Louis Naud Pierre

auprès de ces fleuves-là. Mais, sur ces rives, ils ne pouvaient plus vivre de la chasse ; il n’y avait pas assez d’espace. Alors ils inventèrent l’agriculture – fantastique révolution que l’on appelle en termes savants le « néolithique » (nouvel âge de pierre). Près des fleuves, poussaient des céréales sauvages. Les chasseurs préhistoriques agrémentaient déjà leurs menus de plantes. L’idée géniale fut de sélectionner les meilleures, de les semer et d’arracher les autres. En même temps, ils se mirent à

plus ou moins respectées, et il fut magnifié. Ainsi, dans une page célèbre, de très petits potins sur des faits insignifiants tissèrent une sorte de réseau entrecroisé autour de l’église Saint-Hilaire, un vieil édifice « qui avait contemplé Saint Louis et semblait le voir encore » (I, page 61), et où, le dimanche matin, quand l’enfant pénétrait à l’intérieur de la massive construction, il pouvait lever les yeux sur « deux tapisseries de haute lice [qui] représentaient le couronnement d’Esther (la

affairés de l'Argent, les artistes inquiets de l'Œuvre et les soldats démoralisés de la Débâcle, conçus à des époques différentes, n'en ont pas moins une fraternité étroite. D'un volume à l'autre, le médecin Pascal Rougon tend une main amie au romancier Pierre Sandoz; Albine, la libre fée du Paradou, est bien la sœur de Marie Chantegreil et de la petite brodeuse Angélique; Pauline Quenu, Henriette Levasseur, Marcelle Maugendre, Denise Baudu, parfaites créatures de devoir, de dévouement et de sacrifice,

arabesques). Au XVIIIe siècle, les liens diplomatiques entre la France et certains pays d’Orient se resserrent, différentes réceptions de délégations étrangères ont lieu. Ainsi, le Bey Ali décide d’envoyer, après l’avènement au trône de France de Louis XVI en 1774, un ambassadeur à Versailles pour une visite de haute courtoisie. Désormais, tout ce qui vient de Turquie, de Chine, de Perse, en bref d’Orient, est à la mode. La traduction par Antoine Galland des Mille et Une nuits (1704) et Les Lettres

A aucun moment elle ne remet en cause la validité de l’accouchement sous X. Mais factuellement, cette décision le contourne. Et ce contournement intervient dans un contexte de questionnement sur l’accouchement sous X. Donc cette décision est une pierre de plus dans l’édifice qui se construit depuis quelques années contre l’accouchement sous X. Les tribunaux ont-ils tendance à reconnaître de plus en plus les filiations biologiques? C’est effectivement une tendance qui remonte aux années 70 et au

repose sur ce procédé de la substitution qui sera énorm.ement employé mais jamais avec autant de méthode qu'ici. Thomdyke ne dispose, au départ, que d'éléments si disparates, et si ténus que la police les a négligés, et il élève devant nous, pierre à pierre, un monument de déductions si imposant et si harmonieux qu'on LE DÉTECTIVE 45 reste bouche hée. C'est cela, l'authentique roman policif>r! Si Thorndyke n'avait pas affaire à un adversaire subtil, il n'aurait pas à soutenir ce duel qui dure

sous la direction de Marc Abélès, directeur de recherche, Cnrs (Laios) Jury Marc Abélès, directeur de recherche, Cnrs (Laios) Marc Augé, directeur d’études, Ehess Jean Davallon, professeur, Université d’Avignon et des Pays du Vaucluse Henri-Pierre Jeudy, chargé de recherche, Cnrs (Laios) Jean-Didier Urbain, professeur, Université de Versailles-Saint Quentin en Yvelines tel-00266547, version 1 - 24 Mar 2008 2 tel-00266547, version 1 - 24 Mar 2008 3 4 Remerciements tel-00266547

des autorités compétentes. Concernant le désarmement des groupes armés et celui des femmes en particulier, il convient de relever que les armes utilisées par les femmes sont, traditionnellement les machettes, bouteilles en verre, bâtons, conques et pierres. Rares sont les femmes qui font usage d’armes à feu lorsqu’elles évoluent en groupes. Leur désarmement pose alors un problème dans la mesure où les programmes de DDR incluent rarement les armes blanches et armes de jet dans leur problématique. En

dirigeants de la bonneterie • • Bourras : vendeur et sculpteur de parapluies rue de la Michodière • • Cornaille: propriétaire d'une boutique à Valognes où travaillait Denise avant d'arriver à Paris • • Deslignières : bimbelotier • • Grognet : parfumeur • • Naud : cordonnier • • Piot et Rivoire : marchands de meubles • • Quinette : vendeur de gants • • M. et Mme Robineau : vendeurs de tissus • • Mme Sauveur : dirigeante d'une boutique de tissus • • Mlle Tatin : lingère • • Les frères Vanpouille : vendeurs

bonneterie • • Bourras : vendeur et sculpteur de parapluies rue de la Michodière • • Cornaille: propriétaire d'une boutique à Valognes où travaillait Denise avant d'arriver à Paris • • Deslignières : bimbelotier • • Grognet : parfumeur • • Naud : cordonnier • • Piot et Rivoire : marchands de meubles • • Quinette : vendeur de gants • • M. et Mme Robineau : vendeurs de tissus • • Mme Sauveur : dirigeante d'une boutique de tissus • • Mlle Tatin : lingère • • Les frères Vanpouille : vendeurs