Lucifer

bite is a penetration. There is an heavy sexual overtone. With the virgin, it’s a viril penetration : appearance of blood. Lucy becomes a sleepwalker, she’s attracted to darkness. Lucy, in latin “lux” means “light” but at the same time it reminds Lucifer. • Christian tradition is also an important theme in this story. Whereas Catholics believe that they are granted spiritual life by drinking the symbolic blood of Christ, Dracula prolongs and revitalizes his physical life by drinking the real

stéréotype sexiste de la « vieille fille », femme pitoyable parce qu’elle n’a pas trouvé l’homme qui aurait pu donner sens à sa vie, et qui tente de combler cette absence avec des animaux de compagnie. C’est la marâtre de Cendrillon avec son chat Lucifer, Maléfique et son corbeau, Médusa et ses crocodiles, ou encore Ursula et ses murènes. Pathétique n’est-ce pas? Vieilles et moches Contrairement aux héroïnes qui sont toujours jeunes et belles, les méchantes sont systématiquement vieilles et

ils forment le Panthéon chrétien si l'on puit dire. Néo sera amené à ressucité grâce à l'action de Trinity. Cypher qui les trahi à un rôle proche de Judas, il dénonce Neo et toute la bande du Nebuchadnezzar. Le nom Cypher peut d'ailleurs évoqué Lucifer, l'Ange déchu, le Diable. Neo, comme Jésus, va devoir sauver les hommes et les envoyer vers la Lumière. Et on revient ici à l'allégorie de la Caverne de Platon. CONCLUSION Matrix est un film très riche. Il emprunte au conte autant qu'à d'autres

2Dissertation d’histoire : Se préparer à l’au-delà dans un temps de malheurs (XIVème-XVème siècle) De nombreuses œuvres d’arts réalisées aux XIVème et XVème siècles traduisent une représentation de plus en plus fréquente de l’au-delà par les fidèles. Ainsi est peinte en 1424 la Danse macabre du cimetière des Innocents à Paris qui constitue la première « danse macabre » ; une farandole de squelettes qui entraîne les Hommes, membres du clergé et laïques, riches

doit rentrer. Pour que le spectateur prête attention à celle-ci sans entendre le son, Méliès n’a d’autre choix que de faire apparaitre plusieurs horloges dansantes pour finir sur une horloge géante au milieu du cadre. Dans Le diable au couvent, Lucifer sonne des cloches, geste qui fait accourir les religieuses à la messe. Si le spectateur n'entend pas les tintements, il se représente le bruit grâce aux images. Et dans le scénario, cette scène donne une tournure à l'histoire. Un exemple du son

étincelle dont tes yeux sont animés s'éteigne. Je veux voir ce sourire demeurer, car c'est celui qui me rappelle chaque jour que la vie n'est pas qu'afflictions. Tu me remercieras, je t'ai évité les colères de l'enfer. Aucun entretien avec le jaloux Lucifer. Tu mérites beaucoup mieux, je te l'ai toujours dit. Je me suis penchée doucement ; je savourais ma glorieuse initiative. Accoudée à cette baignoire, j'ai plongé ma main dans l'eau pour rattraper ton bras. Il y a des choses que la vie n'explique

le choix entre le bien et le mal. Il n’a pas, comme le prétend bien nombre de gens, créé un monde qui a mal tourné. Bien au contraire c’est le désir de Le surpasser qui pousse à Ses créatures de faire du mal. Ca a commencé avec la rébellion de Lucifer et a continué avec nos ancêtres(le premier péché sur terre) et tout au long de l’histoire de l’humanité, les souffrances et dégâts causés tirent leur origine du fait que l’homme ne cesse de chercher un substitut à Dieu. Et bien que l’homme se soit

l’arche d’alliance. Suivent aussitôt les romans d’inspirations orientales ; le Livre des Lotus entrouverts (1927), le Roman de Confucius (1927), le Poison de Goa (1928), la Nuit de haschich et d’opium (1929). 1929 est également l’année de parution de Lucifer, le roman qui retrace les errances d’un homme aux prises avec les milieux occultistes de Paris. On pressent nettement une certaine aversion pour ce qui l’a passionné durant un temps. Il dénonce la folie des hommes, la magie noire est omniprésente

frontière entre le rêve et la réalité. Il déclare ainsi dans le dernier couplet : « Et je me demandais si je veillais ou si je dormais, - si c’étaient les pâleurs de la lune ou de Lucifer, - si c’était minuit ou le point du jour ! ». Le narrateur a même perdu toute notion du temps ici puisqu’il ne distingue pas la lune de Lucifer, à prendre ici dans le sens, venu de l’étymologie de son nom, de Porte-Lumière (autrement dit, Soleil) même si, comme le précise la note de Jean-Luc Steinmetz ce nom est « symptomatique

avec Mme de Maintenon mais elles vont se gâtées. Il était très sincère et cela va lui porter préjudice comme la lettre qu’il envoi à Mme de Maintenon qui es tune liste exhaustive des ses défauts. Par exemple il dit « on est plein de soi même comme Lucifer » = se croire parfaite. Il juge aussi la politique de Louis XIV : il écrit une lettre en 1694 une lettre au Roi : «  terminer la guerre et demander la paix et il faut que le roi expie sa façon de se voir ». Cette lettre décrit la politique qui est