Luna Chatiments

celles du ciel. -Dom Juan a donc également été censurée. -Ce sont donc les deux Scènes du dénouement, après que Don Juan ait menti, trahit à de nombreuses reprises et commit l’irréparable en prétendant vouloir changer et se repentir. Il échappe au chatiment des hommes mais pas à celui de Dieu. > En quoi le dénouement de cette pièce peut-il sembler atypique par rapport au genre annoncé : la comédie ? > En quoi ce dénouement illustre-t-il l’esthétique baroque ? Structure de la pièce :  1) Don

hommes de se faire justice eux-même ou bien de faire la loi à la place du législateur. Il s’agit alors de considérer le sens de la décision de justice conçu comme application de la loi et non pas vengeance ou arbitraire. ! ! 2. Le sens du châtiment ! ! Pour que la justice se manifeste, il faut d’abord qu’il y ait une transgression de la loi constatée ce qui implique que les membres de la communautés connaissent la loi et soient considérés capables d’en comprendre le bien fondé. ! Dans

osez-vous avoir des ménageries ? Pas de bourreau où le geôlier suffit. Mais, reprend-on, – il faut que la société se venge, que la société punisse. – Ni l’un, ni l’autre. Se venger est de l’individu, punir est de Dieu. La société est entre deux. Le châtiment est au-dessus d’elle, la vengeance au-dessous. Rien de si grand et de si petit ne lui sied. Elle ne doit pas “punir pour se venger” ; elle doit corriger pour améliorer. Transformez de cette façon la formule des criminalistes, nous la comprenons et

osez-vous avoir des ménageries ? Pas de bourreau où le geôlier suffit. Mais, reprend-on, – il faut que la société se venge, que la société punisse. – Ni l’un, ni l’autre. Se venger est de l’individu, punir est de Dieu. La société est entre deux. Le châtiment est au-dessus d’elle, la vengeance au-dessous. Rien de si grand et de si petit ne lui sied. Elle ne doit pas “punir pour se venger” ; elle doit corriger pour améliorer. Transformez de cette façon la formule des criminalistes, nous la comprenons et

époque et doivent être pris en compte mais en sachant que ce ne sont pas des textes d’histoire. Le lecteur doit connaitre les idées de l’auteur avant de les prendre pour argent comptant car celui-ci peut être assez engagé. Victor Hugo, dans Les Châtiments, se moque de Napoléon III pour discréditer le régime de l’empereur. Ces exemples nous montrent que l’homme a un sens aiguisé de la critique qui ne va pas toujours dans le sens de l’histoire, contrairement à l’historien qui se doit neutre et très

Les Châtiments (ou Châtiments, sans article, conformément à l’editio princeps) est un recueil de poèmes satiriques de Victor Hugo, publié en 1853. À la suite du coup d'État du 2 décembre 1851 qui voit l’arrivée au pouvoir du prince Louis-Napoléon Bonaparte, Hugo s’est exilé. Ces vers sont, pour le poète, une arme destinée à discréditer et abattre le régime de Napoléon III auquel Hugo voue une fureur vengeresse et un mépris sans bornes. Hugo a l’habitude de prendre le titre comme fil conducteur

en quoi se faire justice par soi-même peut sembler la meilleure solution ? 1. La justice est-elle plus forte que la vengeance ? Le désir de punir C’est a posteriori qu’on justifie le châtiment. Car avant la raison, le désir. Résultant d’une émotion violente, en général la colère, le châtiment passe pour être administré froidement. Mais au cœur de toute punition, le plaisir de tenir quelqu’un en son pouvoir, de montrer qui est le plus fort. À tort ou à raison, le punisseur, fût-il un tueur

jeunes dans 1 l'institution scolaire. C'est également dans ces années-là que se sont mit en place un série d'arrêtés : « L'une des obligations essentielles de l'instituteur est de faire respecter l'ordre et la discipline en classe »1, « Tout châtiment corporel pour quelque cause que ce soit est strictement interdit. Aucune sanction ne peut être infligée à un élève pour une insuffisance de résultats »2 Aujourd'hui, les sanctions à la disposition du maître sont essentiellement les notes, les devoirs

agresseur celui qui a donné lieu au duel, et innocenter celui qui voulait se défendre. 11- De la tranquillité publique : il faut diffuser les lois pour contrôler et prévenir les passions collectives, qui nuisent à l’ordre public. 12- But des châtiments : ni de tourmenter le puni, ni d’annuler un crime qui a eu lieu, mais d’empêcher le coupable de recommencer, et de créer un effet de dissuasion. 13- Des témoignages : la crédibilité est nulle lors du rapport de paroles, la mesure de la crédibilité

qui est fortement connoté au niveau de sa finalité = faire souffrir et quant à son prononcé par une autorité de jugement après un procès pénal.- finalité de la peine. Derrière le terme de « peine » se cachent les idées de souffrance, douleur et châtiment, ce qui correspond à la conception rétribution volonté de souffrance du délinquant pour le punir de ce qu’il a fait. Au fil du temps, les réactions face à la délinquance ont évolué : on s’est rendu compte qu’il fallait, dans la mesure du possible