Louis de Funès

cadeau disponible ou non selon les individus. Il s’agirait pour Holt d’un point culminant, une sorte de gourmandise accessible à certains humains. En ce qui concerne l’affiche de cinéma les visages dilatés de bonheur et de rire de Bourvil et de de Funès font exploser l’argument uniquement physique propre au rire. Comment une telle euphorie ne ferait-elle pas la publicité spontanée pour une convivialité à offrir pour un très large public. CONCLUSION Il faut noter que le rire semble en

miction » du rire. Le rire, au niveau physiologique, engendre donc des réactions au plus profond de nous même et parfois incontrôlables. Grâce à l'affiche du film de Gérard Oury, où celui-ci met en gros plans deux acteurs célèbres des comédies (De Funès et Bourvil), on réalise que l'aspect physique du rire est mis en avant pour entraîner le spectateur à rire. Le rire est communicatif. Mais on peut également admettre que le fait de provoquer le rire passe par la gestuelle. Selon Molière, le cinéma

est un élément du comique). Exemple : Comment appelle t-on un chien sans patte ? - On ne l’appelle pas, on va le chercher. On peut rappeler ce dialogue entre De Funès et Bourvil, dans  « la Grande Vadrouille » : Bourvil  : En tout cas, ils peuvent me torturer, je ne dirai rien ! de Funès : Moi, c’est pareil : ils peuvent vous torturer, je ne dirai rien !! Ou les textes de Raymond Devos, jouant en permanence sur le double sens des mots et la transposition d’un

Question au bac Plusieurs types de comique sont mis en avant dans ces différentes pièces de théâtre. Un comique de situation est présent dans Don Juan, où le libertin se retrouve face à une situation très embarassante, les deux femmes qu'il courtise se retrouvant dans la même pièce. Don Juan joue un double jeu, coupant la parole aux deux jeunes femmes leur faisant entendre à chacune que cette situation n'est qu'un malheureux malentendu. Il est aussi présent dans le quatrième texte, où le médecin

Dans cet extrait, tiré de l'Avare, acte 1 scène 3, Harpagon et la Flèche apparaissent pour la 1ère fois depuis le début du livre. Harpagon, exige que la Flèche s’en aille. Finalement, malgré son impertinence, la Flèche quitte la maison chassé par la paranoïa d’Harpagon. Harpagon apparait comme un bourgeois très suspicieux, qui ne contrôle pas son avarice. Le valet étant confronté à ce dernier se montre insolent puisqu’à chaque ordre, il demande une justification, Puis, il joue le raisonneur, ce

intense ; or plus les individus d’un groupe rient ensemble, plus les liens se créent et se resserrent. Le rire communicatif tel qu’on le trouve dans Le Corniaud de Gérard Oury en 1965 invite également à la complicité, en effet nous pouvons voir que De funès alias Saroyan utilise Bourvil alias le Maréchal pour exporter sa drogue et son diamant (Le yukunkun) alors qu’il ne se doute pas qu’il va lui arrivé une tonnes de péripéties invraisemblable et comique. Ses deux personnages sont plus ou moins liées

et reflète une entente, mais il peut aussi exclure, dans le cas où une personne ne rit pas avec le groupe. Une personne ne rira peut-être pas de la même situation en étant seule, alors qu’elle en rira en étant dans un groupe. Dans Le Corniaud, De Funès et Bourvil communiquent avec le rire. Cette affiche atteste du fait qu’il faut être deux pour rire aux éclats. Le rire est donc bien un phénomène physique et propre à l’Homme qui peut déclencher plusieurs facteurs. Il crée également un lien social

d’Or au festival de Cannes en 2013 . Savoir gérer le stress est l’une des qualités fondamentales à posséder en tant qu’acteur .Louis de Funès , durant sa prestation dans Oscar , a eu du mal à collaborer avec Claude Rich , car il trouvait que son approche de l’humour ne correspondait pas à la sienne . De plus , Louis de Funès a souffert d’une angoisse constante liée à un souci de perfection . Il voulait que son jeu soit un travail d’orfèvre . Ceci a fini par payer

monologue d'Harpagon : Acte IV, scène 7. − Le monologue d'Euclion, Acte IV, scène 9; La Marmite, Plaute (étude comparative) − Le quiproquo et le dénouement : Acte V, scènes 5 et 6. Etude de l’image : − L'Avare, d'après l'oeuvre de Molière, film de Louis de Funès et Jean Girault (extraits) − Comédiens et farceurs italiens, Vério (étude de l'image) Objectifs de lecture : − Les sources d'inspiration de Molière : Plaute et la Commedia dell'arte − L'enjeu des premières scènes dans la mise en place de l'intrigue

ARNAUD Communiquer Yaël Lecture d'une œuvre théâtrale 4ème6 MOLIERE,L'avare, Acte III, scènes 1 à 6 Louis de Funes dans l'avare. I. Lecture du texte A. acte III,scène 1 : Harpagon, Cléante, Élise, Valère, Dame, Claude, Maître Jacques, Briandavoine, La Merluche. On trouve dans cette scène les quatre comiques : le comique de gestes : Maître Jacques a une attitude comique dans