Lucian Freud

d'éléments aussi bien métapsychologique (surmoi), cliniques (hallucinations, passions) que processuel (identification). L'auteur propose ici en prenant appui sur sa pratique clinique et les quelques éléments théoriques épars existant dans les textes de S. Freud et de J.Lacan de proposer une lecture - d'une part, du rôle de la pulsion invocante dans la naissance du sujet et dans la dynamique de la cure, et - d'autre part d'esquisser les destins de la voix conduisant à la constitution du surmoi. Pulsion invocante

Psychanalyses, trad. M Bonaparte et R Loewenstein, Paris, PUF, 1954. Le cas du président Shcreber, est traité par Freud, basé uniquement sur un document autobiographique sans lui-même être dans un cadre psychanalytique avec le patient. Il s’agit de Mémoires d’un névropathe, ouvrage que Daniel Paul Schreber a publié le 1903, dans le quelle il fournie des informations biographiques. Freud trouve ce texte particulièrement riche en ce qui concerne son contenu clinique et il décide de l’utiliser pour rédiger

s’organise en mouvements et associations. Le développement des sciences Le XIXème siècle voit l’essor des sciences physiques et sociales : Pasteur met au point le procédé de la pasteurisation, Darwin propose sa théorie de l’évolution. Sigmund Freud élabore les fondements de la théorie psychanalytique, qui connaîtra, au siècle suivant un succès croissant. Le siècle se clos sur la présentation du premier film de cinéma par les frères lumières en 1885. L’essor de la presse A partir de 1830

règle qui se retraduit sur leurs œuvres. • FREUDE : c’est un médecin viennois (Autriche). Mort en 1940. Il découvre la psychanalyse (« papa de la psychanalyse »). La psychanalyse consiste à mettre en évidence que les êtres humains sont double. Ils ont un inconscient (les rêves) qui une grande influence sur notre vie et donc une incidence sur nous. Il utilise l’hypnose. Onirique : rapport aux rêves. « Les femmes au balcon » FREUDE Les surréalistes sont intéressés par

Nous savons tous que la liberté est la possibilité de pouvoir agir selon sa propre volonté, le fait de penser sans avoir aucune contrainte. Selon Freud, la pensé contient trois niveaux de conscience qui nous permet d’agir consciemment ou inconsciemment. Faire tout ce qui me plait, relève-t-elle de l’inconscient ou du conscient? À première vue, tous ce qui nous plaise sont des besoins primaires à la base. On ne peut s’en passer et cela présente sous la forme d’une évidence. Ceci dit, on est libre

= Facticité ou transcendance ? → csce de la situation ou pas ? Etres humains ont tendance à dire qu'ils ne sont pas libres. → Mauvaise foi = attitude de fuite face à la liberté, faire semblant de ne pas comprendre. Freud et Sartre proposent 2 concepts du 'refoulement' .::. Freud → mécanisme psy qui rejette une pensée de la csce vers l'inconscient .::. Sartre → opé volontaire à feindre qu'on ignore quelque chose. = Théorie de SALAUD. L'homme choisit toujours son projet dans toute situation

la volonté. La différence entre le désir et la volonté c’est que la volonté est le choix d’agir en fonction de sa réflexion, ou d’une loi qu’on se donne pour agir. Alors que ce désir est une action brute, qui ne passe pas forcément par la raison. Freud, lorsqu’il parle de ça, du moi, et du surmoi se rapproche de cette opposition. Donc le 1er chef d’accusation est qu’il faut rejeter les passions car : elles s’opposent à la raison, à notre liberté, et car les passions vont contre notre intérêt le

pas nous éléver. On est dans le voyerisme. L'art qui consiste à créer la réalité n'est pas de l'art. II. Le manque d'im peut être positif. 1. La folie. La folie consiste à forcer la réaliter à entrer dans l'imaginaire. Ici l'im est mauvaise. Freud à montré qu'il y a un dynamisme incs des images et qu'il ne peut y avoir que la psychanalyse qui peut aller à l'encontre de cette force des images. La psy conciste à porter à la connaissance les images incs qui mènent à la névrose. 2. L'illusion du

le clan puis la tribu. Chaque invention apportant de nouvelles ressources, elles libèrent du temps ou améliorent la sécurité et permettent une transformation de la structure sociale. Le rapport des frères avec le père est inspiré de l'analyse que fait Freud dans Totem et Tabou[réf. souhaitée]. La frustration des frères, poussés à l'exogamie par le père, apporte à la fois une grande difficulté dans la relation au père mais est, une fois résolue, une formidable source d'enrichissement psychique (la frustration

maître Pathelin : « Bée ». Le Malade imaginaire : « le poumon ».(idem pour les gestes) -Comique dû au vocabulaire sexuel : (ou scatologique) Depuis l’enfance, transgresser les interdits, les tabous(sexe et scato) fait rire, permet le défoulement. Freud assimile le plaisir lié aux blagues salaces à une provocation sexuelle atténuée acceptée socialement. Procédé racoleur pour certains comiques. Ex : Bigard. (Ex : « baiserais-je » dans le malade imaginaire). 80% des blagues portent sur le sexe, les