Louis Ferdinand Céline Voyage Au Bout De La Nuit

l'inégalité des sexes présente au XIX° siècle et les conditions de vie des femmes à cette même époque, quant à Emile Zola il dénonce les conditions de vie des mineurs qui sont déshérités et exploités avec son roman Germinal. Voyage au bout de la nuit , de Louis Ferdinand Celine, met en avant l'absurdité de la guerre, et l'auteur va même jusqu'à déshumanisé les soldats et les comparer à des animaux. Ces nombreux romans, qui dénonce de nombreuses injustices, permettent alors au lecteur de s'émouvoir

tragique voulant montrer l’homme à cette époque, le journal d’Anne Frank qui montre la hiérarchie à son époque et L’ Affaire Dreyfus de Zola. Ils écrivent pour refléter les goûts de leur époque comme Maupassant dans Au soleil qui prend plaisir des voyages à son époque. Encore, quelques écrivains reflètent dans leurs œuvres les mutations de leur époque. Par exemple dans Un remède à la mélancolie de Ray Bradbury une nouvelle montrant l’évolution de l’industrialisation. Les auteurs essayent de

moderne dans ce passage ? Meursault est-il un héros à la fin du roman ? Quelle vision de l’homme et du monde nous donne la fin de ce roman ? CELINE, Louis-Ferdinand, Voyage au bout de la Nuit « Le messager vacillant se remit au "garde-à-vous [...] Lui pourtant aussi il était mort. » (Manuel NATHAN Littérature Français édition 2007 p.462-463) Comment Céline remet-il en cause les caractéristiques du roman traditionnel dans cet extrait ? Qu’y a-t-il de choquant dans la vision donnée ici de l’homme

comme la détermination, le courage, l’intrépidité et la bravoure. Par exemple, Ulysse, héros de l’Odyssée de Homère, présente toutes ces qualités au cours de son voyage de retour à l’île d’Ithaque où sa femme, Pénélope, l’attend. Il part vainqueur de la guerre de Troie, avec un statut de conquérant, de héros de guerre. Après son voyage commence : il doit affrontes de nombreux obstacles, obstacles naturels et ordonnés par les dieux, lesquels il vainc avec courage, volonté, bravoure et habilité. L’Odyssée

x 87cm. Biographie de l'artiste: Otto Dix est un peintre allemand. Il est né le 2 décembre 1891 près de Gera et mort le 25 juillet 1969 à Singen. Il est issu d'un milieu ouvrier mais reçoit une éducation artistique par sa mère, Pauline Louise Dix qui s'intéressait à la musique et à la peinture. Il est suivi par un professeur de dessin pendant sa jeunesse puis prend des cours à Gera de 1905 à 1909. Lorsque la guerre éclate , il participe à de nombreuses campagnes où il en sortira vivant

Grischa (1927) De langue anglaise * Ernest Hemingway, L'Adieu aux armes (A Farewell to Arms) * Robert Graves, Adieu à tout cela (Goodbye to All That) De langue française * Henri Barbusse, Le Feu * Louis Ferdinand Céline, Voyage au bout de la nuit (1932) (première partie du roman) * Gabriel Chevallier, La Peur (1930) * Joseph Delteil, Les Poilus (1925) * Roland Dorgelès, o Les Croix de bois (1919) o Le Cabaret de la belle femme (1928)

autres ». Pour maintenir l’aspect libre de l’information, il faut qu’elle ne porte atteinte à personne. Plusieurs auteurs ont fait face à cette censure au nom de la liberté individuelle. C’est le cas du célèbre écrivain Louis Ferdinand Céline, auteur du chef d’œuvre «  Voyage au bout de la nuit », qui à la fin de sa carrière fût condamné pour des propos antisémites qu’il tint dans un article.

Choix de poèmes et textes sur la Grande Guerre 1- Louis Aragon, Le Roman inachevé, 1956, «La guerre, et ce qui s’ensuivit» La guerre, et ce qui s’ensuivit [...] On part Dieu sait pour où Ça tient du mauvais rêve On glissera le long de la ligne de feu Quelque part ça commence à n’être plus du jeu Les bonshommes là-bas attendent la relève [...] Et nous vers l’est à nouveau qui roulons Voyez La cargaison de chair que notre marche entraîne Vers le fade parfum qu’exhalent les gangrènes

Comment ce texte dénonce-t-il la guerre ? Louis Ferdinand Céline est un écrivain et médecin français. Celui ci est notamment célèbre pour son œuvre s’intitulant « Voyage au bout de la nuit » paru en 1932 et par la suite récompensé par le prix Renaudot la même année. En effet, cette œuvre fera l’objet de notre interprétation. Dans cet extrait, le narrateur se nommant Badamu, découvre l’horreur du front dans le contexte de la second Guerre mondial. Il portera ensuite un jugement sur les acteurs

brousse, en sacs, en boules humides. Comme nous étions là, jamais las de l'entendre, une famille de récolteurs, timide, vient se figer sur le seuil de sa porte. Le père en avant des autres, ridé, ceinturé d'un petit pagne orange, son long coupe-coupe à bout de bras. Il n'osait pas entrer le sauvage. Un des commis indigènes l'invitait pourtant: «Viens bougnoule ! Viens voir ici ! Nous y a pas bouffer sauvages !» Ce langage finit par les décider. Ils pénétrèrent dans la cagna3 cuisante au fond de laquelle