Louis de Bonald

cœurs humains dans la salle, des cœurs humains sur la scène » Friedrich Nietzsche: « Le théâtre, ce n’est jamais qu’une manifestation au-dessous de l’art, quelque chose qui s’adapte au goût des masses, lorsqu’on le fausse pour elles ». Louis de Bonald, extrait des Pensées."La comédie corrige les manières, et le théâtre corrompt les moeurs." XX°s: Eugène Ionesco: "Tout est langage au théâtre, les mots, les gestes, les objets. Il n’y a pas que la parole."

théâtre, ce n’est jamais qu’une manifestation au-dessous de l’art, quelque chose qui s’adapte au goût des masses, lorsqu’on le fausse pour elles »., Friedrich Nietzsche "La comédie corrige les manières, et le théâtre corrompt les moeurs.", Louis de Bonald, extrait des Pensées. XX°s: "Tout est langage au théâtre, les mots, les gestes, les objets. Il n’y a pas que la parole.", Eugène Ionesco "Une pièce de théâtre devrait être écrite, décorée, costumée, accompagnée de musique, jouée, dansée

caractère à sa critique. Ce que fait S.Beuve ici est une critique du sens péjorative, ou il fait juste paraitre les cotés négatifs de l’écriture balzacienne. Par exemple : « la critique la plus cordiale, celle d’un ami, d’un camarade, comme il était de Louis Lambert, aurait elle jamais lui faire accepter quelques idées de sobriété relative et les lui introduire dans le torrent de son talent pour qu’il le contint et le régla un peu ? Sans prétendre le détourner en rien sa voie féconde ; j’aurais voulu qu’il

cela, ou quelles sont les circonstances dans lesquelles il a fait son livre. Elles développent notre sens de l’imagination et nous font sortir de notre vie grâce à des personnages auxquels on s’identifie facilement. Par ailleurs, d’après Louis, vicomte de Bonald "La littérature est l’expression de la société, comme la parole est l’expression de l’homme.".

de-maistreLa Restauration renaît de la ruine de la Révolution. Alors qu’au XVIIIème siècle, l’aristocratie était voltairienne (dont les futurs Louis XVIII et Charles X), voulant rationaliser l’illustre monarchie. Les dégâts révolutionnaires sur la religion provoquent une réaction spirituelle de la part de l’aristocratie grâce à Joseph de Maistre, Louis de Bonald et François-René de Chateaubriand. Ce dernier inaugure le romantisme et sa réaction contre le rationalisme en France, avec le Génie du Christianisme

spirituels de la Révolution française. Tous se réclament de lui. Les révolutionnaires, d'un extrême à l'autre, prétendent « ne marcher que le Contrat social à la main ». Paradoxalement, les théoriciens de la contre-révolution (Joseph de Maistre, Louis-Gabriel de Bonald) se réclament eux aussi de Rousseau. Luciano BOLIS : Né à Milan en 1918 dans un milieu bourgeois, Luciano Bolis prend courageusement position contre les convictions fascistes de ses parents, entraînant avec lui ses deux frères

une autre forme.) Les trois courants monarchiques s’appuient sur de longues traditions et n’ont disparu qu’après avoir subi deux échecs chacun : - Les monarchistes constitutionnels sont frappés par la déposition de Louis XVI après l’émeute de 1792. Puis, la fuite de Louis Philippe à la suite de l’insurrection de 1848 les mènent à l’échec. - Les bonapartistes sont déconsidérés à la suite des abdications de Napoléon Ier, puis par la déchéance de Napoléon III en 1870. - Les monarchistes

de la souve. Pr conséquent cette monarchie royale ou légitime qu’on qualifiera par la suite d’absolue n’est pas une monarchie arbitraire, c’est-à-dire que ce n’est pas un régime dans lequel la royauté est déliée de toute soumission extérieure. Louis Bonald : « le pouvoir absolue est un pouvoir indépendant des hommes sur lequel il s’exerce ; un pouvoir arbitraire est un pouvoir indépendant des lois en vertu desquelles il s’exerce ». B. l’exercice de l’absolutisme ; les marques de souveraineté

correspondant à celui des intellectuels libéraux comme Benjamin Constant de Rebecque qui pronait la liberté de la presse et de l'expression, tandis que celui de Tebaldeo sur l'Église n'est pas sans rappeler le discours des idéologues "Ultras" comme Louis de Bonald, Catholique contre-révolutionnaire français. De plus, nous pouvons déceler dans l'oeuvre la présence de nombreux éléments du drame romantique, voir de la tragédie. Le personnage principal, un puissant éclairé et déchu à qui on a préféré un cousin

pouvoir du roi est légitimé par la volonté d'une divinité, que son élection soit naturelle ou civile, directe ou indirecte. L’absolutisme va se développer après les guerres de cent, ce n’est ni un pouvoir autoritaire ni un pouvoir tyrannique, Louis de Bonald le définira comme le pouvoir indépendant des hommes sur lequel il s’exerce alors que l’arbitraire est indépendant des lois. Il trouve sa justification en France dans le droit divin et aussi dans le droit romain. Dans la pratique les rois de France