Lorenzaccio Solitaire

Lecture analytique 3 Les rêveries du promeneur solitaire, JJ Rousseau 1782 LA REVERIE A. La rêverie: une méditation sur le bonheur au sein de la nature. -Lieux conduisent à rêverie, lacs agités, montagne. -Cp lexical de l'eau (fait naître rêverie) « flux et reflux » (l.9) « vague » (l.6) paragraphe 1 > mouvement de l'eau qui symbolise mvt de l'âme et du bonheur > multiple de rêverie « rêver » « songer » « sans prendre la peine de penser » « bercer » & nostalgie. -Expérience partager

sont très mal reçues de ses anciens amis. De 1772 à 1776 est également rédigée une autre œuvre de justification autobiographique, les Dialogues ou Rousseau juge de Jean-Jacques. A partir de 1776 ses obsessions s’estompent. Les Rêveries du Promeneur solitaire sont une réflexion apaisée, nourrie de souvenirs et du simple bonheur de l’existence. Il meurt le 2 juillet 1778 à Ermenonville, où il est inhumé dans l’île des Peupliers. L’endroit devient un lieu de pèlerinage jusqu’au transfert de ses cendres

-Argumentation -Conclusion éventuelle -Les sources ____________________________________________________________ _______ Jeune, Vieux et Mort. Comment vivre ? L’affirmation de Jean-Jacques Rousseau tirée de ses Rêveries du promeneur solitaire tente de répondre à cette question par une autre : « La jeunesse La jeunesse est le temps d’étudier la sagesse; la vieillesse est le temps de la pratiquer. L’expérience instruit toujours, je l’avoue; mais elle ne profite que pour l’espace qu’on

spectacles (1758) -Julie ou la Nouvelle Héloïse (roman, 1761) -Du contrat social (1762) -Émile ou De l'éducation (récit,1762) -Lettres écrites de la montagne (1764) -Les Confessions (1665-1770, publié en 1782) -Les Rêveries du promeneur solitaire (1776-1778, publié en 1782). Biographie La mère de Jean-Jacques Rousseau meurt en le mettant au monde, à Genève. C'est son père, insouciant, vagabond et fantasque, qui l'élève. Jusqu'au 21 mars 1728, date de sa rencontre avec Mme de Warens,

autobiographique. L'œuvre autobiographique [modifier] Entre 1766 et 1769, il écrit les Confessions (il y invente le terme de « Cruscantisme »). En 1772, il entame la rédaction des Dialogues de Rousseau juge de Jean-Jacques. Les Rêveries du promeneur solitaire sont rédigées au cours des deux dernières années de sa vie. Louis Donin de Rosière est témoin, avec son cousin Myriadec, du mariage de Jean-Jacques Rousseau avec Thérèse Levasseur, le 30 août 1768, à Bourgoin-Jallieu. En 1778, le marquis de Girardin

ses œuvres, ont inspiré le siècle des Lumières. Kant dit d'ailleurs : « Rousseau est le Newton du monde moral. » Très affligé par les critiques, il continue à écrire mais renonce à publier. Ses dernières œuvre, « les Rêveries du promeneur solitaire » et son autobiographie « les Confessions », paraîtrons uniquement après sa mort. L’héritage de Jean-Jacques Rousseau n'est pas seulement de nature politique ou philosophique puisqu'il est à l'origine d'une nouvelle forme de sensibilité. Son univers

comme un va-et-vient de la pensée, en vérité figée en "croyances" et en mots. Le déconditionnement apparaît alors comme une métamorphose impossible, une quête du "droit d'être comme ne sont pas les autre" (Rousseau, les rêveries du promeneur solitaire). Au mieux (!) arrêter de "marcher droit", au risque du trébuchement. Dès notre naissance, la "bonne" éducation nous conditionne à marcher droit. Elle enseigne à éviter les extrêmes, les "dangers", évitement confondu avec l'apprentissage de l'équilibre

LITTERATURE ETRANGERE EN LANGUE ETRANGERE PROGRESSION ANNUELLE |JE DE L’ECRITURE ET JEU DE L’ECRIVAIN | |The author’s voice, the author’s playing with language | | | |Autobiographies

« Dixième promenade » des Rêveries du promeneur solitaire Jean-Jacques ROUSSEAU La rencontre entre Madame de Warens et le jeune Rousseau constitue pour l’auteur des Confessions un élément primordial de sa vie ; cette rencontre, comme en témoigne la dixième promenade des Rêveries du promeneur solitaire, est à l’origine de la naissance, de la révélation du moi de l’auteur. Au-delà de l’hommage que ce dernier rend dans la dernière et dixième promenade des Rêveries à celle qui fut une mère

journal proches des autres confessions-monologues de la littérature dont on sait que Camus s’est inspire : - Le dernier jour d’un condamné, de Victor Hugo - Les Confessions, de Jean-Jacques Rousseau - Les Rêveries du promeneur solitaire, de Rousseau 2) De confession à confession - Le texte en tout cas incite à une nouvelle confession : celle du lecteur - Mvt cyclique du roman : confession éternellement recommencée - Mvt concentrique : autour d’un point