Lombroso

majeurs. Avec une domination des disciplines scientifiques qui étudiait la criminalité et la déviance des hommes par des hommes. Au début du XXème siècle, Lombroso et Ferrero, W. I. Thomas et Otto Pollak expliquent le crime féminin. Jusqu’aux années 60, on a des ouvrages sur la prostitution des filles délinquantes. Lom�oso et Ferrero Lombroso et Ferrero font une explication naturaliste de la déviance : ce sont les critères biologiques qui expliquent le crime. Avec également une approche médicale

criminalité elle-même et de ses sources : Criminologie générale = synthèse encyclopédique de plusieurs disciplines : Anthropologie criminelle, étudie les caractères anatomiques et pathologiques du délinquant, recherche du profil du “criminel-type” (Lombroso, “L’homme criminel”, 1876) ;Sociologie criminelle, étudie le milieu social dans lequel évolue le délinquant, et son influence sur celui-ci (Enrico Ferri, “Sociologie criminelle”, traduit en 1905) ; Statistique renseigne sur nombre/nature de l’infraction

commune des Rougon-Macquart. Transmise en ligne directe à Jacques, la tare est la résurgence moderne du fatum antique, comme la ligne Paris-Le Havre est l’épure d’un destin. Le criminel-né Jacques est en effet le criminel-né tel que le définissait Lombroso dans L‘Homme criminel. Le médecin italien reconnaîtra d’ailleurs en Jacques quelques- uns des signes cliniques que Zola avoue lui avoir empruntés : la mâchoire inférieure avançant dans une sorte de « coup de gueule », les «cheveux plantés drus »

enfants ne cesse de croître. III- Causes de la délinquance juvénile La délinquance (tant celle des mineurs que celle des adultes) a longtemps été interprétée comme un phénomène héréditaire. À la fin du siècle dernier, le criminologue italien Lombroso affirmait que certains individus présentant des caractères physiques déterminés (forme du crâne notamment) étaient naturellement prédisposés à commettre le crime. On a même été jusqu'à parler de prédestination criminelle. En réalité, si certains

nullement voir le nombre d’exécutions augmenter, ils s’en tenaient à ce qu’ils appelaient « le compromis de 1832 » : ne garder l’échafaud que pour les crimes les plus graves. Mais la contradiction intrinsèque à cette position fut mise en lumière par Lombroso : « pour être efficace (si tant est qu’elle le soit) la peine de mort doit être fréquente. Mais alors elle est barbare. Et si elle se fait rare, elle devient inutile ». Mais ce compromis permettait de rendre la peine capitale plus acceptable aux

femmes, les facteurs explicatifs Historiquement les th€ories positivistes, cliniques et sociologiques (culturelles) pens‚rent que la criminalit€ f€minine prenait ses sources dans la biologie et la physiologie. La premi‚re partie du 20e si‚cle, de Lombroso et Ferroro (1896), Pollak (1950) … Sutherland (1947), associait donc le crime f€minin aux aspects physiques (menstruations, m€nopause…), et st€r€otypes historico-sociaux (soumission, intelligence et force physiques moindres, sexualit€…). Comme le

d'Auguste Comte. -Lombroso (médecin) : création de l'homme criminel, délinquant en 1876. 4000 autopsies sur des détenus et des soldats. Les détenus présentent des stigmates déformatifs dans le cerveau de ces hommes et qui existeraient chez les animaux primitifs. L'origine de la délinquance serait biologique. On n'est donc plus dans la théorie du libre arbitre mais dans le déterminisme. Il y a un atavisme de la délinquance. La personne est agie par sa conformation biologique. Lombroso établit des

La bete humaine chapitre 9 commentaire Zola, La Bête humaine (1890), chapitre 9 – Commentaire Introduction Ce passage est issu du roman de Zola, chef de file du mouvement naturaliste, intitulé La Bête Humaine, publié en 1890. C’est le 17ème tome du cycle des Rougon-Macquart, consacré à l’étude du monde ferroviaire et à celui de la justice. Cet extrait se situe dans le 9ème chapitre, juste après que Séverine a fait comprendre à Jacques Lantier qu’elle souhaitait qu’il tue son mari, Roubaud

de la deuxième moitié du 19e : l’école positiviste dont les italiens Lombroso, Ferry et Carofalo ils sont déterministes ils partent de l’idée que l’homme n’est pas libre que certain ont un destin de criminel et sont dangereux par nature donc faut protéger la société contre les gens dangereux par nature = malade qu’il faut éliminer donc sanction but préventif pour protéger la société ils sont allés très loin dans histoire Lombroso a écrit L’homme criminel en 1876 il dit l’homme criminel n’est pas libre

sauvage et rude, comme la région désolée de La Croix-de-Maufras. Mais c’est à Jacques Lantier que la métaphore s’applique principalement. Pour préparer le roman, Zola a consulté des études liant criminalité et hérédité, comme L’Homme criminel de Lombroso et La Criminalité comparée de Gabriel Tarde. La criminalité serait pathologique et héréditaire. Les passions amoureuses et meurtrières seraient liées. Roubaud est furieux et Zola évoque « la bête hurlante au fond de lui ». Jacques Lantier est dominé