Lorenzaccio Pièce Intemporelle

Renard a écrit deux versions de Poil de Carotte, un récit et une comédie en un acte. Pour prendre nos premiers repères sur le texte théâtral, nous allons comparer ces deux versions. Voici d’abord un extrait du récit, puis la scène d’exposition de la pièce, comédie en un acte créée le 2 mars 1900. ➠ Texte 1 En chasse. Monsieur Lepic emmène ses fils à la chasse alternativement. Ils marchent derrière lui, un peu sur sa droite, à cause de la direction du fusil, et portent le carnier. M. Lepic est

lyrique se caractérise selon elle par l’expression de sentiments personnels (le poète ne craindra plus de parler de lui, des « divers mouvements dont il est animé ») ; elle ne doit pas être narrative mais rendre compte des rêveries universelles et intemporelles du poète, à la fois conscient du caractère éphémère de toute chose et émerveillé par sa beauté, à la fois démiurge et créature de Dieu. Les documents 2, 3, 4 et 9 semblent le mieux correspondre à cette définition. 9) La sensibilité romantique,

représentation, du XVIIe siècle à nos jours .....................................................91 Séquence 6 Mettre en scène la variété du comique .............................................93 Séquence 7 Parcours de lecteur : Alfred de Musset, Lorenzaccio, 1834 ..............121 Séquence 8 L’évolution du tragique : des héros aux personnages ordinaires .....129 Séquence 9 Histoire des arts : De l’espace sacré antique à la scène moderne ....152 Vers le bac : « Monologue et solitude dans le théâtre

représentation, du XVIIe siècle à nos jours .....................................................91 Séquence 6 Mettre en scène la variété du comique .............................................93 Séquence 7 Parcours de lecteur : Alfred de Musset, Lorenzaccio, 1834 ..............121 Séquence 8 L’évolution du tragique : des héros aux personnages ordinaires .....129 Séquence 9 Histoire des arts : De l’espace sacré antique à la scène moderne ....152 Vers le bac : « Monologue et solitude dans le théâtre

« la poésie n'a pas d'autre but qu'elle même et ne peut en avoir d'autre. » La lecture des Fleurs du Mal vous paraît-elle justifier ce jugement ? ▪ En 1898, après les premières représentations de Lorenzaccio, Jules Lemaître écrivait : « Le personnage de Lorenzaccio est aussi riche de signification qu'un Faust ou qu'un Hamlet ; comme eux, il figure dans une fable particulière, l'homme, l'éternel inquiet et l'éternel déçu, sous un de ses plus larges aspects. Et ce personnage est

des individus. Elle met en avant la préséance du souverain sur les conflits privés et les questions d’honneur individuel. Les valeurs héroïques héritées de la féodalité sont mises au service du roi et du pays. Il est à cet égard significatif que la pièce s’achève sur un vers ternaire résumant l’argumentation de Don Fernand : « Laisse faire le temps, ta vaillance et ton roi ». Ce vers est construit sur une gradation qui fait résonner le mot « roi » comme l’autorité irrévocable et le mot de la fin. On

Misanthrope), comédies-ballets (Le Bourgeois gentilhomme) et pièce à grand spectacle (Psyché). 1662 : L’École des femmes./ 1665 : Dom Juan./ 1669 : Tartuffe./ 1672 : Les Femmes savantes./ 1673 : Le Malade imaginaire. L’analyse du texte • L'auteur : Corneille est l'un des plus grands dramaturges français. Ses tragédies mettent en scène des héros souvent déchirés entre leur amour et leur honneur. • L'œuvre : Le Cid est certainement la pièce la plus célèbre de Corneille Pierre corneille. et probablement

étrangeté) La duplicité du style : l’incantation mélancolique et le travail de sape de l’ironie L’ambivalence de la « malédiction » lunaire : une définition possible (pathologique) de l’état amoureux et / ou de l’inspiration poétique INTRODUCTION Cette pièce dont le titre est manifestement antiphrastique reproduit la forme du conte et met en scène un locuteur « je » et un allocutaire « tu » (la femme aimée) en proie à la malédiction de l’amour par suite de l’intervention maléfique de la Lune. Effets croisés

le meurtre du père et le processus créateur, comme le montre l'élaboration même de la théorie de l'interprétation des rêves qui naît à travers une réflexion douloureuse de Freud sur son propre désir meurtrier à l'égard du père (16). C'est dans la pièce de Sophocle Oedipe Roi (15) qu'il a déchiffré un désir qui serait inconscient et universel, celui de tuer son père et d'épouser sa mère. 42 Or cette tragédie associe justement ce meurtre à une paratopie familiale : Oedipe a été écarté de

Obscurité « éclairée par la lueur incertaine d’une bougie » « il faisait très sombre » ; « dans cette pénombre » ; « noir comme du charbon » ; « l’obscurité s’épaississait de plus en plus » La narratrice insiste sur le côté obscur de la pièce, elle utilise des verbes qui montrent que sa vision est approximative « je distinguais ». Ce champ lexical contribue à provoquer la peur du personnage et du coup du lecteur qui découvre Carmilla en même temps qu’elle. 10. « un animal noir comme