Louga

Biram Lô qui était en tête a dû menacer les plus turbulents. A Mbelekhé, le lendemain, l‟interprète Amadou n‟Diaye qui était à l‟avant-garde s‟est vu refuser l‟autorisation de boire de l‟eau au puits. Le 12 au matin, tout le monde était arrivée à Louga sans d‟autre incident. » Quant à la version mouride tel que consigné dans la biographie du Cheikh Ahmadou Bamba d‟après les déclarations de son frère Ibra Fati qui fut l‟un des acteurs : « Le Cheikh avait d‟autre préoccupations beaucoup plus importantes

religieux à ébranler l’édifice institutionnel de certains royaumes. C’est dans ce contexte marqué par des razzias, des répressions et des représailles que, fut fondé le village de NIASSENE, dans le royaume du Djolof (une contrée de l’actuelle région de LOUGA). Le fondateur de ce village, Abdoulaye Fatou Diakhaté NIASS est un fils de Bakary NIASS et un demi-frère de Mademba, lui-même Grand père d’El Hadji Abdoulaye. Dans ce village qui fut un havre de paix, un creuset de formation à l’aune des valeurs

capital du Sénégal est le Dakar, son types de gouvernement est la république sous l’autorité démocratique pluripartite, il y a 10 régions qui pourrait avoir une autre région appelée Matam sont Dakar qui est la capital), Diourbel, Fatick, Kaolack, Kolda, Louga, Saint-Louis, Tambacounda, Thies, Ziguinchor. ❖ Les présidents de la République depuis 1960 à aujourd’hui : Les présidents de la république on était : Léopold Sédar Senghor qui en 1955 devient Secrétaire d'Etat à la Présidence du

d'octobre à mai. La répartition temporelle et spatiale des foyers n'est pas homogène et varie d'une année à une autre''. L'essentiel des feux se propage dans les parties sud et sud-est du pays, notamment les régions de Tambacounda, Kolda, Ziguinchor, Louga et Matam. En revanche, il y a moins d'incendies dans la partie nord du Sénégal, en raison, entre autres, des mesures prises par les autorités en matière de sensibilisation et de la mise en place des moyens humains et une campagne de reboisement .

économique et social. Cela va nous mener à mieux comprendre plus l’environnement de l’ONG GREEN SENEGAL. Cadre géographique : Il apparait nécessaire d’avoir une approche conceptuelle du cadre dans lequel nous allons faire notre étude. Thiès, Fatick, Louga, Diourbel, Dakar et Saint-Louis sont les principales zones d’intervention mais a son siège à Thiès. C’est pourquoi l’ONG s’est focalisée globalement dans six (6) domaines d’activités principales en partant de sa mission et des objectifs ci-après :

longues années lui permit d'asseoir de solides connaissances dans tous les domaines des sciences religieuses et même profanes (mathématiques, astronomies, prosodie et poésie). . Malick Sy séjourne en Mauritanie, s'installe à Saint-Louis en 1884, puis à Louga, et Pire avant de s'établir à Tivaouane en 1902 à la suite d'une demande, dit-on, du grand notable Djibril Guèye qui l'invita à y rester. Il débuta sa formation religieuse à Gaé avec Thierno Malick Sow et Alpha Mayoro Welé, des parents de sa famille

ancien ou « Togere » : elle se localise dans la moyenne vallée du fleuve Sénégal et atteste de l’existence d’une métallurgie très ancienne avec la découverte des bas fourneaux. - La zone des Tumuli4 : elle s’étend au Centre-Ouest, depuis la région de Louga jusqu’au Saloum. Plus de 6 000 tumuli ont été recensés. Ce sont des monticules de sables appelés mbanar par les Wolofs et poydon par les Sérères. - La zone des mégalithes : elle représente environ 20 000 km2. elle est comprise entre le Rip et la région

la formation au niveau du CAE-CEM dans les CRFPE. En atteste la convention qu’elle a signé avec le Ministère de l’Education pour la prise en charge de la formation des élèves-professeurs en Maths/ SVT, Maths/ PC et Maths/ Sports dans les CRFPE de Louga et St Louis. * Il y a par ailleurs l’application des décrets instituant la création du corps des PCEM en EPS et du corps des inspecteurs de l’enseignement moyen et secondaire qui ne sont pas encore effective. * Pour l’immatriculation des

filles (Paef). Financé par le gouvernement italien à hauteur de 1.803.881.750 FCfa, le Paef vise à maintenir les filles à l’école en améliorant leurs conditions d’études. Il cible, en deux ans, près de 20.000 filles des régions de Fatick, Diourbel, Louga et de la banlieue dakaroise. Dans ces localités, un faible taux de scolarisation des filles y est enregistré. A Dakar, les zones ciblées par l’enquête sont Guédiawaye, Pikine, Thiaroye, Parcelles Assainies et Rufisque. Le Projet a apporté son appui

tradition animiste après des études coranique il rejoint les bancs de l’école française à l’âge de 11 ans puis requérante au lycée Faidherbe l’école normale William Ponty. Il devient en 1929 l’un des instituteurs Africains et exerçait en Casamance, Thiès, Louga, Dakar et Rufisque où il occupe le poste de Directeur et d’inspecteur d’école primaire de 1959 à sa mort en 1961. En 1932, il défie les autorités coloniales en détenant le 2e Bachelier sénégalais. A la fin de la 2e guerre mondiale, Abdoulaye SADJI