Lorenzo Et Le Duc

« Que m'avait fait cet homme ? », « m'avait-il offensé alors ? » -> Retour d'humanité envers Alexandre : « il a fait du mal aux autres mais il m'a fait du bien, du moins à sa manière ». Lorenzo bénéficie d'un traitement particulier « Si j'étais resté tranquille » : c'est lui-même qui est allé le chercher. Lorenzo est comme poussé par des forces qu'il ne contrôle pas. Un acte qui le dépasse : beaucoup de phrases interrogatives : « Pourquoi » répété 4 fois, « que veut dire cela ? » -> Doute, hésitation

la fenêtre, dans La Précaution inutile, est la solution trouvée par Rosine pour transmettre un message (matérialisé par un papier) à son amant le comte. Chez Musset, Lorenzo utilise l'épée pour assassiner son cousin le Duc de Médicis. Cet accessoire est donc indispensable à la représentation scènique de l'homicide du Duc. Lorenzo dissimule ensuite la scène de crime en tirant sur les rideaux de la fenêtre, puis en y obstruant l'accès à l'aide de la clé de la chambre. Enfin, dans Rhinocéros, le télégramme

« Lorenzaccio » est une pièce éponyme de Alfred de Musset qui traite des tribulations du personnage principal à Florence au temps d’Alexandre de Médicis. Dans ce commentaire compose, nous étudierons la scène 6 de l’acte premier qui met en scène la mère de Lorenzo et la tante de ce dernier. D’abord, nous vérins la dramaturgie originale de la scène puis nous étudierons les deux protagonistes et enfin nous verrons comment cette scène constituent les vues différentes que l’on peut faire de ce passage énigmatique

scène 9 La pièce se passe à Florence, au XVI siècle. Lorenzo de Médicis a décidé d'assassiner son cousin Alexandre de Médicis, duc de Florence, qui gouverne en tyran. Le moindre détail de ce meurtre a été prémédité : Lorenzo a volé la cotte de mailles d'Alexandre, a arrangé un faux rendez-vous galant avec sa tante Catherine Ginori pour attirer Alexandre dans sa propre maison où attend en embuscade Scoronconcolo, un ami dévoué à Lorenzo. Lorenzo erre dans les rues, attendant l'heure du rendez-vous

dans Argos, moi dans le monde ». Cependant, il n’arrive pas à soumettre Egisthe à son pouvoir, ce qui le discrédite quelque peu : « - Allons ! Appelle tes gardes. / - Je vous ai dit que non. ». Pour finir, dans Lorenzaccio, ce n’est pas Lorenzo le despote mais le Duc, dont il prépare l’assassinat. Ce dernier est implicitement décrit comme abusant de son pouvoir et perturbant la paix : « allons, la paix, la paix ! l’heure va venir. » L’image du tyran est donc présente dans tous les textes, mais à différentes

l'homme dont elle est amoureuse , Gennaro.La deuxième œuvre est Lorenzzacio d'Alfred de Musset écrite également en 1833.Elle met en scène l'histoire du florentin Lorenzio de Medicis dit Lorenzzacio et de sa stratégie visant à assassiner son cousin le duc Alexandre de Medicis règnant alors sur Florence.Il parvient donc a devenir son proche ami et a lui dissimuler les néfastes plans qu'il fomente contre lui. Il sagira donc de se demander comment se manifeste ces deux concepts de dissimulation et de dévoilement

réalité, Lorenzo s'enfuit et reste en vie encore quelques années, alors que le personnage de la pièce se laisse tuer. L'acte V scène 8 marque donc le terme de la pièce: Côme de Médicis se fait couronner par le Cardinal Cibo, sous l'oeil du peuple et des seigneurs, et prononce un discours en leur honneur. Il advient à se demander quels commentaires inspirent ce discours final ? Tout d'abord, il est question de parler du cadre dans lequel le discours a été dit. Le couronnement d'un nouveau duc est toujours

transfiguration. L’acte IV s’achève par le meurtre d’Alexandre. L’acte des monologues (scènes 3, 5, 9). La scène 9 : Lorenzo est remis en présence de lui-même et de ses contradictions. Lecture I. Un discours incohérent ? II. La tension du personnage I. Un discours incohérent ? En dépit de son apparente incohérence, le monologue observe une certaine logique puisque Lorenzo parle par associations d’idées, c’est pourquoi le non-dit a autant d’importance dans ce passage que ce qui est explicite

crimes ? Tout d’abord, les meurtriers, qui sont Horace (Corneille), Lorenzo (Musset) et Clytemnestre et Egisthe (Giraudoux), ne commettent pas leur crime pour les mêmes raisons. Chez Corneille, Horace a tué Curiace, un guerrier d’Albe par patriotisme pour Rome : « Rome, à qui vient ton bras d’immoler mon amant ! ». Le meurtre de Lorenzo (Musset) n’a pas encore eu lieu. Il souhaite tuer le Duc afin de libérer Florence : « Le Duc de Florence […] est craint et détesté par tous les habitants de la ville »

représentée comme une cité entière à travers une cinquantaine de personnages. Il faut savoir que le fait d’avoir autant de personnage dans la pièce de Lorenzaccio est une nouveauté d’Alfred Musset. Le texte de Sand lui, était entièrement centré autour de Lorenzo. Tandis qu’avec Musset, l’horizon s’élargit. I) Présentations des personnages secondaires Il y a dans Lorenzaccio une cinquantaine de personnages, donc vingt-six portent un nom et au moins douze sont désignés par leur par leur fonction. On distingue