Lumière Sourde

tout à l’heure étaient loin. Je me trouvais entre de vieilles maisons inhabitées et insalubres. La peur montait en moi et je ne pus plus respirer. Une bougie laissée là par hasard éclairait faiblement, de sa lumière dorée, l’endroit où je me trouvais. Brusquement, j’entendis un grognement sourd derrière moi. Me retournant, je vis l’origine de ce grondement : c’était une immense bête hirsute, qui ressemblait à un loup mais avait une tête d’homme. Elle mesurait 3 fois ma taille et ses babines étaient

chante Tandis que moi je vous entends je vous vois encore Destinées Ombre multiple que le soleil vous garde Vous qui m’aimez assez pour ne jamais me quitter Et qui dansez au soleil sans faire de poussière Ombre encre du soleil Écriture de ma lumière Caisson de regrets Un dieu qui s’humilie 3- Louis-Ferdinand Céline, Voyage au bout de la nuit, 1932 La guerre en somme c’était tout ce qu’on ne comprenait pas. […] « Dans une histoire pareille, il n’y a rien à faire, il n’y a qu’à foutre

- Comment le pathétique et l'épique sont mit au service d'une cause? - En quoi est-il emblématique du destin d'un misérable? 1) La métaphore filée de la noyade dans la nuit sociale Le texte est marqué par une opposition entre l'ombre et la lumière (L'onde et l'ombre). Dès le début du passage l'homme rejeté hors du bateau se retrouve dans l'Ombre, la Nuit, il n'est plus au "soleil"(l.1279), entouré par l'obscurité, par la brume comme le souligne les "ténèbres"(l.1299), "lividité des nuages"(l

se remit à tomber. Nous rentrions sous ce doux paysage quand nous entendîmes un bruit sourd résonnant dans la vallée. Nous savions tous ce qui se produisait . Impuissants face à Dame Nature, un monstre neigeux nous engloutit. Tout est devenu flou, l’énorme masse me compressât le thorax. J’apercevais de brèves fois une partie d'un de mes compagnons, dans la même panique que moi. Tout a coup je vis de la lumière, une lueur lointaine mais bien réelle. Une ombre défilât devant moi. J’espérais que ce

Pierre Soulages, né le 24 décembre 1919 à Rodez (Aveyron), est un peintre français, particulièrement connu pour son usage des reflets de la couleur « noir », qu'il appelle noir-lumière ououtre-noir. Pierre Soulages perd son père en 1924. Dès son plus jeune âge, à Rodez, cet Aveyronnais est fasciné par les vieilles pierres, les matériaux patinés et érodés par le temps, l'artisanat de son pays du Rouergue et ses âpres paysages, particulièrement les Causses. Il a tout juste huit ans lorsqu'il répond

se retrouva en face de la tache molle de la mousseline et du rectangle de lumière , immobiles dans cette nuit où le temps n'existait plus » (lignes 18 à 21) L'épisode dure 10 minutes mais il s'étend sur 6 pages : rythme lent, suspendu mais tendu. Une action violente : un meurtre ; champs lexicaux de la violence, de la mort et du sang. « tuer » « frapper » « combattre » « mourir » « sang » « frapper un cadavre » « choc sourd » « combat » « horreur » Des difficultés personnelles à l'accomplir et

J’entends un bruit sourd. Sa sonne. Mon portable, j’éteins cette sonnerie qui me donne mal au crâne. J’attends la deuxième. Celle qui me réveillera si je me rendors. Elle arrive. Elle est là. Je dois me lever. Je m’assois quelques secondes sur mon lit, je contemple ma chambre. Mes deux bureaux. Ma chaise. Mon ordi. Ma télé. Et cette chose attachée au dessus du devant du lit. Je suis dans le noir mais j’arrive très bien à me la remémorer. Chaque détails je m’en rappel avec une telle finesse. Ils

de pluie » évocation d’un climat physique déprimant lors d’une soirée d’hiver. Il y a au départ un en concordance entre le moral du poète et l’atmosphère lugubre « sur l’esprit gémissant en proie aux longs ennuis ». Le v.1 contient des sonorités sourdes « lourd », «pèse » et « couvercle ». Le vocabulaire est alternativement et concret et abstrait. On entend la plainte des nasales. Le v.2 nous laisse une impression de tristesse et s’achève sur un son douloureux qui est « i ». Le v.3 poursuit la plainte

on assiste au retour obsédant de certains éléments : vision imprécise, bruits inquiétants, rythmes sourds, frôlements suspects, courants d’air, odeurs bizarres.
Mais tout est déformé, oblique: on peut interpréter tous les phénomènes dans les deux sens.
Le moyen le plus efficace pour inquiéter, suggérer l’étrange, c’est de décrire sans montrer : le phénomène monstrueux n’est jamais vu en pleine lumière ni sous tous ses angles : la nuit, l’ombre souterraine, la pluie, la brume masquent tout en montrant

Chapitre 4 : De l’œil au cerveau I.​ Le trajet de la lumière dans l’œil ( cf.TP1 ) ​ L’œil comprend plusieurs ​ milieux transparents (cornée, humeur aqueuse, cristallin, humeur vitrée) qui transmettent la lumière et assurent la ​ convergence de ces rayons lumineux sur la rétine. C’est ​ le cristallin qui assure la convergence des rayons lumineux sur la rétine . Le cristallin est une ​ lentille convergente souple et déformable​ . Il permet d’avoir une ​ image nette sur la rétine​ , suite à ​ son