Lorenzo Et Le Duc

pièce a pour ressort essentiel le meurtre d'Alexandre de Médicis, Duc de florence, par son cousin Lorenzo de Médicis. Lorenzo tue Alexandre mais son acte justicier ne trouve aucun écho dans la ville. Tandis qu'au palais, le cardinal fait élire Come de Médicis pour succéder Alexandre. Lorenzo dont la tête a été mise à prix, est assassiné à Venise. -       L'extrait que nous étudierons se trouve à la scène 6 de l'acte 5, au moment où Lorenzo meurt.   En quoi ce dénouement est contraire à celui de la tragédie

lu, et non destiné à âtre joué  Le personnage principal Lorenzo de Médicis a décidé de feindre une amitié complice avec le tyran son oncle Alexandre de Médicis, tyran qui règne sur Florence, dans le  but d’approcher son intimité et de l’assassiner, pour permettre aux Républicains de  prendre le pouvoir  Drame en 5 actes . Cette scène se situe au milieu de la pièce, au croisement des  deux intrigues : l’une concerne le stratagème de Lorenzo pour assassiner Alexandre ; l’autre intrigue concerne le

pendant la Renaissance, plus exactement à Florence, Lorenzaccio de son vrai nom Lorenzo est le cousin d’Alexandre de Médicis qui est le duc de Florence. Les Médicis régnaient en maître à Florence probablement fils illégitime de Clément VII, ne fut pas apprécié des Florentins. Il abandonna la gestion de l'État à quatre conseillers et mena une vie de débauche qui souleva l'indignation populaire. Il fut assassiné par Lorenzo pour des raisons obscures, dans cette œuvre, le peuple florentin tient une place

caracterise par une ambiguite que souligne Musset grace a une multiplicite de nomns et de surnoms du heros. Ce personnage,en quete de son identite,ne cesse d'offrir de lui une image brouillee,instable. Il se voit alors caracterise par son vrai nom "Lorenzo de Medicis",par "Lorenzetta"surnom qui souligne le caractere lache et effimine du personnage.Ainsi que par "Renzo" et "Lorenzino" surnoms affectueux employes par MArie et Alexandre.Tout comme "Lorenzaccio",utilise pour montrer le mepris du peuple

dans leur monde imaginaire de rêveries. Le personnage romantique est aussi très égocentrique. En effet, il ne s’intéresse qu'à sa personne et développe le culte du "moi". Tout est centré autour de lui. Le "je" est omniprésent. Ainsi lorsque Lorenzo explique son projet à Philippe Strozzi, sa tirade ne tournera qu'autour de sa personne " si je pouvais revenir à la vertu," "j'en ai assez" "il faut que le monde sache un peu qui je suis" Le héros concentre la scène sur lui. C'est aussi un héros à

ombres mysterieuse. Un sujet commun: la degradation de l’etre humain et social dans la ville La mere et la tante de lorenzo analyse la metamorphose de Lorenzo en Lorenzaccio, elles dressent un portrait de lui en libertain insen sible et immoral. Les Bannis eux dressent un portrait de florence en catin depravee. Voc pathetique de la part de la mere et de la tante de Lorenzo: l.53 “je ne veux pas parler de luinet j’en parle sans cesse”> preterition, evocation a la mort l.55 “les meres ne s’en

Acte III, scène 3 LORENZO. Ma jeunesse a été pure comme l'or. Pendant vingt ans de silence, la foudre s'est amoncelée dans ma poitrine; et il faut que je sois réellement une étincelle du tonnerre, car tout à coup, une certaine nuit que j'étais assis dans les ruines du colisée antique, je ne sais pourquoi, je me levai; je tendis vers le ciel mes bras trempés de rosée, et je jurai qu'un des tyrans de ma patrie mourrait de ma main. J'étais un étudiant paisible, et je ne m'occupais alors que des arts

de sa situation. Elle dit son quotidien dans lequel rien ne se passe, à l'exception des sirènes et de son enfoncement progressif dans la terre. Lorenzo et le jardinier, eux, sont en train de voir chavirer leur existence. Le texte de Musset et celui de Beckett ont en commun un aspect décousu qui donne l'apparence de la spontanéité. On comprend que Lorenzo est très troublé par la perspective de l'assassinat imminent. Dès lors, son monologue devient le reflet de ses inquiétudes et se nourrit des soubresauts

La première mise en scène en 1896 avec Sarah Bernhardt dans le rôle de Lorenzo créa une tradition selon laquelle seule une actrice pouvait rendre l'équivoque et la fragilité du personnage. Une tradition qui va perdurer jusqu’en 1952 avec l’arrivée triomphale de Gérard Philipe : 56 ans de rôle travesti pour le personnage de Lorenzo… Mais en créant le rôle au féminin, elle lance une mode qui durera pendant cinquante ans. En 1918, c’est Marie-Thérèse Piérat qui joue le rôle à la Comédie-Fran-

scène d’exposition qui présente les personnages 1. Lorenzo : un personnage calme et un poète ⇒ tirade, trois répliques (disparaît très vite), langage soutenu, poétique 2. le duc, Giomo : agressifs, grossiers ⇒ jurons, impatience exclamation, argent/froid = le met sur le même plan que Giomo), + oxymores de Giomo 3. Maffio (par opposition) : représente le peuple, l’honneur (ce que Lorenzo devrait être) ⇒ monologue (longue réplique comme Lorenzo) + métaphore « forêt » Transition : AXE 3 : une