Louis Pasteur

L’édit de Fontainebleau, signé par Louis XIV le 18 octobre 1685[1], révoque l’édit de Nantes octroyé par Henri IV en 1598. Dès le début de son règne, Louis XIV, cherchant à unifier son royaume tant sur le plan religieux qu’administratif et politique, souhaite réduire le protestantisme. Il prend d’abord des mesures vexatoires : il fait supprimer des écoles protestantes, interdit aux protestants d’acheter des offices, augmente leurs impôts… Sommaire [masquer] • 1 Les prémices de la Révocation

collège des jésuites de Louis-le-Grand. 19 décembre : Ninon de Lenclos, âgée de quatre-vingt-quatre ans, lègue 1000 francs au fils de son notaire, Maître Arouet, "pour lui avoir des livres". 1708 16 décembre : mort de l'abbé de Chateauneuf, parrain de Voltaire. 1710 (?) Publication de la première œuvre de Voltaire : Imitation de l'ode du R. P. Lejay sur sainte Geneviève, signée : "François Arouet, étudiant en rhétorique et pensionnaire au collège de Louis-le-Grand". 1711 5 août :

Nantes un édit qui accordait un statut particulier aux protestants. L’édit comprenait 4 parties bien différentes : -un édit solennel et public, -une annexe de 56 articles secrets, concernant le culte ; -un brevet, relatif aux traitements des pasteurs ; -un second groupe d’articles secrets, sur les places de sûreté, et les chambres de justice mi-partie. Ces textes accordaient aux protestants une liberté de conscience absolue ; nul ne pouvait être persécuté en raison de sa foi. Le culte ne

Fiche Auteur Fenelon Dates : 1651-1715 Métiers : écrivain, théologien et homme d’Eglise. Courte biographie : prêtre en 1675, recommandé par Bossuet à Louis XIV. Il servit de médiateur en Saintonge et en Poitou entre les protestants et les catholiques, et réprouva l'emploi de la force.Grâce à cela, Louis XIV le nomma précepteur de son petit-fils, le duc de Bourgogne pour lequel il écrivit 'Les aventures de Télémaque'. Mais Fénelon fut disgracié, parce qu'il approuvait les idées du quiétisme

fidèles de son diocèse. Les nommés prêtent ensuite un serment de fidélité au roi de France qui leur donne leur charge : c'est l'investiture temporelle. Le parlement de Paris oppose au roi la tradition qui veut que chaque église puisse choisir son pasteur et, en 1518, rechigne à accepter le concordat que le roi doit faire enregistrer de force. Cependant, dans la pratique, les nouvelles dispositions ne changent pas les usages institués par la Pragmatique Sanction qui permettait, de fait, au roi de faire

considéré comme une critique de la politique de Louis XIV. L'influence littéraire de ce roman fut considérable pendant plus de deux siècles. Ordonné prêtre en 1675, François Fénelon fut recommandé par Bossuet à Louis XIV. Il servit de médiateur en Saintonge et en Poitou entre les protestants et les catholiques, et réprouva l'emploi de la force. Sa prudence et sa diplomatie l'aidèrent dans son entreprise de pacification des fanatismes. Suite à ce succès, Louis XIV le nomma précepteur de son petit-fils

révolution française tout  en  la  discutant  sur la  période 1789­1793.  Il  est pour la  justice sociale,  les  droits  de  l’homme  et  est  contre  la  violence  . Victor  Hugo était  représentant du peuple quand  il  a  compris  que le  président  Louis  Napoléon III  qu’il soutenait  préparait une  dictature.  La  rupture a été totale.  Il  est un  des dirigeants de l’insurrection, de la  6    résistance.  Il  s’exile  en  1852  à  Jersey.  Il  est  le  poète  lyrique  et  romancier  du  peuple

Sylvie est de nationalité française. Journaliste et infirmiere. Le genre : C’est un article professionnel. Le cadre : Socio-historique Les personnages principaux : Les religieuse soignantes, Saint Vincent de paul, Louise de Marillac, les soignantes laïques, Pasteur, Florence Nightingale, Dr désiré Magloire, Bourneville, Dr Duchaussoy, Anna Hamilton. Synthèse : Sylvie Warnet nous décrit, grâce à des repères historiques, les racines du prendre soin autrement dit de « la profession

Sa mère morte, le jeune Jean-Jacques est élevé à partir de neuf ans par son oncle Samuel Bernard, pasteur protestant, qu'il prend pour son grand-père. Sa famille, d'origine française, s'était exilée à Genève en 1549 à cause de la persécution religieuse. Abandonné à 10 ans par son père, il connait, livré à lui-même, une enfance, une éducation et des débuts difficiles. Il passe deux années chez le pasteur Lambercier à Bossey (au pied du Salève, au sud de Genève) (1722 - 1724). Son oncle le place comme

l’édit de Nantes, Voltaire fait appel à différents types d’argumentation et emploie plusieurs porte-parole : les protestants, le pasteur et l’Ingénu lui-même. Voltaire s’efforce d’abord d’emporter l’adhésion intellectuelle de son lecteur en faisant appel à ses connaissances. Il a d’autant plus besoin de raviver ses souvenirs que l’action se situe sous le règne de Louis XIV et que Voltaire écrit quatre-vingts ans plus tard. Tel un historien, il rappelle quelques données chiffrées avec une apparente