’avoir des droits aussi bien politiques que sociaux ainsi que des devoirs comme tout citoyen. Accueil, insertion et aire d’accueil des Tziganes L’itinérance est sans

l'annonce Trivelin : "et nous ne prenons que trois ans pour vous rendre sains " Nous pouvons dire que cette tirade est très importante car tout d'abord elle confirme l'hypothèse d'Iphicrate sur les lois de l'île, qui sont ici très clairement énoncées ce que l'on remarque avec "Ce sont là nos lois à cet égard". Cette scène aide aussi le lecteur à mieux comprendre le cadre-spatio temporel auquel il n'y avait eu que des allusions précédemment.

l’accès au travail et le vote aux nationaux Calédoniens. Les français ne peuvent pas voté pour les assemblées territoriales qui vont dicter des lois de pays auxquelles les français vont être assujettis. Problème de l’universalité du suffrage. Expérimentation = collectivités territoriales peuvent se soustraire aux lois nationales afin de tester de nouvelles lois. Problème sur l’indivisibilité. II- Des moyens de prévention d’une efficacité relative. A- La protection offerte par une limitation du

citoyens qui est souverain : en démocratie, le peuple décide des lois sous lesquelles il vit. Mais comme le remarquait Platon, lorsque je suis malade, je préfère prendre conseil auprès du médecin que du menuisier ; est-il bien prudent alors de laisser le peuple, largement ignorant des affaires publiques, décider en toutes choses, et par exemple en élisant ses magistrats ? En d'autres termes, est-ce au peuple qu'il appartient de faire les lois ? Selon Platon, ceux qui n'y connaissent rien courent toujours

mais d'accepter d'adapter la généralité de la loi aux situations toujours singulières. L'auteur fait une distinction entre « justice générale » et « justice particulière ». 2)Les lois dont doit écouler la justice dans un groupe appartiennent au domaine de la réflexion pratique (action politique) alors que les lois énoncées en Mathématiques appartiennent au domaine théorique; elles ont donc une dimension universelle. Ces expressions « Il y a des cas sur lesquels il n'est pas possible de prononcer

sur ce principe de justice que se fonde l’argument principal de la prosopopée des Lois athéniennes. C’est celui du « contrat ». Cet argument dit en effet qu’en s’évadant, Socrate brise injustement une entente juste contractée par lui avec l’État athénien. L’État l’a éduqué, élevé, nourri, etc. De plus, Socrate est toujours demeuré à Athènes et n’a jamais critiqué l’État athénien. Donc, Socrate aurait reconnu que les lois athéniennes sont justes ; il s’est donc engagé à les respecter et à leur obéir

que, quelles que soient les erreurs commises à son propos, la finalité de la loi n’est pas d’abolir ou de restreindre mais de préserver et d’élargir la liberté ; et dans toutes les conditions des êtres créés qui sont capables de vivre d’après des lois, là où il n’y a pas de loi, il n’y a pas de liberté. Car la liberté consiste à être délivré de la contrainte et de la violence exercées par autrui, ce qui ne peut être lorsqu’il n’y a point de loi ; mais la liberté n’est pas ce que l’on nous dit,