Louis Pasteur

principe d’une soumission absolu du peuple au monarque. I- Un contexte historique significatif  Le Siècle des Lumière est délimitée par deux évènements historiques importants : La mort de Louis XIV en 1715 et le coup d'état de Napoléon III 1799. La France à la mort de Louis XIV : Le règne de Louis XIV se caractérise par une affirmation de la suprématie française sur les autres royaumes européens. La situation économique se dégrade néanmoins a la fin du règne. En effet la guerre qui sévit pour

mousquetaire, officier et poète, ami de la famille, et en félicita sa mère, morte lorsqu'il avait sept ans. Cependant, l'argent du notaire lui permit de faire, de 1704 à 1711, de brillantes études de rhétorique, de poésie et de philosophie, au collège Louis-le-Grand, où ses camarades portaient de grands noms. Il se lia avec Argenson, fidèle ami et futur ministre, avec le duc de Richelieu, avec le comte d’Argental. Sans être un modèle de piété, il fut réceptif à l’enseignement doctrinal des jésuites dont

correspondent en principe au lendemain de la mort de Louis XIV, en 1715, et prit fin à l’avènement de la Révolution française en 1789. 2- 3- 1er septembre 1715 - 10 mai 1774 : Louis XV : monarchie absolue 10 mai 1774 - 10 août 1792 : Louis XVI : monarchie absolue 9 novembre 1799 -18 mai 1804 : Napoléon Bonaparte : Consulat 18 mai 1804 - 11 avril 1814 : Napoléon I : Ier Empire 6 avril 1814 - 16 septembre 1824 : Louis XVIII : Restauration 16 septembre 1824 -

avoir aucun goût pour les armes. Des congés prolongés lui permirent de séjourner chez ses sœurs mariées, à Fougères ou à Paris, Combourg étant fermé depuis la mort du père. Le 19 février 1787, il fut présenté à la Cour et eut une brève rencontre avec Louis XVI lors d’une chasse royale. En septembre, il rejoignit son régiment à Dieppe. En 1788, il fit, avec ses sœurs, Julie et Lucile, un séjour à Paris au cours duquel il se mêla à la vie sceptique et dissipée des salons, y rencontra Parny, Lebrun, Chamfort

(1770). Outre quelques articles de coloration anticléricale (PRÊTRES, THÉOCRATIE), on lui doit notamment l’article REPRÉSENTANTS, qui évoque la nécessité d’élire des représentants du peuple et de les associer au gouvernement de l’état. Le chevalier Louis de Jaucourt (1704-1779) enfin, demeure injustement méconnu. Descendant d’une très ancienne famille aristocratique française, huguenote, le jeune Jaucourt passe son enfance à Genève. Il étudie ensuite la médecine à Cambridge, puis à Leyde. Parmi ses

|jusqu’au 20 juin. |Versailles, en présence du roi. Cet événement suscite | | | |un immense espoir, mais Louis XVI n’annonce aucune | | | |grande réforme et les députés du tiers-état est | | |

aux lois fondamentales du royaume. d) Le Roi ne peut pas limiter le pouvoir du régent, du futur du roi On se méfie de la régence. Louis XIII avait peur de la Reine d’Autriche. On essaie donc d’encadrer le pouvoir du régent, or cela ne se passe pas. e) Le roi ne peut pas désigner de nouveaux successeurs à la couronne 2 cas : le traité de Montmartre en 1662 entre Louis XIV et le Duc de Lorraine. Si l’une des deux familles s’éteint, c’est le descendant de l’autre famille qui reprend la succession.

compensée, contrairement au mot d’ordre des réformateurs révolutionnaires. La volonté du clergé va aussi dans le sens de la réconciliation ; ainsi le tableau du Serment du Jeu de Paume, de David, présente le chartreux dom Gerle, l’abbé Grégoire et un pasteur protestant, Rabaut Saint-Etienne, fraternisant au premier plan. Ainsi semble s’éloigner le spectre des guerres de religion, balayé par l’esprit de la Révolution que semblent embrasser les députés des différentes Eglises. L’énergie réformatrice du

Bruxelles. 1766 le 23 février Mort de Stanislas Leszczynski, roi de Pologne, qui lègue la Lorraine et Bar à la France. 1774 le 10 mai Mort de Louis XV, son petit-fils Louis lui succède. II- ÉVÉNEMENT FAMILIAUX Jean-Jacques Rousseau est né à Genève en juin 1712. Sa mère meurt lorsqu’il naît ; il est donc élevé par son père, puis par un pasteur genevois, jusqu’à ce qu’il soit recueilli par Mmede Warens à Annecy (Rousseau a alors seize ans). Il a d’abord été laquais chez un comte, puis musicien

le 22 aout 78 quand Charles II faisait sa promenade habituelle dans st James Park fut abordé par un chimiste de sa connaissance, Christopher kirkby qui lui remit un document décrivant un complot de grande envergure. Rédigé par un certain dr Tonge, pasteur connu comme anti jésuite. Ce dernier, aussitôt convoqué devant le roi et Danby s’expliqua. Il avait été mis au courant du complot par son ami Titus Oates qui en connaissait tous les détails. Il remit au roi en rapport en 43 articles, rédigé par Oates