Lutte intégrée

social et la solidarité mécanique au sens Durkheimien. En effet, les individus se regroupent autour d'une cause commune, définissent leurs buts et les moyens d'y parvenir, tout en mettant en place des règles qui permettent de décider comment poursuivre la lutte. Il y a donc des conditions d'existence communes et les individus luttent pour le même objectif. De même, le fait de militer, ou d'adhérer à un groupe de pression, une organisation syndicale etc, permet de générer de l'intégration sociale : le partage

groupes sociaux. A Les grandes approches des classes sociales dans l’analyse sociologique 1. Les classes sociales selon K MARX (1813-1883) : conception dite réaliste des classes sociales « Il y a une lutte des classes aux Etats-Unis, bien sûr, mais c’est ma classe, la classe des riches qui mène la lutte. Et nous gagnons. » Warren Buffet, milliardaire américain, dans une interview donnée au New York Times le 26 novembre 2006. Séquence 4 – SE01 3 © Cned - Académie en ligne La notion de classe sociale

propriétaire de sa seule force de travail, le rapport entre ces deux classes se résume par la lutte des classes :  « l’histoire de toute société jusqu’à nos jours est l’histoire des luttes de classes » Marx classe les classes sociales suite à leurs critères sociaux économiques à savoir que les individus ont la même position en fonction de leur rapport aux moyens de production, Marx précise que dans cette lutte il faut indiquer que les salariés , les propriétaires fonciers, constituent les 3 grandes

Karl Marx (philosophe et pour une société sans classes non capitaliste (système qui s’appuie sur la propriété privée des moyens de production)) Lenina Crown en référence à Lénine (révolutionnaire théoricien politique et homme d’État russe pour la lutte des classes et la dictature du prolétariat) Notre Ford en référence à Henry Ford (un industriel du XX e siècle fondateur du constructeur automobile Ford qui a mis au point un mode de production en série et un modèle économique et a favorisé une consommation

active. On peut dés lors se poser une question, les jeunes générations subiront-elles une nouvelle « vague » de moyennisation comme lors des Trente Glorieuse, afin que la moyennisation soit considéré comme un cycle ? Où devront-ils lutter contre la « lutte des classes » non plus que sociales mais en plus générationnels ?

d’une communauté de situation et de destin, et capables de se mobiliser pour la défense collective d’intérêt communs et la réalisation d’objectifs politiques communs. Pour ce faire, l’auteur montre que les classes sociales n’existent que dans la lutte entre elles, que cette dimension conflictuelle est productrice des classes sociales elles-mêmes. Les rapports de classes étant des rapports d’exploitation, de domination et d’aliénation, ils engendrent forcement des contradictions d’intérêts, de volontés

libéral en place à l'Ouest. Le SPD se trouve donc dans une situation politique nationale et internationale particulière qui l'oblige à s'adapter. Il reste néanmoins fidèle aux traditions du mouvement ouvrier. Le parti déclare qu'il reste fidèle à sa lutte contre le capitalisme, dans le but d'éliminer les «privilèges» et défendre la classe ouvrière (prolétariat). Il rappelle également les droits et les libertés qu'ont acquis la classe ouvrière pour se présenter comme un parti prenant la défense de ces

chemins de fer, etc.) par la classe capitaliste ou dominante qui tient ainsi asservie la classe travailleuse, dont le travail seul produit toutes les richesses. 2. Qu'il en résulte dans la société un conit d'intérêts qui se manifeste par une lutte de classes entre ceux qui possèdent mais ne produisent pas et ceux qui produisent mais ne possèdent pas. 3. Que cet antagonisme ne peut être aboli que par l'émancipation de la classe travailleuse de la domination de la classe dominante, et ce, par

est une doctrine politique, économique et sociale adopté par les principes de l’économiste et philosophe socialiste du XIXème siècle KARL Marx et dans une moindre mesure ceux de Engels. Elle voit dans la lutte des travailleurs une progression des forces historiques qui procède d’une lutte des classes du prolétariat exploitée par les capitalistes .elle prône donc la dictature du prolétariat, comme étape nécessaire pour parcourir à la construction d’une société sans classe : le communisme. Cette

3 Socialisme, communisme et syndicalisme en Allemagne depuis 1875 Les 5 points incontournables Des relations conflictuelles entre socialisme et communisme À la fin du XIXe s, les forces de gauche en Allemagne sont divisées en deux tendances idéologiques : l’une réformiste veut passer par les voies légales pour conquérir le pouvoir, l’autre marxiste, issue de la base ouvrière. COURS 1 q Cours, p. 43 1 Un syndicalisme réformiste de cogestion Le syndicalisme allemand adopte le système de la cogestion