Lupus érythémateux

propres cellules du corps, ce qui mène à des maladies auto-immunes ; cancers, rejet des greffes de tissu ou oranes Nom de la maladie Parties du corps attaquées par le SI * Polyarthrite rhumatoïde Cartilage et os des articulations * Lupus érythémateux disséminé Acides nucléiques libérés par la dégradation normale de la peau et d'autres tissus * Diabète insulino-dépendant Cellules productrices d'insuline du pancréas Les déficits immunitaires : Le syndrome d'immunodéficience acquise

Volontaire de Grossesse K. Potassium L.A.L. Leucémie Aiguë Lymphoïde L.A.M. Leucémie Aiguë Myéloïde L.B.A. Lavage Bronchique Alvéolaire L.C.R. Liquide CéphaloRachidien L.D.H. Lactate DesHydrogénase L.D.L. Low Density Lipoprotein L.E.D. Lupus Érythémateux Disséminé L.E.M.P. LeucoEncéphalopathie Multifocale Progressive L.F. Logement-Foyer L.H. Luteinizing Hormone L.L.C. Leucémie Lymphoïde Chronique L.M.C. Leucémie Myéloïde Chronique M.A.S. Maison d’Accueil Spécialisé M.C.O. Médecine Chirurgie

STOMATOLOGIE Stomatologie/Odontologie 8 Inspection dentaire au miroir. 10 Palpation bimanuelle de la région sous-mandibulaire. (candidoses, infections par virus de l’immunodéficience humaine...), dermatologiques (lichen plan, lupus érythémateux...) et dysplasiques (kératoses préépithéliomateuses, carcinomes...). Orifice buccal et lèvres Il s’agit du premier temps d’examen lorsque le patient entrouvre les lèvres. À l’état statique, sont analysés la forme et les dimensions de l’orifice

lorsqu’un bénéfice en est attendu. Thérapies immunosuppressives Les traitements immunosuppresseurs de longue durée sont utilisés pour les greffes d’organes et pour un grand nombre de maladies chroniques infectieuses ou inflammatoires (ex. : lupus érythémateux disséminé). L’effet de ces traitements est le plus marqué sur l’immunité à médiation cellulaire, bien qu’ils puissent entraîner une réduction de la production d’anticorps. Idéalement, les vaccins devraient être administrés au moins 14 jours

|abdominales, vomissements, hyperthermie | | | | | |(complications : pseudo-appendicite, lupus érythémateux) | |E.coli O157:H7 |5 -12°C |Vérotoxines | |colites hémorragiques, syndromes hémolytiques urémiques et purpura | |

Lorsque les organes vitaux, comme le cœur, les poumons ou les reins sont atteints, la maladie est plus grave et peut mettre la vie en danger. Dans de rares cas, les malades développent en plus de la sclérodermie une autre maladie auto-immune, comme le lupus ou la polymyosite, ce qui peut entraîner des complications supplémentaires. Le diagnostic  omment fait-on le diagnostic de la sclérodermie ? C Les premiers signes de la sclérodermie amenant le malade à consulter un médecin (le phénomène de

système immunitaire attaque ses propres tissus. On peut avoir recours aux immunosuppresseurs pour traiter les personnes atteintes de maladies auto-immunes, ce qui pourrait contribuer à une hausse du risque de LNH : l’arthrite rhumatoïde, le lupus érythémateux disséminé, le syndrome de Sjögren.  L’immunodéficience congénitale Les facteurs de risques exogènes :  Les états d’immunodéficience comme :  Le SIDA (par affaiblissement du système immunitaire du corps).  L’immunodéficience congénitale

/Harry W. Schroeder, Jr 1907 1930 1939 SECTION 2 AFFECTIONS LIÉES À UNE ATTEINTE DE L’IMMUNITÉ 298 Allergies, anaphylaxie et mastocytose systémique K. Frank Austen 299 Auto-immunité et maladies auto-immunes Peter E. Lipsky/Betty Diamond 300 Lupus érythémateux systémique Breva Hannahs Hahn 301 Polyarthrite rhumatoïde Peter E. Lipsky 302 Rhumatisme articulaire aigu Edward L. Kaplan 303 Sclérodermie systémique et affections apparentées Bruce C. Gilliland 304 Syndrome de Gougerot-Sjögren Haralampos M

de fièvre toxine préformée dans l'aliment (et invasion des cellules intestinales) 2-7j diarrhée pouvant être accompagnée d'autres symptômes inconstants : douleurs abdominales, vomissements, hyperthermie (complications : pseudo-appendicite, lupus érythémateux) Yersinia enterocolitica E.coli O157:H7 1°C 5 -12°C Listeria monocytogenes 1°C Clostridium botulinum 3°C colites hémorragiques, syndromes hémolytiques urémiques et purpura thrombocytopéniques Vérotoxines (= shiga-like toxine) neurotoxine

photosensibilité varie enfin avec la prise de certains médicaments (tels que la pilule contraceptive, les antibiotiques et les médicaments à base de vitamine A…) et l’utilisation de certains produits de beauté ou de parfums. Certaines maladies comme le lupus érythémateux (maladie à cause de laquelle le système immunitaire s’attaque aux tissus conjonctifs qui servent de soutien aux autres tissus du corps), l’herpès ou le xeroderma pigmentosum (enfants de la lune) augmentent également la photosensibilité d’une