Lord Fenimore

fused secular and ecclesiastical concerns. It showed the chain of feudal obligation reaching up to the throne; by upgrading local wars between feudal overlords into an international, holy war, it championed the true faith. Harnessed by loyalty to a lord and the office he represented, and pressed into the defence of Christendom, chivalry, a code of honour and military valour, was redefined in terms of the Christian ethic. The feudal, crusader epic expressed an alliance of politics and religion and promoted

Richard Tawney précocement, en tant qu’expert auprès du mouvement travailliste britannique, ce qui conduira cet opposant à l’appeasment à s’engager en 939 dans la home Guard (à 59 ans…), puis à devenir, de septembre 9 à septembre 92, conseiller de lord Halifax, ambassadeur à Washington, pour les questions sociales et politico-économiques ; Marc Bloch plus tardivement, à travers ses écrits postérieurs à la défaite française de mai-juin 90 et son engagement dans la Résistance, payé de sa vie en 9

Baudelaire (Don Juan aux Enfers), Barbey d’Aurevilly (Le Dernier Amour de Don Juan) Edmond Rostand (La Dernière Nuit de Don Juan), Roger Vailland (Monsieur Jean) ; – en Espagne, Azorín, Zorilla, Miguel de Unamuno, etc. ; – dans le reste de l’Europe, Lord Byron, E. T. A. Hoffmann, Lenau, Pouchkine, etc. Le mythe de Dom Juan est exemplaire de la révolte contre l’ordre du monde et de la volonté de lui lancer un défi. Il se rapproche en cela de Prométhée, qui vola le feu aux dieux et en fit cadeau à

mesure où elle mettait fin à la résistance de l'armée et de la flotte britanniques. Les Américains avaient gagné leur indépendance, après une guerre de type classique et avec l'appui de l'ennemie héréditaire de leur mère patrie. Photographie Yorktown Lord Cornwallis (1738-1805) rend son épée aux Américains et aux Français après sa défaite de Yorktown, le 19 octobre 1781.  Crédits: Hulton Getty Consulter •  La révolution politique Sur le plan politique, l'importance de la décision américaine ne

Naturellement, je lis toujours beaucoup, mais sans intérêt, mécaniquement. Bien que je ne sois plus seul dans ma cellule, je lis un livre par jour et même un peu plus. Livres disparates comme tu peux l'imaginer (j'ai relu jusqu'au Dernier des Mohicans de Fenimore Cooper) et tels que les distribue la bibliothèque payante de la prison. Dans ces dernières semaines, j'ai lu quelques livres envoyés par ma famille, mais aucun de passionnant intérêt. Je te les énumère, ne serait-ce que pour te faire passer le temps

l’exaspération nationaliste, dirigée en fait contre les anciens colonisateurs, se met à exalter, en prose et en vers, les vertus imaginaires des primitifs indiens du pays. Cet « indianisme », qui s’inspire, d’ailleurs, des livres de Chateaubriand et de Fenimore Cooper, veut être expressément le complément littéraire de l’émancipation politique. Et il l’est effectivement, au moins en ce qui concerne le Portugal : dès ce moment l’intérêt pour les auteurs portugais décline de plus en plus, à mesure que les

Ibid. – Un cachalot ! non, Monsieur, répondit Tom, c’est une baleine franche, j’ai vu son souffle faire, au-dessus de l’eau, une paire d’arc-en-ciel aussi jolis qu’un Chrétien peut en souhaiter voir. C’est une vraie barrique d’huile, celle-là ! FENIMORE COOPER, Le Pilote. On apporta des journaux, ils annonçaient que sur les théâtres de Berlin, on montrait des monstres marins et des baleines. Conversations de Goethe avec Eckermann. Seigneur ! M. Chace que se passe-t-il ? je répondis : nous avons