Lopinion Est Elle Une Connaissance

de la 2e partie GOGRAPHIEExercice de la 2e partie HISTOIRERalisation dun croquis de gographie deux sujets au choix.Explication dun document deux sujets au choix. Objectifs de lpreuve. (B.O du 2-2-2004) SAVOIR aptitude du candidat mobiliser ses connaissances les savoirs et les notions des programmes SAVOIR FAIRE capacit construire un raisonnement (hirarchiser, argumenter, critiquer) respecter les consignes SAVOIR ETRE un citoyen Une expression crite de QUALITE GERER son temps 2. LES DIFFERENTS

tats-Unis. France. Grande-Bretagne. Inde. Smith (Alfred). Social engineering. Social Science Research Council. Socit internationale. Socits animales. Socits globales. Socits hydrauliques. Socits primitives. Socits secrtes. Sociologie de la connaissance. Sociologie lectorale. Voir Comportement lectoral. Sociologie et science politique. Sociologie politique. Sondages. Souverainet (principe de la). Statique. Statistiques lectorales. Strotypes. Stratification sociale. Voir Classes sociales

TOC o 1-8 Introduction PAGEREF _Toc185584882 h 1 I. Le problme de la connaissance PAGEREF _Toc185584883 h 2 A. Le problme du solipsisme PAGEREF _Toc185584884 h 2 1. Le solipsisme PAGEREF _Toc185584885 h 2 2. Autrui ne mapparat pas directement (Pascal) PAGEREF _Toc185584886 h 2 3. Infrence et empathie (Descartes) PAGEREF _Toc185584887 h 3 4. Logique des concepts mentaux (Strawson) PAGEREF _Toc185584888 h 3 B. Autrui, mdiateur indispensable pour accder soi-mme PAGEREF _Toc185584889 h 4 1

qui se distingue par le mouvement contraire, et est donc rapprocher du choix. Ces deux notions ont une dfinition contradictoire le hasard implique lignorance des causes et des consquences dun vnement, alors que le choix ne peut fonctionner quen connaissance de cause Elles devraient donc sexclure mutuellement, mais dans la dynamique romanesque, lune nexiste pas sans lautre. On peut alors se demander comment le choix et le hasard participent conjointement ou sparment llaboration dune thique et dun

franaise de 1789, une pression inexorable sest exerce en faveur dune extension toujours plus grande du suffrage. le principe majoritaire Le recours au principe majoritaire est lunique moyen de prendre des dcisions. En effet, si les citoyens sont gaux, lopinion de chaque vaut celle de lautre et il est impossible de donner raison lun plutt qu autre. Le seul recours qui subsiste pour trancher est de sen remettre un critre quantitatif toutes les opinions se valent mais celle qui sera retenue sera celle

parviennent pas tre heureux. Sous-entendu que ce nest pas la seule mthode possible, mme si elle lui semble la plus efficace. Elle repose, comme il lindique en prambule, sur lactivit philosophique, au sens la fois de rflexion sur soi-mme et de connaissance du monde qui nous entoure. Et elle est trs simple il sagit dtre heureux le plus rapidement possible. -cest une mthode qui sappuie sur un prsuppos original elle suppose que lhomme est naturellemet heureux. Le malheur est donc comme une maladie dont

tout parat si juste Mais quand on accepte ou quand on prne la justice dlimination, au nom de la justice, il faut bien savoir dans quelle voie on sengage. Pour tre acceptable, mme pour ses partisans, la justice qui tue le criminel doit tuer en connaissance de cause. Notre justice, et cest son honneur, ne tue pas les dments. Mais elle ne sait pas les identifier coup sr, et cest lexpertise psychiatrique, la plus alatoire, la plus incertaine de toutes, que, dans la ralit judiciaire, on va sen remettre

XIXe sicle, Edouard Laferrire expose qu laudience du Conseil dEtat du 5 mai 1883 un avocat ayant produit, au cours de ses observations orales, une pice importante qui navait pas t verse au dossier et dont la section du contentieux navait pas eu connaissance, le Conseil dlibra sance tenante sur lincident et dcida que laffaire serait remise pour que la pice ft rgulirement produite. Linstruction fut rouverte devant la section du contentieux, puis laffaire fut reporte laudience o elle fut lobjet dun

lencadrer cest la raison pour laquelle elle peut tre modifie (mais difficilement). Parfois la rvision ne suffit pas et dans ce cas il sera possible de changer de constitution. La lecture du texte constitutionnel ne suffit pas la comprhension et la connaissance de cette matire. En effet, il y a une dimension quil faut prendre en considration qui est la pratique institutionnelle. La pratique cest donc la manire dont une rgle va tre applique. On pourra observer quune rgle pourra tre contourne ou rinterprte

pays. Le bouddhisme a bonne presse. Dire que nous sommes bouddhistes, cest souvent donner une image de sagesse, de personnes branches... linverse, un regard ngatif entrainera des dsavantages. Limage vhicule par lislam est plutt, dans lensemble de lopinion publique, mauvaise. Lislam vhicule des images de terrorisme, doppression de la femme, dexcision...Il nest pas tonnant que la minorit musulmane soit confronte une opposition face ses revendications ou simplement sa visibilit. La Suisse actuellement