Louga

socio-économiques dans le cadre de l’Esam-2 avaient permis de mesurer l’incidence de la pauvreté en 2001/02 à 48.5 %, et sa répartition régionale (la pauvreté est spécifiquement élevée en milieu rural et moins prononcée à Dakar et dans la région de Louga, par exemple). Le seuil de pauvreté étant fondé sur une consommation minimum de 2 400 kilo-calories par jour, un panier de consommation des 26 biens les plus consommés par les ménages a été élaboré et un seuil monétaire de pauvreté a été fixé. Aussi

études coraniques, il rejoint les bancs de l'école française à l'âge de onze ans, puis fréquente le Lycée avant d'intégrer l'École normale William Ponty. Il devient en 1929 l'un des premiers instituteurs africains et exerce en Casamance, à Thiès, Louga, Dakar et Rufisque, où il occupe ensuite le poste de directeur d'école et d'inspecteur Primaire de 1959 à sa mort, en 1961. En 1932 il défie les autorités coloniales en devenant le deuxième bachelier sénégalais.À la fin de la Seconde Guerre mondiale

suivant « éduquer un garçon c’est éduquer une personne éduquer une fille c’est éduquer une famille ». régions | Date d’installation | Comités départementaux | Cellules locales ou zones | Effectif total membres | Dakar | | | | | Thiès | | | | | Louga | | | | | St louis | | | | | Matam | | | | | Diourbel | | | | | Kaolack | | | | | Tambacounda | | | | | Ziguinchor | | | | | Kolda | | | | | Fatick | | | | | total | | | | | Bulletin CNPSCOFI

Mame Mor Diarra Mbacké est revenu solliciter auprès de Mame Cheikh Mbaye, un an après sa disparition, de lui donner le nom de son fils. Le recours au calendrier historique a permis de situer la naissance de Serigne Mbaye au mois de février 1922 à Louga dans le Ndiambour. Les nombreux témoignages recueillis sur sa date de naissance indiquent en effet qu’il serait venu au monde au lendemain des rappels à Dieu de Mame Elh Malick SY (RTA) et de son homonyme Serigne Mame Mor Diarra Mbacké en 1921. Serigne

des superficies moyennes cultivées en 1960/1970 et 1980/1994 Mil + Sorgho Maïs Paddy Niébé Arach. Coton Variations (%) des productions moyennes annuelles entre 1960/1970 et 1980/1994 Mil + Sorgho Maïs Paddy Niébé Arach. ** Coton * SAINT-LOUIS LOUGA DAKAR -72 4 -42 346 * 145 ha * * 552 ha -448 ha * -5 800 ha -18 152 -49 -78 86 -63 69 -18 -62 -19 -56 -98 ha 163,9 282,1 5,8 66,3 273,9 3,1 -59,5 -3 -46 -77 2 -19 ** 84 -29 278,7 259 -7 31 159 t ** ** 44 -26 294,5 255,3 -13 36 303 t -502 t 57 -41 359

pour suivre l’étude 13. Préparation et présentation du document méthodologique détaillé Consultant 3e semaine d’avril 14. Présentation du planning général de l’étude Idem 15. Visite des sites : Prévoir au moins 1 visite par projet (BAD/Louga, Lux Dev/Thiès, UNICEF/ATPC, etc.) 16. Rencontrer les partenaires actifs dans le sous- secteur : BAD, LuxDev, CTB, USAID, JICA, UNICEF, etc. 17. Conclusions/recommandations de l’étude à verser comme inputs de l’étude de la stratégie nationale

Accroissement en % de1988 à 2005 Dakar 2452656 23 547 0,3 4484 2,9 Diourbel 1183095 11 4903 2,5 241 3,8 Fatick 652361 6 7910 4,0 82 1,4 Kaolack 1132707 10 15449 7,9 73 2,0 Kolda 912503 8 21112 10,8 43 2,5 Louga 729606 7 25254 12,9 29 2,3 Matam 478573 4 29041 14,8 16 * Saint-Louis 764347 7 19241 9,2 40 0,9 Tambacounda 669091 6 59 542 30,4 11 3,2 Thiès 1385058 13 6670 3,4 208 2,3 Ziguinchor 457847 4 7352 3,7 62

gendarmerie territoriale, dans les services de soutien et à l’école des sous-officiers pour l’encadrement des élèves-gendarmes ainsi que dans les Etats-majors. Pour le moment, elles ne sont présentes que dans les régions administratives de Dakar, Thiès, Louga, Saint-Louis, Kaolack et Fatick. Cependant avec l’évolution des recrutements féminins, le personnel féminin va investir toutes les unités de l’institution. En fait, l’intégration des personnels féminins dans la gendarmerie a participé au renforcement

| | | | |Nogaye Niang MBENGUE |Réside au quartier HLM Kébémer/région de Louga | |Né le 27/09/1983 |Tél : 77 315 63 07 | |mariée – sans Enfant |Email : nogayembengue@yahoo

l’Ouest  du  Lac  Tanma  et  dans  les  régions de Thiés et Fatick avec une potentialité de 68 000 m3/j. Elles sont captées à partir  des forages de profondeur maximale avoisinant les 100 mètre et des puits ;  9 des calcaires du Lutétien entre Bambey et Louga d'un potentiel de 115 000 m3/j. Elles sont  captées par des forages essentiellement avec une profondeur avoisinant les 100 mètres ;  9 de la nappe de l'Oligo‐Miocène localisée sur la bordure méridionale du Ferlo entre Kaffrine  et Tambacounda et s