Louis Ier de Bavière

un Empire chrétien par l’idéal qu’il véhicule et sa finalité. Les fils de l’Empereur doivent recevoir une part égale de pouvoir et de territoire (un des deux fils de Pépin le Bref meurt, puis à la génération suivante, il n’y a qu’un seul héritier : Louis le Pieu, donc pas de division. Mais après : 4 fils). Autre caractère carolingien : le serment de fidélité. Charlemagne tend à généraliser la prestation de serment à tous les hommes libres à sa personne. Il personnalise le pouvoir. Les hommes font

descendent d’un frère de l’Empereur Auguste. A partir du 15ième siècle, les lituaniens se disent romains, parce qu’un bateau romain s’était échoué alors il y a longtemps. On se dit tous romains. De la même manière la Sorbonne lorsqu’elle est crée sous St Louis revendique l’héritage de Rome, et dit que la culture, les lettres ont été transférées de Rome à Paris. Les européens, par cette revendication idéologique, politique ou intellectuelle montre qu’ils partagent quelque chose dans cette Europe. Les turcs

Visconti, s’achève. Les Visconti mènent alors une politique hostile à la Papauté et se rapprochent de l’Empire, auprès duquel ils cherchent la légitimation de leur souveraineté. À partir de 1317, la guerre des excommuniés commence, elle oppose Mathieu Ier Visconti et sa famille au pape Jean XXII, cristallisant le conflit. Les Visconti se sont rapprochés de l’Empire, auprès duquel ils cherchent la légitimation de leur souveraineté. Le pape Jean XXII avait en effet chargé deux émissaires papaux d'enquêter

quelques monuments du droit 87 I. La Mésopotamie 87 II. Les Hébreux 90 PREMIERE PARTIE : LE DROIT ANTIQUE ( VIIIème siècle av. – VIème siècle ap. J.-C. ), UN LEGS A L’OCCIDENT 95 Chapitre Ier. Le droit public : les institutions 97 Section I. La Cité grecque 97 Paragraphe 1. L’invention de la Cité et du citoyen 97 Paragraphe 2. La constitution ou politeia et les institutions de la Cité 98

révolution va avoir gain de cause. Au cours de l’été 1830, les belges vont être influencés par les événements de Paris. En effet, le 25 juillet 1830, une révolte à lieu à Paris. Le roi Charles X a été balayé et remplacé par Louis-Philippe qui était un ro i dit ‘libéral’ car il respectait la charte issue d e la révolution. En France, on est donc passé d’une mo narchie absolue à une MONARCHIE PARLEMENTAIRE ; avec en toile de fon d idéologique les

alors ? Dans les bagages des vainqueurs, Metternich avait expliqué depuis 1813 que l’ensemble des puissances dominées ne faisaient pas la guerre à la France mais à l’Ogre de Corse. Les vainqueurs sont accueillis à Paris par le Roi Louis XVIII qui occupe le Louvre (frère de Louis XVI). Il a été appelé par Fouché (ancien ministre de la police). Talleyrand : « Monsieur Fouché méprise les hommes, sans doute s’est-il beaucoup étudié ». Talleyrand est le second. Premier traité de Paris, miraculeux pour une

XIXe siècle | |Louis XIV, monarque absolu | |1/L’enfance d’un roi | |En 1643, à la mort de Louis XIII, Louis XIV n’a que 5 ans. Durant sa jeunesse, sa mère Anne d’Autriche exerce la régence, avec le| |cardinal

et de la coutume dans les sources du droit (1) Texte 1 : Code Justinien. Livre VIII. Titre LIII : "Du long usage" Texte 2 : Lettres d’Henri I, 1057 Texte 3 : Décrétales de Grégoire IX, 1234 Textes 4 : Enquête par Turbe (Ordonnance de Saint Louis ; J. Boutillier, Somme rurale, 1393 ; G. De Ghewiet, Institutions du droit belgique, 1722) Texte 5 : Philippe de Beaumanoir, Coutumes de Clermont-en-Beauvaisis, 1283 Texte 6 : Grotius, Le Droit de la guerre et de la paix, 1625 Texte 1 Code

est convaincu d’avoir trouvé la route des Indes. C’est Amerigo Vespucci, reprenant le même trajet, qui découvre, sur les côtes du Venezuela, que cette terre est un nouveau continent. Parallèlement, Vasco de Gama, soutenu par le roi du Portugal Manuel Ier, se rend en Inde. Le Portugal contrôle alors l’océan Indien. Une expédition menée par Alvarez Cabral vers l’Amérique permet aussi la découverte du Brésil. L’expédition de trois ans (1519-1522) du Portugais Magellan accomplit le premier tour du monde

Molière et de Corneille, on lit ceci: « Chandelles, trente livres; concierge, à cause du feu, trois livres. » C'étaient là les salles que « le grand règne » mettait à la disposition de Molière. Ces encouragements aux lettres n'appauvrissaient pas Louis XIV au point de le priver du plaisir de donner, par exemple, en une seule fois, deux cent mille livres à Lavardin et deux cent mille livres à d'Épernon; deux cent mille livres, plus le régiment de France, au comte de Médavid; quatre cent mille livres